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Collection « Les auteur(e)s classiques »
Histoire des Abénakis depuis 1605 jusqu’à nos jours. (1866)
Couverture médiatique
Une édition électronique réalisée à partir du livre de l’Abbé J.A. Maurault, Histoire des Abénakis depuis 1605 jusqu’à nos jours. L’Atelier typographique de la Gazette de Sorel, 1866, 638 pp. Une édition numérique réalisée avec le concours de mon épouse, Diane Brunet, bénévole, guide de musée retraitée du Musée de la Pulperie de Chicoutimi.
in Le Devoir, Montréal, édition du [c1866] , page 10.
(L'histoire du Canada, comme celle de tous les pays, n'échappe pas à l'irrésistible loi de révolution. L'état statique dans la vie d'un peuple dégénère souvent en anémie pernicieuse et c'est heureux que des forces étrangères viennent de temps à autre fouetter son énergie latente. Le Canada naissant a été saturé de ces pilules amères et ces stimulants ont sans doute concouru pour beaucoup à lui façonner son beau corps vigoureux. Non pas que les guerres soient une bénédiction, loin de là ! Elles frappent, donc elles font mal. Elles sont assurément une punition pour les peuples pécheurs, et quel peuple peut franchement exhiber à la face de l'histoire et du monde une âme immaculée ?
Pour le peuple canadien, encore dans ses langes, les guerres ne pouvaient être, avec la manifestation de la jalousie humaine, qu'une épreuve d'essence toute divine, signe évident d'une rare prédestination.
Pratiquement abandonné à lui-même, le Canada devait se forger de fortes et indéfectibles alliances pour présenter « contre ses ennemis un front solide et uni.
Phénomène quasi incroyable, cette alliance idéale, il en partagea les avantages avec un groupe indigène : les Abénakis.
Quel puissant motif a pu engendrer accolade si singulière et si magnifique ? L'abbé Maurault écrit justement dans son Histoire des Abénakis : "Nous croyons que Dieu s'est servi de la nation abénakise pour protéger le petit peuple canadien qu'il voulait sauver. Or, la nation abénakise ne compta jamais plus de 3,000 guerriers. N'est-ce pas une chose très étonnante que cette petite nation ait inspiré tant de crainte a des colonies de 250,000 âmes et à des sauvages féroces et cruels (les Iroquois), qui comptaient de 12,000 à 15,000 guerriers ?" (Page 229).
Après ces paroles, nous pouvons donc conclure avec le Père Charlevoix dans son Histoire de la Nouvelle-France, "que les Français n'auraient pu se maintenir en Canada sans le secours des Abénakis..." Phrase extrêmement significative, s'il en est une, et qui renferme dans son laconisme une page merveilleuse de l'histoire de l'Acadie. Nous avons là le témoignage de deux historiens probes et impartiaux, peu soucieux de masquer la vérité sous le voile du préjugé ou derrière les vapeurs du sentimentalisme.
Exploré pour la première fois par Champlain en 1604, évangélisé par les Jésuites Biard (1611-1613) et Druillettes (1646-1652) dont on reconnut la sainteté du dernier en le surnommant "l'homme des miracles", le pays abénakis se révéla de bonne heure propice à réclusion de la religion catholique et de la civilisation française. Dès 1640, en effet, la nation abénakise est conquise à la cause catholique et française dont elle partagera sansfaiblesse les triomphes et les revers contre l'Iroquois et l'Anglais. Vers 1680, harcelés de plus en plus par les Anglais et les Iroquois, les Abénakis doivent, en grande partie, émigrer en Canada : à Mégantic d'abord, nuis sur la rivière Chaudière, enfin, à Bécancour et à Saint-François du Lac. Les autres, de la tribu des Nurantsuaks, errèrent jusqu’en 1696, année où ils fondèrent Norridgewock, pour désormais y demeurer. C'est là que 1e 23 août 1724, le Père Sébastien Rasle fut lâchement assassiné, après une sainte vie consacrée "presque tout entière au service des Abénakis.
Il ne faudrait pas déduire de leur retrait partiel du théâtre des hostilités qu'ils s'édifièrent une petite vie bien confortable sur les bords des riantes rivières québécoises. Leur goût des« aventures et, j'oserais dire, leur amitié agissante pour leurs amis canadiens-français s'accommodaient mail d'une stérile inactivité. Ils retournèrent assez souvent à leurs anciennes amours, ainsi que nous le verrons par la suite, limités en cela par leurs frères abénakis demeurés en pays de persécution.
C'est ainsi que nous trouvons les Abénakis partout, le long de la chaîne des guerres qui ont ponctué le développement de la colonie française, occupée à secouer ses parasites. Le baron de Saint-Castin, le surhomme de Pentagoët, noble Français émancipé qui était l'incarnation parfaite des plus intrépides héros de romans, les conviait au combat, disciplinait leur énergie farouche, assurait leur survivance et se couronnait de gloire. Il fut pendant trente ans la terreur des Anglais et la bénédiction des Abénakis.
Plus tard, les Abénakis acquittèrent magnifiquement l'immense dette de reconnaissance qu'ils avaient alors contractée envers les Français.
Pour se faire une idée approximative de leur étonnante activité guerrière, suivons-les dans leurs principales pérégrinations à travers le Canada et les Etats-Unis, en passant par l'Acadie.
En 1728, environ huit cents Abénakis font avec les Canadiens la campagne du lac Michigan. En 1744, formés en plusieurs détachements, ils opèrent à l'île Royale, en Acadie, dans les colonies voisines et, en 1746, ils vont ravager le New Hampshire. Remarquons bien qu'ils réagissaient par là sous le coup de la provocation et qu'ils ne tuaient pas pour le simple plaisir de tuer. Trop souvent, hélas ! notre histoire nous en donne la fausse impression. En février 1747, unis aux Canadiens, ils infligent une totale défaite aux Anglais stationnés à Beaubassin sous le commandant Noble, colonel américain. La même année, un groupe abénakis suit les Français au lac Michigan contre les Miamis en révolte. En 1747, nouvelle expédition, avec prise des forts Clinton et Bridgeman. Puis la paix ; d'Aix-la-Chapelle vient assurer une trêve de quelques années. En 1754, reprise des hostilités. Incursions au New-Hampshire. Le 9 juillet, près de deux cents Abénakis mêlés aux Canadiens se distinguent à la Monongahéla ; en septembre, ils se battent furieusement sous les ordres de Dieskau. Durant l'hiver, plusieurs contingents abénakis allèrent venger la déportation des Acadiens, leurs amis fidèles et leurs frères dans l'épreuve.
Il est facile de s'imaginer leur indignation devant ces atrocités qui furent magistralement exercées sur leurs amis de coeur. Et l'on vit ce spectacle d'un peuple prétendu "barbare et sans entrailles" s'instituer, avec un sauvage héroïsme inspiré d'une touchante fidélité, le vengeur de la déportation. Les Abénakis eux-mêmes, traqués comme des bêtes fauves, n'échappèrent à l'extermination que grâce à leur insaisissabilité. Là ne se limitèrent pas leurs exploits. Le 3 juillet 1756, une centaine luttent avec impétuosité sous les ordres de M. de Villiers, sur les voies qui les mènent à Oswego. Dans la suite, 600 environ, prirent leur rang dans les troupes de défense : le fier chevalier de Lé vis et M. de Rigaud les commandaient à William-Henry, à Carillon, à Montmorency, aux Plaines ou au siège de Québec (1757-1759).
L'on peut dire que les Abénakis sacrifièrent à la cause canadienne leurs forces vives, compromettant à jamais, par cette immolation, leur survivance ethnique. Il semble que ce soit le sort des nations sacrifiées d'être grandes dans leur gloire passée et petites dans le souvenir qu'on leur porte. La rançon de la gloire, sans doute ? Sans, doute... sans doute... L'on ne peut toutefois se défendre d'une certaine perplexité après mûre réflexion sur le sort des nations à travers les siècles ; surtout sur celui des grandes tribus indiennes du Canada, "leur" pays. S'il est vrai que la généralisation d'un mal n'en change pas la nature et n'en justifie pas les conséquences, il est de même vrai que les descendants des Indiens d'autrefois, de ceux dont on semble oublier l'assistance salvatrice (une fois le danger passé), souffrent, aujourd'hui dans leur âme et dans Leur corps de l'état d'infériorité prolongé qui fut leur lot et leur récompense.
Je le sais, on me traitera de mo-noimane de la revendication, d'éternel mécontent ; les blasés et ceux à qui la vérité crue donne des crampes me qualifieront d'utopiste, de pêcheur de lune. Heureux ceux-là, pour qui tout est fatalité ; et toute opinion non conformiste, sottise et rébellion ! Heureusement qu'il y a les autres, capables d'étudier un problème avec leur intelligence et leur coeur. Car il y a un problème indien. Il existe à l'état aigu, quoiqu'il soit à peu près ignoré. Il n'entre pas dans le cadre de cet article d'en étudier les données mais nous aurons peut-être l'occasion d'en reparler plus tard.
Le bon voisinage des Indiens avec les Acadiens acquit un caractère de pérennité par le métissage généralisé qui fut à la mode, surtout de 1607 à 1675. À cette époque, l'Acadie était un peu comme le paradis terrestre avant la création d'Ève. Ils n'étaient pas rares les Acadiens qui unissaient leur destinée aux Abénakises, même après 1700. Ainsi le baron de Saint-Castin, ce Français de sang noble, épousa la fille du Grand Chef des Abénakis : Madokawando ; le sieur Enaud, seigneur de Nepisiguy, contracta une semblable union. Où l'on voit que ces unions, surprenantes de prime abord, ne furent pas seulement le fait de la plèbe. L'on ne saunait trop insister sur ce mariage racial : il affirme une amitié réelle, beaucoup plus profonde qu'une sympathie de belligérants. Ainsi ces porteurs de patronymes harmonieux, riches de sève acadienne, que l'on rencontre partout dans la région nicolétaine : les Houle, les Gaudet, les Bergeron, les Richard les Poirier, les Doucet, pour ne nommer que ceux-là, n'ignorent pas qu'à leur sang français se mêle un généreux sang abénakis. Il en est de même pour leurs parents de l'Acadie et, réciproquement, pour nous, Albénakis. Ces deux courants de vie, fort différents pourtant, ont semblé compatibles jusqu'ici. Bien plus, sans forfanterie, je dirais qu'ils ont formé des types d'hommes singulièrement équilibrés. En eux, la fougue s'allie à la détermination et la dextérité à la patience.
Je ne prétends pas avoir appris quelque chose de nouveau aux historiens. Cependant, si, en remémorant à mes lecteurs une époque riche en amitiés audacieuses et exemplaires, j'ai pu susciter quelque sympathie pour les Abénakis, j'aurai comblé mes espérances.
Jean-Paul NOLET
P. S. Je tiens à remercier M. l'abbé Girard, principal de l'Ecole normale de Nicolet, qui a bien voulu m'aider à rectifier quelques faits, puisés pour la plupart chez le Père Le jeune.
Ceux qui firent notre pays
François Hertel
(1642-1722)
Ce héros devrait faire rêver toute ta jeunesse du pays. Il symbolise la piété et la tendresse filiales à un moment où le rôle de mère offrait de bien dures réalités. Il naquit aux Trois-Rivières le 3 juillet Î642 du mariage de Jacques Hertel, le premier colon trifluvien, et de Marie Marguerite. Dans un pareil pays d'aventure et de danger la valeur se révélait en pleine adolescence. Dès l'âge de 16 ans, François Hertel avait des états de service comme guerrier. En juillet 1661, il fut fait prisonnier par un parti d'Agniers. Au cours de sa captivité de plusieurs mois, il écrivit des lettres fort touchantes. Dans les deux premières il raconte au Père Le Moine les circonstances de sa capture et le supplie d'aller le voir afin de lui permettre de se confesser. La dernière, adressée à sa mère, se lisait ainsi :
"Ma chère et très honorée mère,
"Je sais bien que ma prise vous aura bien affligée, je vous demande pardon de vous avoir désobéi. Ce sont mes péchés qui m'ont mis dans cet état où je suis. Vos prières m'ont redonné la vie, et celles de M. de S.-Quentin (deuxième époux de sa mère), et celles de mes soeurs, J'espère que je vous reverrai devant l'hiver. Je vous prie de dire aux bons confrères de Notre-Dame qu'ils prient Dieu et la Sainte Vierge pour moi, ma chère mère, et vous et toutes mes soeurs".
"C'est votre pauvre
FANCHON".
Il fut adopté par une vieille Iroquoise après quoi il réussit à s'évader. Le 2 septembre 166k, il épousa à Montréal Marguerite de Thavenet. En 1690, Frontenac lui donna le commandement de l'un des détachements qui frappèrent la Nouvelle-Angleterre. Il obtint le grade de lieutenant, fut anobli et vécut jusqu'à 80 ans. Il mourut en effet à Boucherville le 22 mai 1722.
HISTOIRE DES ABÉNAKIS DEPUIS 1605
JUSQU'À NOS JOURS,
de l'abbé Joseph-Pierre-Anselme Maurault.
Joseph-Pierre-Anselme Maurault naît à Saint-Louis de Kamouraska le 27 décembre 1819, de Cyriac Maurault, capitaine de milice et marchand, et de Marie-Emilie Sirois. Il fait ses études au Collège de Sainte-Anne-de-la-Pocatière et au Séminaire de Québec. Professeur au Collège de Sainte-Anne pendant deux ans, puis secrétaire du coadjuteur, il est envoyé à Saint-François-du-Lac pour y apprendre la langue abénaquise. Ordonné prêtre le 10 février 1842, il est vicaire de Saint-François, en même temps que missionnaire chez les Indiens Têtes-de-Boule du Haut-Saint-Maurice. Il est nommé à la cure de Saint-François (1848-1853) puis à celle de Saint-Thomas-de-Pierreville (1853-1870), où il meurt le 4 juillet 1870.
C'est à l'instigation de l'abbé Casgrain que l'abbé Maurault entreprit d'écrire l’Histoire des Abénakis. Il l'a voulue comme un hommage de reconnaissance envers une tribu indienne qui fut indéfectiblement du côté des Français dans les guerres coloniales. Et, de fait, il y a traité surtout de ces guerres, reléguant au second plan le passé des villages abénaquis et des missions catholiques qui y furent fondées.
Les Abénaquis étaient établis du côté de l'Acadie, dans le territoire actuel de l'État du Maine. Ils pratiquaient le commerce avec les Anglais, leurs voisins. Ces derniers convoitaient leurs terres, empiétaient même sur elles ; ils refusèrent aussi de leur prêter secours lorsqu'ils furent attaqués par les Iroquois. Les Abénaquis leur vouèrent alors une haine implacable et se
lièrent avec les Français qui, les premiers, les avaient évangélisés. À la suite d'une guerre désastreuse menée par un de leurs chefs, le roi Philippe, ils commencèrent à émigrer en masse sur les bords du fleuve Saint-Laurent. Accueillis d'abord à la mission algonquine de Sillery, ils s'installèrent ensuite près des chutes de la rivière Chaudière (1683), puis se fixèrent, définitivement cette fois, à l'embouchure des rivières Saint-François et Bécancour (1700, 1704). Ils assouvirent leur haine des Anglais en prenant part à des expéditions dirigées contre la Nouvelle-Angleterre. Ils répandirent la terreur dans cette colonie par les massacres et les enlèvements qu'ils y perpétrèrent. Les Anglais leur firent payer cette participation et ces cruautés en envoyant le major Robert Rogers détruire leur village de Saint-François, peu après la prise de Québec (1759). Les nouveaux maîtres du Canada, redoutant leur férocité naturelle, les employèrent comme éclaireurs plutôt que comme guerriers, lors de l'invasion américaine de 1775 et de la guerre de 1812.
La part prépondérante faite par l'abbé Maurault aux guerres coloniales s'explique par la nature des sources auxquelles il a puisé. Il s'est borné à compiler les œuvres des historiens américains et canadiens. Un récit de captivité, celui de madame Johnson, lui a fourni, à lui seul, la matière de trois chapitres. Il a même inséré une généalogie de la famille Gill, issue de l'union de deux captifs des Abénaquis demeurés parmi eux, généalogie qu'avait préparée l'agent Louis Gill. Il ne s'est pas privé de citer à pleines pages les relations des missionnaires jésuites, celles des pères Bigot notamment.
En somme, il a fait peu de recherches de première main. Il n'en avait guère le loisir, ni même la possibilité, puisque les bureaux d'archives d'Ottawa et de Québec n'étaient pas encore ouverts. Quant aux archives locales, elles avaient été détruites par deux incendies (1759 et 1819). Il a suppléé à l'absence de documents écrits par l'utilisation des légendes et des traditions orales, dont il avait pourtant reconnu la valeur relative dans une lettre à monseigneur Joseph Signay.
L'ouvrage en a imposé par sa masse et a sans doute bénéficié de l'intérêt suscité par la tribu des Abénaquis, dont on prédisait alors l'extinction à brève échéance. Il a le mérite d'être écrit sans aucune affectation, et sa simplicité contraste avec le style ampoulé, et parsemé d'anglicismes, de tant d'ouvrages historiques de cette époque au Canada français.
L'auteur s'en est tenu strictement à la narration. Un critique d'alors n'a pas hésité à le classer avec les abbés Faillon et Ferland. Un autre lui a reproché une absence de réflexion philosophique sur les vicissitudes de la vie des Abénaquis. Somme toute, l'ouvrage manque de rigueur dans l'enchaînement des faits qu'il raconte. L'auteur n'était pas du métier et n'avait aucune prétention de l'être. On lui accorde aujourd'hui encore trop d'autorité. En 1969, une firme de New York a réimprimé son ouvrage, malgré ses lacunes et au risque d'en perpétuer les erreurs.
Thomas-Marie Charland.
HISTOIRE DES ABÉNAKIS DEPUIS 1605 JUSQU'À NOS JOURS, [si.], Atelier typographique de « la Gazette de Sorel », 1866. x. 631 p. ; New York, The Johnson Reprint Corporation. 1969.
(Anonyme], « Histoire des Abénakis par l'abbé J.-A. Maurault », le Journal des Trois-Rivières, 4, 11, 28 décembre 1866. Thomas-Marie Charland, les Abénakis d'Odanak (1675-1937), Montréal, Éditions du Lévrier, 1964, 368p. : Histoire de Saint-François-du-Lac, Ottawa, Collège dominicain, 1942, 364 p. Narcisse-Henri-Edouard Faucher de Saint-Maurice, Choses et Autres, p. 60-65. Serge Gagnon. « Idéologie et Savoir historique : l'historiographie de la Nouvelle-France de Garneau à Groulx (1845-1915) ». Thèse de doctorat es lettres, Québec, Institut d'histoire, université Laval, 1974. f. 445-469. Honorius Provost. les Abénaquis sur la Chaudière. St-Joseph de Beauce, la Société historique, 1948. 27 p. Joseph Royal, « Histoire des Abénakis [...] par l'abbé J-A. Maurault », la Revue canadienne. 1867, p. 73. André Savary. les Abénaquis. Habitat et migration (XVIIe et XVIIIe siècles). Montréal. Éditions Bellarmin, 1976, 247 p.
Cf. Dictionnaire des oeuvres littéraires du Québec, I. Des origines à 1900. Montréal: Fides, 1980, pp. 340-341.
Dernière mise à jour de cette page le samedi 17 septembre 202214:17
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur associé, Université du Québec à Chicoutimi.
Saguenay - Lac-Saint-Jean, Québec
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Jean-Marie Tremblay, fondateur des Classiques des sciences sociales