Table des matières

Première Partie
Gamelin. La Défaite militaire

Préface [7]

Chapitre I. Gamelin a toujours recommandé la résistance à l’Allemagne et promis la victoire [9]

Chapitre II. Le credo de la Ligne Maginot : l’unité de doctrine dans le Haut Commandement. Charles De Gaulle, le rebelle [21]

Chapitre III. « L’armistice de fait » de Septembre 1939 — Mai 1940. Gamelin ne sait pas précipiter la fabrication des armes. Il laisse ses armées s’alanguir [31]

Chapitre IV. Gamelin, chef militaire devenu académique avec l’âge. Mauvaise organisation du Haut-Commandement. Esprit de coterie. Darlan, Vuillemin [47]

Chapitre V. Gamelin, l’expédition de Norvège et l’assistance à la Belgique. L’hésitation le conduit à l’aventure [59]

Chapitre VI. Chez Gamelin, l’exécution pire que la conception. Le Bouddha militaire s’écroule dans la troisième journée du désastre [69]

Chapitre VII. Gamelin enfermé dans un univers militaire désuet. Il n’a pas su fournir à la France le dictateur technique dont elle avait besoin [99]

Deuxième Partie
Daladier. La faillite politique et administrative

Chapitre I. Un patriote sans volonté [107]

Chapitre II. Un dictateur malgré lui qui, dans le passé, n’a procédé que par volte-face [115]

Chapitre III. L’entourage. L’inimitié envers Reynaud et Blum [129]

Chapitre IV. Juste conception de la politique à suivre. Une machine gouvernementale et administrative qui ne fonctionne pas [135]

[376]

Chapitre V. La faillite du réarmement [145]

Chapitre VI. Daladier ne châtie pas la trahison et il ne prend pas le commandement de l’opinion publique [165]

Chapitre VII. Daladier veut se servir de l’assistance à la Finlande pour reconstruire l’unanimité nationale. L’intrigue mussolinienne : Anatole de Monzie [175]

Chapitre VIII. Le choc avec Laval. Daladier condamné paradoxalement sur l’affaire finlandaise, qui, poussée plus loin, eût lésé l’intérêt national [187]

Troisième Partie
Paul Reynaud. Malheureux essai de dynamisme

Chapitre I. Commencements difficiles [203]

Chapitre II. Reynaud n’est plus ce qu’il était [219]

Chapitre III. Norvège, Belgique, la question Gamelin : premières déconvenues [229]

Chapitre IV. L’avènement de Pétain et de Weygand [241]

Chapitre V. Temporisation de Weygand. Conflit avec les Anglais et fin du « commandement unique [249]

Chapitre VI. La stratégie de Weygand [263]

Chapitre VII. L’évacuation tardive de Paris et le désordre gouvernemental [273]

Chapitre VIII. Baudoin, homme de confiance. Le Conseil secret de Reynaud [279]

Chapitre IX. La disgrâce d’Alexis Léger. Le dualisme ministériel. La fin de Daladier [293]

Chapitre X. Le dilemme se pose enfin. Continuation de la lutte par la flotte et par l’Empire ou armistice séparé. Le parti de l’armistice. Ceux qui résistent [309]

Chapitre XI. À Tours, le 13 Juin : dernière Conférence franco-britannique. Première défaillance de Reynaud [331]

Chapitre XII. À Bordeaux, le 15 Juin. Deuxième défaillance de Reynaud. La note envoyée au Cabinet de Londres [347]

Chapitre XIII. À Bordeaux, le 16 Juin. Le projet d’union franco-britannique et la démission de Reynaud. Sa nomination à Washington [357]

Annexes

Annexe I.  Note sur la préface écrite par le maréchal Pétain pour le livre du général Narcisse Chauvineau : « L’invasion est-elle possible ? » (cf. p. 22, t. I.) [371]

Annexe II. Note sur les Conseils ministériels et militaires de caractère technique (cf. p. 142, T. I.) [372]