Gaston Bachelard, Paysages. Notes d'un philosophe pour un graveur, Albert Flocon


 

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Collection « Les auteur(e)s classiques »

Paysages. Notes d'un philosophe pour un graveur, Albert Flocon. (1982
Quatrième de couverture


Une édition numérique réalisée à partir du livre de Gaston Bachelard, Paysages. Notes d'un philosophe pour un graveur, Albert Flocon. Lausanne, Suisse: Les Éditions de l'Aire, 1982, 95 pp.

Quatrième de couverture

Paysages est un lieu privilégié, dans lequel le philosophe Gaston Bachelard rencontre la vision du graveur Albert Flocon. La collaboration entre ces deux créateurs n’est pas née d’une réunion fortuite, elle est au contraire le fruit de l’amitié et de l’admiration réciproques qui les liaient. L’ouvrage est introduit par un texte dans lequel Bachelard parle de l’acte de graver, avec une pénétration et une clarté rares qui font de son analyse un texte essentiel et définitif sur cet art.

Bachelard découvre, dans les gravures de Flocon, des éléments qui ont occupé et nourri sa propre réflexion : le mouvement, l’imagination de la matière et l’imagination des forces, par exemple ; ainsi qu’un univers souvent proche du rêve. Dans sa méditation sur ces images, le philosophe évolue donc en pays de connaissance. Sa pensée ample et visionnaire suit le trait précis et évocateur du graveur et explore la portée symbolique des gravures, leur apportant d’imprévisibles prolongements. Ses textes, pleins de sensualité et d’une étonnante vigueur métaphysique, pénètrent au cœur même de l’étendue intérieure de ces paysages dans lesquels le graveur mêle les formes de corps humains à celles de l’ordre terrestre ou cosmique. De la communion profonde qui s’établit entre les formes, le philosophe tire cette splendide leçon d’immensité : « L’homme dans ses grands signes a une valeur cosmique. Toute grande valeur esthétique du corps humain peut mettre sa marque sur l’univers. »


Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le mercredi 13 février 2019 12:54
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur associé, Université du Québec à Chicoutimi.
 



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