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Collection « Les auteur(e)s classiques »

Essai sur les relations du travail avec le capital (1846)
Table des matières


Une édition électronique réalisée à partir du texte de Charles Brook Dupont-White, Essai sur les relations du travail avec le capital. Paris: Chez Guillemin, Libraire, 1845, 444 pp. In-8. Une édition numérique réalisée par Marcelle Bergeron, bénévole, professeure retraitée de l'École polyvalente Dominique-Racine de Chicoutimi, Ville de Saguenay.

Table des matières

Chapitre I. — Défaveur où est tombé le libéralisme, c'est-à-dire la doctrine du droit individuel préféré au droit de l'État. —Avènement d'un dogme nouveau. La charité dans les lois. — Influence que ce dogme exerce sur la politique, l'administration, la littérature ; et qu'il doit exercer sur l'appréciation du rapport des salaires aux profits. — Gravité de cette question dans une société dont la grande affaire est de produire. — Énoncé du problème que présente ce rapport. —Énoncé de la solution et des éléments dont elle résulte.

 

Chapitre II. — Hostilité des salaires et des profits, démontrée par la réduction qu'inflige aux profits la hausse des salaires. — Cette réduction résulte de l'obligation où se trouve le capital de supporter cette hausse sans répétition contre le consommateur. — Hausse des prix impossible ou infructueuse. — Impossible, parce qu'elle demanderait un surcroît de numéraire. — Infructueuse, parce qu'en présence de prix plus élevés, la consommation irait décroissant.

 

Chapitre III. — Objection. — Rapport sympathique des salaires et des profits : ceux-ci ne peuvent hausser sans déterminer une plus grande production, une plus grande demande de travail et finalement des salaires plus élevés. — Réponses : 1° La hausse des profits doit au contraire déterminer les capitaux à quitter l'emploi productif pour l'emploi voluptuaire : si l'on produit pour gagner, on ne gagne pas pour produire, mais pour jouir. — Exemple de la Hollande et de l'Angleterre. — 2° La hausse des profits et l'emploi des machines sont deux faits qui se tiennent : or, il est de l'essence des machines de nuire au travail : cet effet ne cesse que dans l'hypothèse d'un grand débouché extérieur ouvert aux produits mécaniques. — Aveu de Malthus à cet égard : or, cette hypothèse est une chimère. L'industrie tend partout au niveau. — Aptitude et penchant général des peuples à se pourvoir eux-mêmes. La diffusion des lumières, le mélange des nations, la grandeur des États, la variété de leurs produits, le progrès des arts mécaniques chez les uns, le bas prix de la main-d'œuvre chez les autres, conditions d'égalité ou du moins d'indépendance industrielle entre tous les pays. — Faute de débouchés pour nos fils de lin mécaniques, la machine à filer le lin n'a vu d'autre effet en France que de réduire à la misère la population bretonne qui faisait métier de le filer à la main. — Observation à ce sujet d'un économiste officiel. — Les machines ne furent inoffensives pour le travail que dans les circonstances tout exceptionnelles qui signalèrent la lutte de la France et de l'Angleterre. — Étrange erreur de prendre ce prodigieux accident pour une règle, erreur née en Angleterre et qui passera comme ont passé déjà les illusions de même origine sur le papier monnaie et l'amortissement.

 

Chapitre IV. — La hausse des profits impuissante à déterminer celle des salaires, par le bon marché qu'elle introduit dans le prix des denrées. — Baisse des salaires parallèle à la baisse de ce prix. — Opinions de Turgot et de Necker. — Variation des salaires en France et en Angleterre, conformément à cette loi. — Livre de Ricardo sur ce sujet. — Objection prise de la puissance des mœurs, qui lutte contre la réduction des salaires. — objection empruntée au bien-être actuel des classes inférieures, qui ne permet pas d'y croire. — Réponse : on voit bien comment elles s'habillent, on ne voit pas comment elles se nourrissent. — Statistique officielle sur la consommation décroissante de la viande.

 

Chapitre V. — Limites du bon marché que détermine la hausse des profits. — Comment ce bon marché ne concerne que les articles manufacturés et nullement les denrées alimentaires. — Dans tout pays avancé, le progrès des arts industriels amène la baisse des premiers, et le progrès de la population, la hausse des secondes. — Théorie du fermage née en Angleterre du spectacle de ces faits. — Hausse du blé en France : hausse, par conséquent, du bois, du bétail et de ses produits accessoires, dont le blé prend chaque jour la place. — Pourquoi les produits de l'industrie manufacturière, composés en général de produits agricoles, échappent à cette hausse.

 

Chapitre VI. — Néant des informations historiques sur la destinée commune des travailleurs et capitalistes. — La richesse antique, obtenue par le travail de l'esclave, profitait uniquement au maître, au capitaliste. — Au moyen-âge, la richesse ne fut que spoliation, exercée d'abord par la conquête, puis continuée par l'impôt. — Dans les temps modernes, hausse simultanée aux États-Unis des salaires et des profits, mais par des causes distinctes et inouïes : d'un côté, la rareté du travail en présence d'un continent à défricher ; de l'autre, la profusion des produits américains, et l'approvisionnement, à peu près exclusif, du marché anglais.

 

Chapitre VII. — Objection : La baisse des profits entraîne celle des salaires, en diminuant la demande du travail : Solidarité de revers entre le capital et le travail. — Réponse : le profit étant fait essentiellement sur le salaire, le mieux qui puisse arriver à celui-ci, c'est la baisse des profits. — Ce caractère essentiel du profit résulte de ce que le capital ne peut guère bénéficier sur le consommateur qui lui échappe, ni sur le producteur de matières premières qui le domine, tandis que le prix du travail est l'élément de gain le plus maniable et le plus désarmé.

 

Chapitre VIII. — Exception et limites à l'hostilité des salaires et des profits. — Les profits ont un autre ennemi que le salaire, savoir : la concurrence des capitaux. — Les salaires ont un autre ennemi que les profits, savoir : la concurrence des travailleurs. — Les salaires et les profits ont quelquefois une prospérité commune, dans le cas, par exemple, d'un grand essor du commerce étranger ; quelquefois une adversité commune, celle que leur infligent les crises industrielles.

 

Chapitre IX. — Comment le chiffre respectif des capitaux et de la population agit sur les salaires et sur les profits. — La lutte tourne à l'avantage des salaires, si la richesse croît plus vite que la population : exemple de l'Angleterre à la fin du siècle dernier ; si moins vite, à son désavantage : exemple de la Chine et de la Suisse. — Il suffit d'un faible progrès de population pour avilir le salaire, de même que d'un faible déficit dans la récolte pour exagérer le prix des céréales.

 

Chapitre X. — La richesse d'un pays suffit-elle seule à y réduire les profits, indépendamment de la hausse des salaires ? — L'affluence des capitaux ne doit-elle pas en affecter le bénéfice par la surabondance et l'avilissement des produits ? — L'échange de tous ces produits, les uns contre les autres, pure chimère qui ne saurait en maintenir la valeur. — Si cet échange était possible, pourquoi ces crises des pays riches, lesquelles ont pour causes l'excès des produits, et pour effet l'altération des profits ? — Faits constants qu'il ne faut pas imputer à la richesse d'un pays, mais à la manière dont elle y est distribuée. Ces produits excessifs sont la propriété de quelques-uns qui n'ont pas la faculté physique de les consommer, tandis que les masses n'en ont pas la faculté pécuniaire : de là, mévente et bas prix, au grand préjudice du capital. — Les produits sont excessifs, dès qu'ils sont assez abondants pour suffire aux besoins de la communauté tout entière.

 

Chapitre XI. — Les salaires sont-ils voués à la baisse par le progrès immodéré de la population ? — Oui, s'il fallait en croire Malthus. — Discrédit où est tombée sa doctrine. — Opinion de M. Dunoyer et de M. Rossi : C'est la baisse des salaires qui fait l’excès de la population, et non l'excès de la population qui fait la baisse des salaires. — Réaction contre Malthus, née en France du spectacle décisif de certains faits. — Accroissement médiocre de la population française, à côté du vaste développement de la richesse nationale. — S'il y a misère dans les classes inférieures, elle ne peut donc se rapporter à l'influence exclusivement signalée par Malthus.

 

Chapitre XII. — Comment le prix des denrées de première nécessité agit sur les salaires et les profits. — La hausse de ce prix ajoute à l'élévation des salaires, si le travail est rare et recherché : elle n'en arrête pas la baisse, si le travail est surabondant. — Sur ce dernier point, opinion contraire de Ricardo. — Souffrances énumérées par M. Say, qui ne permettent pas de croire à l'accroissement parallèle des besoins et des ressources. — Les subsistances sont-elles chères par rareté, la hausse du salaire ne fera aucun bien à l'ouvrier : elle lui en fera beaucoup, si les subsistances ne sont chères que parce qu'elles ont été chèrement produites. — 1re objection : Puissance des habitudes et des traditions qui maintient les salaires. — Réponse : Ces mœurs n'ont rien de stables : elles doivent s'éteindre dans les crises industrielles. — 2e objection : Salaires d'aujourd'hui supérieurs à ceux d'autrefois ; salaires des villes supérieurs à ceux des campagnes : donc le prix du travail croît comme celui des vivres. — Réponse : La supériorité du salaire, dans ces deux cas, tient uniquement à la demande supérieure du travail : fait attesté par la hausse des gages domestiques qui n'ont pas à se nourrir.

 

Chapitre XIII. — Qualité inférieure des derniers terrains mis en culture, principe naturel de renchérissement pour les céréales. — Nulle appréhension, nulle dispute à ce sujet en France, mais en Angleterre clameurs et tempêtes. — Génie précurseur de la civilisation anglaise, la première qui s'émut de cette hausse et qui démasqua le monopole dont elle s'aggrave. — Toutefois, la question des céréales est la même en France qu'en Angleterre. — Analogie entre les deux pays dans le fait de la hausse : de 1780 à 1835, le setier de blé a haussé d'un tiers chez nous. — Analogie dans les proportions de la hausse : trois hectolitres de blé, qui valent ici de 60 à 66 fr., en valent 69 de l'autre côté de la Manche.

 

Chapitre XIV. — Même protection accordée aux propriétaires en France et en Angleterre soit pour le mode, soit pour le degré. — Analyse des lois anglaises sur les céréales. — Analyse des lois de la restauration sur le même objet. — Vues du gouvernement plus favorables à l'intérêt des masses que celles des chambres.

 

Chapitre XV. — Objection : Le haut prix des céréales n'offense pas les classes inférieures en France comme en Angleterre parce qu'ici ces classes participent à la propriété du sol et profitent de la hausse de ses produits : il y a 24 millions de propriétaires en France. — Réponse : Tout propriétaire qui achète plus de blé qu'il n'en vend, est intéressé au bas prix du blé. Telle est, d'après les statistiques officielles la condition et par conséquent l'intérêt du très grand nombre. — Pourquoi la question des céréales est-elle si orageuse en Angleterre seulement ? — Progrès de l'agriculture, amendement des routes, importations de blé étranger ; circonstances qui peuvent, chez nous, en retarder l'explosion par le retard qu'elles apportent à la hausse des céréales.

 

Chapitre XVI. — Outre la hausse naturelle des denrées alimentaires, qui tient à la qualité inférieure des derniers terrains mis en culture, il y a une hausse abusive, imputable au monopole. — Principe du monopole : absolue nécessité de tout le blé produit. — Effet du monopole : vente de toute espèce de blé au prix du blé le plus chèrement produit. — Théorie et apologie de ce fait par Ricardo. — Inconséquence de cet écrivain, fondant le prix des choses sur le travail dont elles sont faites, et toutefois admettant pour le blé un prix indépendant du travail, et basé sur le monopole ; sa théorie de la valeur contredite par sa théorie du fermage. — Pourquoi cet aveuglement après cette clairvoyance ? — Réaction de l'optimisme contre J. -J. Rousseau et Godwin. — Opinions d'Ad. Smith et de M. Rossi sur le monopole foncier.

 

Chapitre XVII. — Objection : Une industrie qui produit 3 p. 100 ne peut être qualifiée de monopole ? — Réponse : la puissance du monopole se caractérise ici par la supériorité du prix de revente sur le prix d'achat de la même terre. — Supériorité imputable au prix croissant de ses produits ; — lequel est déterminé lui-même et par la quantité limitée, et par la consommation nécessaire de ses produits. — Insistance de l'objection : ce prix supérieur pourrait provenir, soit du capital plus considérable dépensé en améliorations foncières, soit de l'avilissement du numéraire. — Réponse : De plus amples produits au même prix eussent suffisamment récompensé de plus amples dépenses faites sur le sol : d'où vient donc le prix supérieur de ces produits, si ce n'est du monopole ? — Quant au numéraire, il est plus abondant, sans avilir pour cela le prix des denrées, qui, plus abondantes elles-mêmes, ont besoin de plus d'agents de circulation. — Conclusion.

 

Chapitre XVIII. — Comment l'impôt agit sur les salaires et conséquemment sur les profits.

 

Chapitre XIX. — Lutte du capital et du travail, presque toujours terminée au préjudice de celui-ci. — Mot lumineux d'Adam Smith sur les besoins du travail, plus pressants, si ce n'est plus grands, que ceux du capital. — Prix toujours factice des choses de première nécessité, exemples : les céréales, le travail. Il est de l'essence du travail d'être offert. — Exception complète : des travaux simultanés de défrichements, de mines, de terrassements pour chemin de fer, élèveront nécessairement les salaires, quoi qu'en aient les capitalistes. — Exception partielle : un grand commerce extérieur est une source de profits qui fait trêve aux entreprises du capital sur le salaire. — L'oppression du capital n'est pas la seule que subisse le travail : il y a de plus celle du monopole foncier. — Cette oppression n'est pas la source unique d'où est née toute fortune moderne : deux considérations qui doivent diviser et atténuer la malveillance du travailleur envers le capitaliste.

 

Chapitre XX. — Vaine distinction des salaires absolus et des salaires relatifs. — La hausse absolue des salaires, celle qui ne coûte rien aux profits, et qui consiste uniquement dans le moindre prix des denrées produites à moins de frais, est une pure chimère : la baisse des salaires suit de près celle des denrées. — Produire beaucoup ne suffit pas au bien des masses, puisque le bon marché inhérent à l'abondance des produits est neutralisé pour elles par la réduction du salaire. — La richesse d'un pays est compatible avec la misère du plus grand nombre. — Exemple : l'Irlande toujours souffrante et dégradée, malgré l'essor de son industrie : documents officiels à ce sujet. — Analyses de M. Passy sur le progrès de la richesse en France, et sur les limites qu'à rencontrées depuis 30 ans la diffusion de cette richesse.

 

Chapitre XXI. — Désastres de la lutte où succombe le travail. — 1° Mortalité de la classe ouvrière : observations de M. Villermé sur Mulhouse, et de M. D'Angeville sur le département de la Seine-inférieure. — 2° Dégénération de cette classe, officiellement constatée à l'occasion du recrutement. — 3° Nombre croissant des crimes et délits, imputable peut-être à la misère industrielle : affirmation à cet égard d'un membre du cabinet anglais.

 

Chapitre XXII. — L'état doit-il intervenir dans les relations du travailleur et du capitaliste ? — Oui, car l'œuvre de la production aggrave la domination naturelle de celui qui a sur celui qui n'a pas. — Cette aggravation résulte, 1° de ce qu'elle est un élément de bénéfice pour le capitaliste, sous forme de réduction des salaires ; 2° de ce que cet élément est pour ainsi dire unique, étant donnée la concurrence des producteurs qui leur commande le bon marché des produits.

 

Chapitre XXIII. — Objections à l'intervention de l'État. — 1° La production libre excelle à créer la richesse sans laquelle point de force militaire, c'est-à-dire point d'indépendance pour les peuples. — 2° Elle excelle également à répartir la richesse par le bon marché des produits et l'élévation des salaires qu'elle détermine. Les machines ne font pas obstacle à cette élévation, ainsi que le démontre le progrès simultané des salaires et de l'emploi des machines dans l'industrie cotonnière de la Grande-Bretagne.

 

Chapitre XXIV. — Continuation du précédent. — 3° objection. — Si la libre production est un mal, parce qu'elle comporte l'hostilité du travail et du capital, une production réglementée, qui associerait ces deux agents, serait la plus défectueuse de toutes, car elle en serait la plus impuissante ; exemple : le métayage moins productif qu'aucun autre mode de culture. — 4° Les classes infimes du moyen-âge ont fini par constituer le tiers-état, à force de patience et d'économie ; pourquoi faudrait-il d'autres moyens d'élévation aux classes inférieures d'aujourd'hui ? 5° La liberté suffit aux destinées du travailleur, ainsi que le constatent les grandes fortunes pécuniaires et politiques qu'il a faites de nos jours. — 6° Bien-être de l'ouvrier attesté, soit par l'amélioration du logis et du vêtement, soit par le contenu des caisses d'épargne.

 

Chapitre XXV. — Continuation des objections : 7° La société n'a pas mission de corriger les maux inhérents au régime de libre production : son unique fonction est le maintien de l'ordre : son unique devoir la neutralité. — Réponse : Principe violé à chaque pas dans les choses d'industrie où tout est protection, soit pour le producteur, soit pour le consommateur. — Principe insoutenable en présence des changements qui se sont faits de nos jours en politique et en religion. — Si les idées religieuses sont en décadence, le gouvernement a besoin de force pour suppléer cet auxiliaire, en fait de charité surtout. — Si le gouvernement est désormais aux mains de la nation, cette force est sans inconvénient. — Insigne fortune de la charité légale professée par l'assemblée constituante et pratiquée par l'Angleterre.

 

Chapitre XXVI. — Continuation des objections. — 8° La nature ayant fait les hommes inégaux, la société est impuissante à les relever des conséquences de cette inégalité. — 9° L'intervention de l'État ne ferait qu'encourager l'imprévoyance et la paresse. — 10° Où s'arrêterait cette intervention ? Pourquoi aux travailleurs de l'industrie ? Pourquoi ne s'étendrait-elle pas aux médecins, aux légistes, aux artistes, qui ont aussi leurs mécomptes et leurs misères ?

 

Chapitre XXVII. — Dernière objection : L'intervention de l'État serait impuissante à l'égard d'une misère qui dérive uniquement des vices du travailleur. — Réponse : c'est la misère qui fait ces vices, et c'est l'industrie qui fait cette misère par les obstacles qu'elle met à toute prévoyance et à toute combinaison. — Doctrine de Malthus : observations de M. Villermé sur la fabrique de Lodève. — Comment la loi, si secourable d'ordinaire pour toute espèce d'imprévoyance, serait-elle sans entrailles pour celle de l'ouvrier ?

 

Chapitre XXVIII. — Comment l'État doit-il intervenir dans les relations du travail avec le capital ?


Retour au livre de l'auteur: Jacques Bainville, historien (1879-1936) Dernière mise à jour de cette page le samedi 7 avril 2007 10:45
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur de sociologie au Cegep de Chicoutimi.
 



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