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Collection « Les auteur(e)s classiques »
Le surnaturel et la nature dans la mentalité primitive (1931)
Table des matières
Une édition électronique réalisée à partir du livre de Lucien Lévy-Bruhl (1931), Le surnaturel et la nature dans la mentalité primitive. Paris : Les Presses universitaires de France, 1963, Nouvelle édition, 526 pages. Collection : Bibliothèque de philosophie contemporaine.
AVANT-PROPOS
INTRODUCTION. - La catégorie affective du surnaturel.
I. Caractère vague et imprécis des représentations des puissances invisibles II. Explications du shaman eskimo Aua. - Rôle prédominant de la crainte dans ces représentations III. Pas de coordination, ni de hiérarchie des puis-sances invisibles IV. Élément de généralité commun à ces représentations. La catégorie affective du surnaturel V. Intervention continuelle des puissances invi-sibles dans le cours de la nature
CHAPITRE I. - La bonne et la mauvaise fortune.
I. Amulettes, charmes, talismans, généraux et spéciaux II. Raison mystique de leur efficacité III. Influence des présages heureux ou funestes. - Jours et heures fastes et néfastes IV. Êtres et objets porte-bonheur et porte-malheur V. On s'attache à ce qui est heureux. - On fuit ce qui est malheureux VI. Les accidents sont des signes et des avant-coureurs de malheur. - Les pressentiments. - La télépathie
CHAPITRE II. - Les « dispositions » des êtres et des objets.
I. Influence funeste des disputes, des querelles, du mécontentement, de la colère
Il. Il est prudent d'accepter ce qui est offert, et de ne pas répondre à une demande par un refus. - Ne jamais contredire. - Danger du désir non satisfait
III. Puissance mystique des dispositions. - L'ermite de Tahiti. - Action élective des dispositions
IV. Nature semi-psychique, semi-physique des dispositions. - Procédés pour agir sur elles.
CHAPITRE III. - Les « dispositions » des êtres et des objets (suite)
I. L'interprétation animiste des dispositions II. Rites magico-propitiatoires pour se concilier les dispositions des animaux III. Rites magico-propitiatoires pour se concilier les dispositions des plantes IV. Rites magico-propitiatoires pour se concilier les dispositions des êtres inanimés, de la pluie V. Rites magico-propitiatoires pour se concilier les dispositions des objets fabriqués, des armes, instruments, etc.
CHAPITRE IV. - Cérémonies et danses
I. Signification et objet des cérémonies en général Il. Objet des cérémonies chez les Arunta et les Luritcha III. La cérémonie Horíomu chez les Papous de Kiwai (Nouvelle-Guinée) IV. Les danses des Bergdama (Afrique australe) V. Les masques et la représentation des morts. VI. Le chant, le rythme, la musique. - L'extase collective. La communion avec les puissances invisibles
CHAPITRE V. - Le culte des ancêtres et des morts
I. Les relations entre les morts et les vivants. - Maladies, morts, et autres malheurs attribués au déplaisir des morts II. Distinction, chez certains Bantou, entre les ancêtres des particuliers et ceux du chef. - Rôle de ceux-ci. - Ils disposent de la pluie. III. Protection et bienfaits que l'on demande aux ancêtres. - Une prière congolaise. - La prière et la louange chez les Bantou IV. Faits analogues en Nouvelle-Guinée et en Indonésie
CHAPITRE VI. - La sorcellerie
I. Attitude habituelle des primitifs en présence des accidents des malheurs, de la maladie et de la mort II. Tendance à les expliquer par la sorcellerie III. Divers aspects de la sorcellerie IV. Le mauvais oeil. - Le principe nocif logé dans le sorcier V. Action ensorcelante de la colère, de l'envie, du ressentiment, et des dispositions malveillantes VI. La sorcellerie domestique. - Pourquoi les proches sont les premiers suspects en cas de mort VII. En cas d'accident, les compagnons de la vic-time soupçonnés de l'avoir ensorcelé VIII. Animaux, plantes, objets, événements exerçant une action ensorcelante. - La sorcellerie et la catégorie affective du surnaturel
CHAPITRE VII. - Les « transgressions » et l'inceste
I. Caractères généraux des « transgressions », des événements et des actes contre-nature. - L'inceste est une transgression II. Les aberrations sexuelles et l'inceste. Leurs conséquences funestes pour le groupe social. III. Distinction du « grand » et du « petit » inceste en Indonésie
IV. L'inceste considéré comme une « autopollution », rapproché de l'autophagie (Nouvelle-Bretagne). Il n'est pas l'objet d'une « prohibition » formelle
V. L'incestueux, chez les Bantou, regardé comme un sorcier. - Circonstances exceptionnelles où le « grand » inceste est commis
VI. Cas de « petit » inceste où l'on peut « tuer » la parenté. - Violation de l'avoidance rapprochée, en certains cas, de l'inceste. - On se défait des incestueux de la même manière que des autres « transgressions »
CHAPITRE VIII. - Souillures et purifications
I. Purifier, le plus souvent, équivaut à délivrer d'une menace de malheur, à désensorceler ou guérir II. Crainte de contracter une souillure par contact ou contagion. - La « désinfection » mystique. III. Divers sens de « pur » et « impur ». - L'impureté des enfants. - Précautions qu'elle exige. IV. Rendre pur, c'est rendre fort. Signification des pratiques ascétiques V. Impureté causée par la foudre et par la mauvaise mort. La mort apotia chez les Nagas. VI. Purifications nécessaires après une mort, et pour faire disparaître la mauvaise influence d'un cadavre VII. Pratiques analogues chez les Bantou, chez les Eskimo VIII. Les coutumes de deuil. Purifications et tabous auxquels sont soumis les veufs et les veuves.
CHAPITRE IX. - Le sang. - Ses vertus mystiques
I. Rôle du sang et de l'ocre rouge dans les céré-monies australiennes II. Les vertus attribuées au sang en Indonésie III. Craintes inspirées par une effusion ou une perte de sang involontaire, ou due à la violence IV. Impureté causée par l'homicide avec effusion de sang. Restrictions et tabous auxquels l'homicide doit se soumettre V. L' « animalicide » souvent assimilé à l'homicide. Même impureté, mêmes craintes, et mêmes tabous
CHAPITRE X. - Le sang (suite). - Les sangs de la femme
I. Tabous relatifs aux relations sexuelles II. Tabous imposés aux femmes en âge d'avoir des enfants III. La jeune fille au moment de la puberté. Précautions prises à son égard IV. Craintes inspirées par le sang cataménial V. Raison de ces craintes : présence d'un esprit particulièrement malin. - Croyances à ce sujet en Nouvelle-Zélande et en Indonésie. VI. Représentations analogues chez les Bantou, au sujet des avortements et des fausses couches VII. L'embryon est d'abord du sang. - Caillots de sang devenant des enfants, dans des contes de folklore VIII. Tabous de la grossesse IX. Tabous de l'accouchement X. Croyances et pratiques relatives au placenta et au cordon ombilical
CHAPITRE XI. - De quelques méthodes de purification
I. Lavage et nettoyage par le sang, la fumée et l'eau. - Les médecines « noires » et « blanches » des Zoulou II. Nécessité de la confession dans certains cas de violation de tabou III. Vertu purifiante de la confession (Eskimo) Pourquoi les aveux sont indispensables IV. Confession exigée de la femme lorsqu'un accouchement est difficile et se prolonge V. Crainte inspirée par ce qui est nouveau et inconnu, nécessité d'une purification préalable VI. Rites et cérémonies relatifs aux prémices VII. Délai imposé à la consommation du mariage. VIII. Purification par transfert. - Le procédé du bouc émissaire. - La substitution
CHAPITRE XII. - De quelques méthodes de purification (suite)
I. Annuler l'effet d'un acte en le « renversant » Il. Celui qui a ensorcelé doit désensorceler, « défaire » ce qu'il a fait, « retirer » son mauvais vouloir, son mauvais il III. La contre-action, pour annuler l'action, doit lui être égale et exactement opposée IV. De là dérive la nécessité du talion, et de la « compensation ». - Leur caractère mystique. - Leur action purificatrice
Dernière mise à jour de cette page le dimanche 23 avril 200613:29
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue.
Saguenay - Lac-Saint-Jean, Québec
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