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Collection « Les auteur(e)s classiques »

Discours sur la première décade de Tite-Live (1531) [Texte intégral]
Table des matières


Une édition électronique réalisée à partir du texte de Nicolas Machiavel, Discours sur la première décade de Tite-Live (1531). Traduit de l'Italien par Toussaint Guiraudet. Paris, Bibliothèque Berger-Levrault, 1980, 372 pp. Collection Stratégies. Une édition numérique réalisée par Marcelle Bergeron, bénévole, professeure à la retraite de l'École polyvalente Dominique-Racine de Chicoutimi, Québec. [Cet ouvrage nous a été recommandé et même prêté par Mme Diane Lamoureux, politologue, Université Laval.]

Table des matières

Préface, par Claude Lefort

Notice, par Annick Pélissier

Nicolas Machiavel à Buondelmonti et Rucellai


Livre premier

Avant-propos

Chapitre premier. Quels ont été les commencements des villes en général, et surtout ceux de Rome

Ch. II. Des différentes formes de républiques. Quelles furent celles de la République romaine

Ch. III. Des événements qui furent cause de la création des tribuns à Rome. Leur établissement Perfectionna la Constitution

Ch. IV. Que la désunion du Sénat et du peuple a rendu la République romaine puissante et libre

Ch. V. À qui plus sûrement confier la garde de la liberté, aux grands ou au peuple, et lequel des deux cause plus souvent des troubles, de celui qui veut acquérir ou de celui qui veut conserver

Ch. VI. S'il était possible d'établir à Rome un gouvernement qui fit cesser les inimitiés qui existaient entre le Sénat et le peuple

Ch. VII. Combien d'accusations sont nécessaires dans une république pour y maintenir ta liberté

Ch. VIII. Autant les accusations sont utiles dans une république, autant la calomnie y est pernicieuse

Ch. IX. Qu'il faut être seul pour fonder une république ou pour la réformer en entier

Ch. X. Qu’autant sont dignes d'éloges les fondateurs d'une république ou d'une monarchie, autant méritent de blâme les auteurs d'une tyrannie

Ch. XI. De la religion des Romains

Ch. XII. Qu'il est important de faire grand cas de la religion. Perte de l’Italie pour avoir, par les intrigues de la cour de Rome, manqué à cette maxime

Ch. XIII. Comment les Romains se servaient de la religion pour établir des lois, favoriser leurs entreprises et arrêter les séditions

Ch. XIV. Que les Romains interprétaient les auspices suivant les besoins qu'ils en avaient ; qu'ils mettaient infiniment de prudence à paraître observer leur religion dans les occasions mêmes où ils étaient forcés de manquer à son observance ; qu'ils punissaient quiconque avait la témérité de la mépriser

 

Ch. XV. Comment les Samnites, dans une occasion désespérée, ont recours à la religion

Ch. XVI. Qu'un peuple accoutumé à vivre sous un prince conserve difficilement sa liberté si par hasard il devient libre

Ch. XVII. Qu'un peuple corrompu qui devient libre peut bien difficilement conserver sa liberté

Ch. XVIII. De quelle manière, dans un État corrompu, on pourrait conserver un gouvernement libre s'il y existait déjà, ou l’y introduire s'il n’y était pas auparavant

Ch. XIX. Qu'un État qui a un excellent commencement peut se soutenir sous un prince faible, mais sa perte est inévitable quand le successeur de ce prince est faible comme lui

Ch. XX. Qu'une succession de deux grands princes produit de grands effets ; et que, comme les républiques bien constituées ont nécessairement une succession d'hommes vertueux, elles doivent s'étendre et s'augmenter considérablement

Ch. XXI. Combien méritent d'être blâmés le prince ou la république qui n'ont point d'unité nationale

Ch. XXII. Ce qu’il y a de remarquable dans le combat des Horaces et des Curiaces

Ch. XXIII. Qu'on ne doit point hasarder toute sa fortune sans employer toutes ses forces et que, pour cela, souvent il est dangereux de se borner à garder des passages

Ch. XXIV. Les républiques bien constituées décernent des récompenses et des peines, et ne compensent jamais les unes par les autres

Ch. XXV. Que si l'on veut changer la constitution d'un État libre, on doit au moins conserver quelque ombre de ses anciennes institutions

Ch. XXVI. Qu'un prince nouvellement établi dans une ville ou dans une province conquise doit tout renouveler

Ch. XXVII. Que tous les hommes sont rarement tout bons ou tout mauvais

Ch. XXVIII. Pourquoi les Romains furent moins ingrats envers leurs concitoyens que ne le.fut le peuple d’Athènes envers les siens

Ch. XXIX. Quel est le plus ingrat d'un peuple ou d'un prince

Ch. XXX. Quels moyens doit employer un prince ou une république pour éviter le vice de l'ingratitude, et comment un général ou un citoyen peuvent éviter d'en être les victimes

Ch. XXXI. Que les généraux romains ne furent jamais punis rigoureusement pour des fautes commises ; ils ne le furent même pas quand leur ignorance et leurs mauvaises opérations avaient occasionné les plus grands dommages à la république

Ch. XXXII. Qu’une république ou un prince ne doivent pas différer quand il s'agit de subvenir aux besoins de leurs sujets

Ch. XXXIII. Quand un mal est parvenu au plus haut point dans un État, il est plus sage de temporiser que de heurter de front

Ch. XXXIV. Que la dictature fit toujours du bien, et jamais de mal à la république romaine. C'est l’autorité dont les citoyens s'emparent qui nuit à la liberté, et non celle qui lui est conférée par les suffrages libres du peuple

Ch. XXXV. Pourquoi, dans Rome, la création des décemvirs fut-elle nuisible à la liberté, quoiqu'ils eussent été nommés par les suffrages libres du peuple

Ch. XXXVI. Que les citoyens qui ont été revêtus des plus grands emplois ne doivent pas dédaigner les moindres

Ch. XXXVII. Des troubles causés à Rome par la loi agraire ; qu'il est très dangereux dans une république de faire une loi qui fasse revenir sur le passé et qui détruise une ancienne coutume de l’État

Ch. XXXVIII. Les républiques faibles sont irrésolues et ne savent ni délibérer ni prendre un parti, Si quelquefois elles en prennent un, c'est plus par nécessité que par choix

Ch. XXXIX. Les mêmes accidents arrivent quelquefois chez des peuples bien différents

Ch. XL. La création du décemvirat à Rome, et ce qu'il faut y remarquer ; où l'on considère entre autres choses comment le même accident peut sauver ou perdre une république

Ch. XLI. Il est aussi imprudent qu'inutile de passer sans gradation et de sauter pour ainsi dire de la modestie à l'orgueil, de la douceur à la cruauté

Ch. XLII. Combien les hommes peuvent aisément se corrompre

Ch. XLIII. Ceux qui combattent pour leur propre gloire sont de bons et fidèles soldats

Ch. XLIV. Une multitude sans chef ne peut rien faire ; et l'on ne doit pas se porter à des menaces avant de s'être emparé de l'autorité

Ch. XLV. Il est de mauvais exemple de ne pas observer une loi, surtout de la part de ceux qui 1'ont faite, et rien de plus dangereux pour ceux qui gouvernent une ville que de renouveler chaque jour les reproches et les punitions de torts anciens

Ch. XLVI. Les hommes s'élèvent d'une ambition à une autre. On songe d'abord à se défendre, ensuite à attaquer

Ch. XLVII. Que les hommes, quoique sujets à se tromper sur le général, ne se trompent pas sur le particulier

Ch. XLVIII. Qui veut empêcher qu'une magistrature soit déférée à un homme vil ou méchant doit la faire demander par un homme plus vil et plus méchant encore, ou par ce qu'il y a dans l’État de plus illustre et de plus vertueux

Ch. XLIX. Si les villes, libres dès l'origine, comme Rome, ont de la difficulté à trouver des lois qui les maintiennent en liberté, celles qui sont nées de la servitude éprouvent l'impossibilité d’y réussir

Ch. L. Que nul conseil, nul magistrat ne doit pouvoir arrêter la marche des affaires dans un État

Ch. LI. Qu'une république ou un prince doit feindre de faire par générosité ce à quoi la nécessité le contraint

Ch. LII. Pour réprimer les excès et le danger d'un ambitieux en crédit dans une république, il n'est pas de plus sûr moyen ni qui fasse moins d'éclat que d'occuper avant lui le chemin qui conduit à celle élévation

Ch. LIII. Qu'un peuple souvent désire sa ruine, trompé par une fausse apparence de biens, et qu'on le met facilement en mouvement par des espérances séduisantes et des promesses magnifiques

Ch. LIV. Combien est puissante l'autorité d'un grand homme pour calmer une multitude échauffée

Ch. LV. Combien il est aisé de faire marcher toutes choses dans une république où le peuple n'est pas encore corrompu ; où l'égalité règne, il ne peut y avoir de principat ; où l'égalité ne se trouve pas, il ne peut y avoir de république

Ch. LVI. Que les grands changements qui arrivent dans une ville ou un État sont toujours annoncés par des événements, ou prédits

Ch. LVII. Que le peuple en masse est très courageux; séparé, il est très faible

Ch. LVIII. Qu'un peuple est plus sage et plus constant qu'un prince

Ch. LIX. À qui d'un peuple ou d'un prince peut-on se fier davantage comme allié

Ch. LX. Que le consulat et toute autre magistrature à Rome se donnaient sans égard à l'âge.


Livre second

Avant-propos

Chapitre premier. Laquelle a le plus contribué à la grandeur de l'empire romain, de la vertu ou de la fortune?

Ch. II. Quels furent les peuples que les Romains eurent à combattre, et combien ils furent opiniâtres à défendre leur liberté

Ch. III. Rome s'agrandit en ruinant les villes voisines et en accordant facilement aux étrangers la qualité de citoyens

Ch. IV. Les républiques ont employé trois moyens pour s'agrandir

Ch. V. Que les changements de religion et de langue, et les accidents des déluges et des pestes effacent la mémoire des choses.

Ch. VI. Comment les Romains faisaient la guerre

Ch. VII. Quelle quantité de terrain les Romains accordaient-ils à chaque colon ?

Ch. VIII. Pour quelles raisons les peuples abandonnent-ils leur patrie pour se répandre dans des pays étrangers

Ch. IX. Quels sont les sujets ordinaires de guerre entre les souverains

Ch. X. Que l'argent n'est pas le nerf de la guerre, quoique ce soit l'opinion générale

Ch. XI. Qu'il n'est pas sage de s'allier avec un prince qui a plus de réputation que de force

Ch. XII. Lequel vaut mieux, lorsqu'on craint d'être attaqué, de porter la guerre chez son ennemi ou de l'attendre chez soi

Ch. XIII. Pour s'élever d'un état médiocre à un rang élevé, la ruse sert plus que la force

Ch. XIV. Que les hommes se trompent bien des fois en croyant qu'à force de soumission on désarme la hauteur

Ch. XV. Que des États faibles sont toujours indécis, et la lenteur à se déterminer est toujours nuisible

Ch. XVI. Combien les armées modernes diffèrent des anciennes

Ch. XVII. Comment on doit apprécier l’artillerie dans nos armées modernes, et si l'opinion qu'on en a généralement est fondée en raison

Ch. XVIII. Qu'il est prouvé par l'exemple des Romains qu'on doit faire plus de cas de l'infanterie que de la cavalerie

Ch. XIX. Que les acquisitions d'une république mal constituée, et qui ne prend pas pour modèle de conduite celle des Romains, la mènent plutôt à sa ruine qu'a un accroissement de puissance

Ch. XX. À quel péril s'exposent les princes ou les républiques qui se servent de troupes auxiliaires ou mercenaires

Ch. XXI. Le premier préteur que les Romains envoyèrent hors de Rome fut pour Capoue, quatre cents ans après qu'ils avaient commencé à faire la guerre

Ch. XXII. Combien sont erronés souvent les jugements que les hommes portent des grandes choses

Ch. XXIII. Combien les Romains évitaient les partis mitoyens à l'égard de leurs sujets, quand ils croyaient avoir une décision à prendre

Ch. XXIV. Les forteresses sont en général plus nuisibles qu'utiles

Ch. XXV. Que c'est prendre un mauvais parti que de profiter de la désunion qui règne dans une ville pour l'attaquer et s'en rendre maître

Ch. XXVI. Les témoignages de mépris et les injures n'attirent que de la haine, sans profit pour qui les emploie

Ch. XXVII. Les princes et les républiques sages doivent se contenter de vaincre, car on perd parfois tout à vouloir trop gagner

Ch. XXVIII. Combien il est dangereux pour une république ou pour un prince de ne pas venger les torts faits au public ou aux particuliers

Ch. XXIX. La fortune aveugle l'esprit des hommes, quand elle ne veut pas qu'ils s'opposent à ses desseins

Ch. XXX. Les républiques et les princes vraiment puissants n'achètent pas des alliés à prix d'argent ; c'est par leur courage et la réputation de leurs forces qu'ils s'en attirent

Ch. XXXI. Qu'il est dangereux de se fier à des exilés

Ch. XXXII. De quelle manière les Romains attaquaient les villes

Ch. XXXIII. Les Romains laissaient leurs généraux parfaitement maîtres de leurs opérations


 

Livre troisième

Chapitre premier. Veut-on qu'une religion ou une république durent longtemps, il faut les ramener souvent à leur principe

Ch. II. Combien il y a de sagesse à jouer pour un temps la folie !

Ch. III. Qu'il est nécessaire pour maintenir une liberté nouvellement acquise, comme Brutus, de massacrer ses enfants

Ch. IV. Qu'un prince ne peut vivre en sûreté dans un État, tant que vivent ceux qu'il en a dépouillés

Ch. V. Qu'est-ce qui fait perdre le trône à un roi qui ne jouit par succession ?

Ch. VI. Des conspirations

Ch. VII. D'où vient que le passage de la liberté à la servitude, et de la servitude à la liberté, coûte quelquefois beaucoup de sang, et que quelquefois il n'en coûte pas du tout

Ch. VIII. Quiconque veut opérer des changements dans une république doit examiner dans quel état elle se trouve

Ch. IX. Qu'il faut changer suivant les temps, si l'on veut toujours avoir des succès

Ch. X. Qu'un général ne peut éviter une bataille lorsque l'ennemi veut la livrer à quelque prix que ce soit

Ch. XI. Quiconque a beaucoup d'ennemis à combattre est sûr de les vaincre, quoiqu'il leur soit inférieur en force, s'il peut soutenir leur premier effort

Ch. XII. Comment un habile général doit mettre ses soldats dans la nécessité de se battre, et procurer à ceux de l'ennemi tous les moyens de s’en dispenser

Ch. XIII. Qui doit inspirer plus de confiance, ou d'un bon général qui a une mauvaise armée, ou d'une bonne armée commandée par un mauvais général

Ch. XIV. Effet que produisent au milieu d'une bataille des stratagèmes nouveaux et des paroles imprévues

Ch. XV. Il ne faut à une armée qu'un seul chef. Un plus grand nombre nuit

Ch. XVI. Dans les temps difficiles on recherche le mérite, mais quand tout est paisible, la faveur est, non pour les hommes vertueux, mais pour ceux qui ont, ou des richesses, ou des parents puissants

Ch. XVII. Un État, après avoir offensé un citoyen, ne doit pas lui confier un commandement ou toute autre commission importante

Ch. XVIII. Le plus grand talent d'un habile général est de savoir deviner les desseins de l'ennemi

Ch. XIX. Les voies de la douceur sont-elles préférables aux voies de rigueur pour gouverner la multitude

Ch. XX. Un trait d'humanité fit plus d'impression sur les Falisques que toute la puissance des Romains

Ch. XXI. Pourquoi Annibal avec une conduite opposée à celle de Scipion eut en Italie les mêmes succès que ce général romain en Espagne

Ch. XXII. Comment la sévérité de Manlius Torquatus et la douceur de Valérius Corvinus les couvrirent également de gloire

Ch. XXIII. Causes du bannissement de Camille

Ch. XXIV. La prolongation du commandement militaire fil perdre à Rome sa liberté

Ch. XXV. Pauvreté de Cincinnatus et de plusieurs citoyens romains

Ch. XXVI. Comment les femmes sont la cause de la ruine d'un État

Ch. XXVII. Moyen de rétablir l'union dans une ville. Il est faux que la désunion soit nécessaire pour y conserver son autorité

Ch. XXVIII. Que l'on doit surveiller les actions des citoyens, parce que souvent celle qui paraît vertueuse recèle un principe de tyrannie

Ch. XXIX. Les fautes des peuples viennent de celles des princes

Ch. XXX. Qu'un citoyen qui veut être utile à sa république par quelque action particulière doit d'abord imposer silence à l'envie. Moyen de défendre une ville à l'approche d'un ennemi qui la menace

Ch. XXXI. Les grands hommes et les républiques bien constituées conservent le même courage au sein de la prospérité et dans le revers

Ch. XXXII. Moyens employés pour rendre la paix impossible

Ch. XXXIII. Pour gagner une bataille, il faut que les troupes soient remplies de confiance, et en elles-mêmes, et en leur général

Ch. XXXIV. Comment la réputation, la voix publique, l'opinion concilient d'abord à un citoyen la faveur populaire. Le peuple fait-il, pour les places, de meilleurs choix que les princes?

Ch. XXXV. Danger de conseiller une entreprise, toujours proportionné à la grandeur de cette entreprise

Ch. XXXVI. Pourquoi a-t-on regardé les anciens Gaulois, et regarde-t-on encore les Français, comme étant plus que des hommes au commencement d'un combat, et moins que des femmes vers la fin

Ch. XXXVII. De petits combats sont-ils nécessaires avant d'en venir à une action générale ? Si on veut les éviter, comment faut-il s’y prendre pour connaître un ennemi auquel on a affaire pour la première fois ?

Ch. XXXVIII. Qualités nécessaires à un général pour obtenir la confiance de ses soldats

Ch. XXXIX. Il faut qu'un général connaisse le pays où il fait la guerre

Ch. XL. À la guerre, la ruse mérite des éloges

Ch. XLI. Il faut défendre la patrie, soit avec ignominie, soit avec gloire ; tous moyens sont bons, pourvu qu'elle soit défendue

Ch. XLII. Les promesses arrachées par la force ne doivent point être observées

Ch. XLIII. Les habitants d'un même pays conservent toujours à peu près le même caractère

Ch. XLIV. L'audace et la précipitation emportent souvent ce que l'on n'obtiendrait point par des moyens ordinaires

Ch. XLV. Est-il plus avantageux de soutenir d'abord le choc de l'ennemi, et de l'attaquer ensuite vivement, que de commencer le combat avec impétuosité ?

Ch. XLVI. Pourquoi le même caractère se conserve-t-il assez longtemps dans les familles d'une même cité

Ch. XLVII. L'amour de la patrie doit faire oublier à un bon citoyen les inimitiés particulières

Ch. XLVIII. Une faute trop marquée et trop grossière de la part de l'ennemi doit faire soupçonner un piège

Ch. XLIX. Une république qui veut se conserver libre doit prendre chaque jour de nouvelles précautions. Services qui méritèrent à Q. Fabius le surnom de Maximus.



Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le mardi 4 janvier 2011 9:10
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur de sociologie au Cegep de Chicoutimi.
 



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