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Collection « Les auteur(e)s classiques »
Une édition électronique réalisée à partir du texte de SUNG-NIEN HSU (1902-19 ?), ANTHOLOGIE de la LITTÉRATURE CHINOISE. Des origines à nos jours. Paris, Librairie Delagrave, 1932, 445 pages. Une édition réalisée par Pierre Palpant, bénévole, Paris. Table des matières C31. SUNG-NIEN HSU (1902-19 ?), ANTHOLOGIE de la LITTÉRATURE CHINOISE. Des origines à nos jours. POÉSIE : CHANSON POPULAIRE DES GRANDES ROUTES YU CHOUEN : CHANT DU VENT MÉRIDIONAL LES POÈMES DU CHE KING : KOUAN TSIN KIUAN-EUL HAN KOUANG YEN YEN MENG T’SIANG TCHONG-TSEU TCH’EOU MIEOU T’CHE HOU K’IU P’ING : LI SAO KAO TSOU, DES HAN : CHANT DU GRAND VENT SSEU-MA SIANG-JOU : FOU DE TCH’ANG-MEN TCHO WEN-KIUN : CHANSON DES CHEVEUX BLANCS WOU TI, DES HAN : LE VENT D’AUTOMNE SOU WOU : ELÉGIE MME SOU WOU : ELÉGIE LI LING : A SOU WOU SOU WOU : ELÉGIES TS’AI YEN : CHANT DE DÉTRESSE (AUTEUR INCONNU) : LA FEMME D’UN PETIT FONCTIONNAIRE DE LIU-KIANG TS’AO TS’AO : CHANSON AU TON BREF WEN TI, DES WEI : CHANSON DE YEN TS’AO TCHE : CHANT POUR UN AIR DE TCHE SIU KAN : VARIATION WANG TS’AN : POÈMES DES SEPT TRISTESSES YUAN TSI : EN EXPOSANT MES SENTIMENTS KI K’ANG : VARIATION LIEOU LING : ÉLOGE DU VIN TSOUO SSEU : EN CHANTONNANT SUR LE PASSÉ P’AN YO : EN ME LAMENTANT SUR LA MORT DE MA FEMME LOU KI : OH! TRISTESSE TAO TS’IEN : EN RETOURNANT À MES CHAMPS ET À MON JARDIN EN GRONDANT MES FILS EN BUVANT SIÉ LING-YUN : DE LA CASCADE KING-TCHOU, JE SUIS ALLÉ À LA RIVIÈRE DE LA COLLINE PAO TCHAO : DIFFICULTÉS DE LA ROUTE CHEN YO : SOUVENIRS WOU TI, DES LIANG : CHANT DE TSEU-YE SIÉ T’IAO : LE MONT KING-T’ING (AUTEUR INCONNU) : CHANT LU À VOIX BASSE (AUTEUR INCONNU) : POÈME DE MOU-LAN KIEN WEN TI, DES LIANG : CHANT DE KIANG-NAN HEOU TCHOU, DES TCH’EN : CHANT DU REPOS DES CORBEAUX YU CHE-NAN : LUCIOLE WANG TSI : DÉBUT DU PRINTEMPS WANG FAN-TCHE : EN METTANT LES CHAUSSETTES À L’ENVERS SUR LE DOS D’UN ÂNE LE SEUIL EN FER WANG PO : LE NEUF CHANG KOUAN-YI : GRAND FLEUVE YANG KIONG : PROMENADE MATINALE LOU TCHAO-LIN : DIFFICULTÉS DE LA ROUTE TCH’EN TSEU-NGANG : MES IMPRESSIONS HO TCHE-TCHANG : POÈMES COMPOSÉS PAR HASARD SUR MON RETOUR SONG TCHE-WEN : J’AI À PENSER CHEN TS’IUAN-K’I : VARIATIONS HIUAN TSONG, DES T’ANG : CHANT DES MARIONNETTES MENG HAO-JAN : AURORE PRINTANIÈRE EN ME RENDANT À LA MAISON DES CHAMPS DE MON AMI LIEOU TCH’ANG-K’ING : RENCONTRANT LA NEIGE, J’AI PASSÉ LA NUIT SUR LE MONT DES FLEURS DE LOTUS EN JOUANT DU K’IN WANG TCH’ANG-LING : MÉLANCOLIE DANS LE GYNÉCÉE WANG WEI : PENDANT LA FÊTE DU DOUBLE NEUF, JE PENSE À MES FRÈRES QUI SONT DANS LE CHAN-TONG DANS MA MAISON DES CHAMPS, À WANG-TCH’OUAN, PENDANT LE TEMPS PLUVIEUX TCH’OU KOUANG-HI : AIR DU SUD DU FLEUVE KAO CHE : POÈME D’ADIEU TCH’EN CHEN : EN RENCONTRANT UN MESSAGER QUI VA À LA CAPITALE LI PO : DEVANT NOS COUPES PLEINES LES CORBEAUX CROASSENT LE SOIR VISITE À UN TAOÏSTE MON VŒU DANS L’ANCIEN ROYAUME DES YUE EN ÉCOUTANT LA MUSIQUE D’UN PRÊTRE TAOÏSTE DIFFICULTÉS DE LA ROUTE CONDUISANT AU PAYS DE CHOU CHANSON DE SIANG-YANG EN PENSANT AUX IMMORTELS SOUVENIR D’ADIEU DANS UNE MAISON DE LIQUEURS À KIN-LING YAN, PAN EUL CHANSON DES CORBEAUX QUI SE REPOSENT A UNE BELLE DE KIN-LING TS’OUEI HAO : LE PAVILLON DE LA GRUE JAUNE WANG TCHE-HOUAN : EN MONTANT À L’ÉTAGE SUPÉRIEUR TOU FOU : CHANT DES CHARS GUERRIERS DE LA CAPITALE À FONG-SIEN PLAINTE AU BORD DU FLEUVE VILLAGE K’IANG J’AI RÊVÉ DE LI PO L’AQUILON EMPORTE LE TOIT DE MA « CHAUMIÈRE » YUAN KIE : DESCRIPTION DE LA RIVIÈRE SERPENTANTE, POUR INVITER UN ERMITE CHEN TS’IEN-YUN : AU SIEOU-WEN, CHE KOU HOUANG : CHANSON DE LA TRISTESSE WEI YIN-WOU : EN AUTOMNE, J’AI PASSÉ LA NUIT TOUT SEUL NUIT LOU T’ONG : A TIEN-TING MENG KIAO : CHANSON D’UN FILS VOYAGEUR TCHANG TSI : CHANT D’UNE FEMME FIDÈLE HAN YU : EN MARCHANT SUR LE GIVRE L’EAU DU FLEUVE LES ROCHERS DE LA MONTAGNE LIEOU YU-SI : EN COMPAGNIE, JE BOIS DU VIN, TOUT EN CONTEMPLANT LES PIVOINES PO KIU-YI : CHANT DES REGRETS SANS FIN LA FEMME DU CHANG-YANG LE VIEILLARD MUTILÉ DE SIN-FONG AU COURS DE MA MALADIE, JE PLEURE LA PERTE DE MA PETITE KIN-LOUAN TROIS POÈMES À WEI-TCHE YUAN TIEN : CHANSON DU PALAIS LIEN-TCH’ANG EN ÉCOUTANT YU KI-TCHE JOUER L’AIR DES CRIS NOCTURNES DU CORBEAU KIA TAO : EN CHERCHANT VAINEMENT L’ERMITE TOU MOU : MARCHE DANS LA MONTAGNE A UNE JOLIE FEMME LI CHANG-YIN : LA PLAINE DE LO‑YEOU WEN T’ING-YUN : P’OU-SA-MAN EN RÊVANT DU SUD DU FLEUVE BLEU LO YIN : LES ABEILLES TOU SIUN-HO : LE JEUNE PIN EN MONTANT AU TEMPLE DE T’IEN-T’AI WEI TCHOUANG : NIU-KOUAN-TSEU NGEOU-YANG K’IONG : LE SABLE DU RUISSEAU HOUAN TCHANG PI : LES PAPILLONS FONG YEN-KI : JE PENSE LONGUEMENT HEOU TCHOU, DES NAN T’ANG : P’OU-SA-MAN LES FLOTS LAVENT LE SABLE FAN TCHONG-YEN : SOU-TCHE-MO TCHANG SIEN : LA BELLE JOUE DE LA FLÛTE YEN CHOU : TRISTESSE ACCABLANTE D’UNE BELLE LIEOU YUN : EN PENSANT À LA CAPITALE CHE MAN-K’ING : EN EXPOSANT MES IDÉES YEN KI-TAO : FESTIN PRINTANIER MEI YAO-TCH’EN : AU BORD DE LA RIVIÈRE NGEOU-YANG SIEOU : LES MONTAGNES LOINTAINES AU CRÉPUSCULE, JE PASSE AU BORD DE LA RIVIÈRE LE PÊCHEUR PROMENADE PRINTANIÈRE AU « PAVILLON DE LA BONNE RÉCOLTE ET DE LA PAIX » SOU CHOUEN-K’ING : ECRIT SUR LE MUR DU « TEMPLE DE LA COLLINE FLEURIE » CHAO YONG : EN CONTEMPLANT LES FLEURS DANS LE JARDIN DU SUD WANG NGAN-CHE : EN VOYAGEANT DANS TS’I-NGAN SOU CHE : EN LAVANT MON FILS LES POISSONS NIEN-NOU-KIAO YU-MEI-JEN WANG T’ING-KIEN : LES FLEURS DU POIRIER LE PRINTEMPS APPROCHE TS’IN KOUAN : ÉCRIT À NING-P’OU TCHANG-LEI : A-KI TCH’AO POU-TCHE : IMPROVISÉ À WEN-TS’IEN TCHEOU PANG-YEN : DERRIÈRE LA FENÊTRE ROUGE LI TS’ING-TCHAO : IVRE SOUS L’OMBRE DES FLEURS PAROLES LENTES TCH’EN YU-YI : MEI, FLEUR HIVERNALE YANG WAN-LI : LE MATIN, J’AI FRANCHI LE GUÉ DE TA KAO LOU YEOU : SOUS LA FENÊTRE LA QUIÉTUDE JE VOGUE SUR LE LAC JUSQU’AU KING ORIENTAL FAN TCH’ENG-TA : PRIÈRE AU DIEU DU FOURNEAU SIN K’I-TSI : LE PRINTEMPS À WOU-LING LA JOIE DE LA PAIX LOU FOU MAN TCHAO PING-WEN : LE PONT DES ANGES YUAN HAO-WEN : VIVRE DANS LA MONTAGNE JOUR DU DÎNER FROID DE L’ANNÉE SIN-HAI HIU HENG : ORAGE KIN LI-SIANG : DANS LE TEMPLE TS’IU-TCHEN, DANS LA GROTTE CHANG-LING, J’AI ÉCOUTÉ LE K’IN; JE DÉDIE CE POÈME À TS’EU-KONG LIEOU YIN : SÉJOUR CHAMPÊTRE TCHAO MENG-FOU : NUIT SOLITAIRE YU TSI : EN MONTANT À CHEVAL YANG WEI-TCHEN : NONCHALANCE A L’AUTOMNE NAISSANT, DANS LA NUIT, JE M’ASSIEDS KAO K’I : CHANT DE LA BRANCHE DE BAMBOU YUAN K’AI : DANS LA CAPITALE, J’AI REÇU DES NOUVELLES DE MA FAMILLE LI TONG-YANG : AU TEMPLE DU BIENFAIT AFFECTUEUX LI MONG-YANG : CHANT DE TSEU‑YE HO KIN‑MING : CHANT DE L’EAU DE L’EAU DE LA RIVIÈRE LI P’AN‑LONG : A LA MANIÈRE ANTIQUE YUAN HONG-TAO : LE DESTIN MALHEUREUX DE VOTRE SERVANTE TS’IUAN K’IEN-YI : FLEUR DE SAULE WOU WEI-YE : CHANT DE TSEU-YE LI YU : EN CUEILLANT DES LOTUS CHE JOUEN-TCHANG : EN MARCHANT DANS LA MONTAGNE TCHOU YI-TSOUEN : LE TEMPLE LI-NGAN WANG CHE‑TCHENG : CE QUE JE VOIS LA NUIT DU 15 DE LA NEUVIÈME LUNE, JE PLEURE LA PERTE DE MON ENFANT, CHE TCH’A CHEN-HING : JE PASSE LA NUIT AU CÔTÉ ORIENTAL DE LA SALLE SOU-YAN CHEN TO-TS’IEN : FAUSSE NOUVELLE YUAN MEI : FATIGUE DE MIDI NUIT D’HIVER TSIANG CHE-TS’IEN : ASPECT CRÉPUSCULAIRE DU PAVILLON LO-TSO TCHAO YE : DANS UN BATEAU À RAME HOU CHE : EN GRAVISSANT LA MONTAGNE KOUO MO-JO : AURORE SIU TCHE-MO : C’EST UN MONDE LÂCHE ALLEZ-VOUS-EN POISON PING-SIN : PLUIE NOCTURNE MÈRE! K’ANG PO-TS’ING : DOUTE TSONG PO-HOUA : HIVER LIEOU TA-PO : FEUILLES MORTES SIU TAN-KO : JE SUIS UN DÉMON ME-CHENG : DEUX ÉTOILES BRILLANTES FONG TCHE : LE RESTE DU VIN WANG YI-NGAN : BAISER ROMAN : AUTEURS DIVERS : SI WANG MOU, DÉESSE SUPRÊME LIE YU-KEOU : LE BONHEUR D’UN SAGE CIEL ET TERRE LE VIEILLARD NAÏF VOULAIT TRANSPORTER LES MONTAGNES TCHOUANG TCHEOU : EN FLÂNANT LA MORT DE LA FEMME DE MAÎTRE TCHOUANG SECOURS MIRIFIQUE ET RÉALITÉ TS’ING-CHE-TSEU : EDUCATION FŒTALE WEN TI, DES WEI, OU TCHANG HOUA : L’ESPRIT TRANS-FORMÉ EN UN MOUTON KAN PAO : LA MORT DE TCHEOU CHE YIN YUN : L’ESPRIT DE CONFUCIUS TCHANG SOUEI : BIOGRAPHIE D’UN PREUX BARBU YANG KIU-YUAN : BIOGRAPHIE DE « FIL ROUGE » YUAN TIEN : BIOGRAPHIE DE YING-YING SIU HIUAN : WANG MOU EN ABANDONNANT UNE MALADE (AUTEUR INCONNU) : GRAND’MÈRE FUMERON LO PEN : LE ROMAN DES TROIS ROYAUMES : LA SCÉLÉRATESSE DE TS’AO TS’AO TCHAO YUN ET TCHANG FEI AU BORD DU LAC : LOU TCHE-CHEN WOU SONG WOU TCH’ENG-NGEN : RELATION D’UN VOYAGE AUX PAYS D’OCCIDENT : LES TRANSFORMATIONS DU SINGE-BONZE SOUEN LA MONTAGNE ENFLAMMÉE P’OU SONG-LING : RÉCITS EXTRAORDINAIRES ÉCRITS DANS LA SALLE DE QUIÉTUDE (FONG-SIEN, RENARDE ENCHAN-TÉE) WOU KING-TSEU : HISTOIRE PARTICULIÈRE DE LA FORÊT DES LETTRÉS (L’AVENTURE DE FAN TSIN) TS’AO SIUE-K’IN : LE RÊVE DANS LE PAVILLON ROUGE (LES AMOURS DRAMATIQUES DE KIA PAO-YU ET DE LIN TAI-YU) WOU WOU-YAO : SCÈNES ÉTRANGES VUES PENDANT VINGT ANS LOU SIN : K’ONG YI-KI TCHOU TSEU-TS’ING : L’HISTOIRE DES RIRES YU TA-FOU : SANG ET LARMES YANG-NGAN : UNE FILLETTE D’UNE VERTU INFLEXIBLE THÉÂTRE : LES COMÉDIES LE TCH’OUAN-TA : TCHENG KIN LES FLIRTS LES DIFFÉRENTS AIRS DE LA NOTE KONG : TONG KIAI YUAN L’AILE OCCIDENTALE DE LA MAISON ÉCOLE DU NORD KOUAN HAN K’IN LA MORT INJUSTE DE TEOU NGO WANG CHE-FOU HISTOIRE DE L’AILE OCCIDENTALE DE LA MAISON MA TCHE-YUAN L’AUTOMNE DANS LE PALAIS DES HAN ÉCOLE DU SUD KAO MING LE MÉMOIRE (D’UNE JOUEUSE) DE P’I-P’A T’ANG HIEN-TSOU LE PAVILLON DES PIVOINES HONG CHENG LE PALAIS DE LA LONGÉVITÉ K’ONG CHANG-JEN L’ÉVENTAIL AUX FLEURS DE PÊCHER PHILOSOPHIE : K’ONG K’IEOU (CONFUCIUS) : CIEL DESTIN LE JEN PITIÉ FILIALE MENG K’O (MENCIUS) : LA NATURE HUMAINE EST BONNE POLITIQUE ÉDUCATION SIUN HOUANG : CONTRE L’IDOLÂTRIE DU CIEL LA NATURE HUMAINE EST MAUVAISE LI EUL (LAO-TSEU) : LE TAO LE NON-AGIR POLITIQUE ÉDUCATION YANG TCHOU : IL FAUT JOUIR DE NOTRE VIE ÉGOÏSME « RELATIF » TCHOUANG TCHEOU (TCHOUANG-TSEU) : TAO VERTU CIEL BONHEUR LIBERTÉ EGALITÉ CONSIDÉRATIONS SUR LA VIE ET SUR LA MORT MO TI : ANTICONFUCÉEN S’ENTR’AIMER CONTRE LA GUERRE HOUEI CHE : DIX RÉFLEXIONS TONG TCHONG-CHOU : CIEL TERRE HOMME LA NATURE HUMAINE EST À LA FOIS BONNE ET MAUVAISE YANG HIONG : LE MYSTÈRE SUPRÊME WANG TCH’ONG : LE CIEL EST SANS INTENTION LA FORTUNE EST UN HASARD LES ESPRITS N’EXISTENT PAS IL Y A DE BONNES ET DE MAUVAISES NATURES HUMAINES KO HONG : LA TRINITÉ TAOÏSTE HAN YU : LE TAO ORIGINEL LA NATURE HUMAINE ORIGINELLE CONTRE LE BOUDDHA CHAO K’ANG-TSIE : LA THÉORIE DE « QUATRE » TCHEOU TOUEN-CHE : LE « T’AI KI » TCH’ENG HAO : LA NATURE HUMAINE C’EST L’ACTION DE « NAÎTRE » TCHOU HI : LE « T’AI KI », LE « LI » ET LE « K’I » LA NATURE HUMAINE LOU SIANG-CHAN : L’UNIVERS ET MOI LE « LI » ET LE CŒUR WANG YANG-MING : LA « CONNAISSANCE INTUITIVE » YEN YUAN : LA PRATIQUE AVANT TOUT HISTOIRE : K’ONG K’IEOU (CONFUCIUS) : PRINTEMPS ET AUTOMNE TSOUO K’IEOU-MING : COMMENTAIRE DE PRINTEMPS ET AUTOMNE KOU-LIANG TCH’E : COMMENTAIRE DE PRINTEMPS ET AUTOMNE KONG-YANG KAO : COMMENTAIRE DE PRINTEMPS ET AUTOMNE SSEU-MA TS’IEN : PREMIER EMPEREUR DES TS’IN PAN KOU : HO KOUANG DÉTRÔNE LE PRINCE TCH’ANG-YI NGEOU-YANG SIEOU : LA MORT DE TCHOUANG TSONG DES T’ANG
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