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Collection « Histoire du SaguenayLac-Saint-Jean »
Russel Aurore Bouchard, OTIPEMISIWAK. «Ils ont inventé l’Amérique».
Réflexion sur les Métis de la Boréalie québécoise.(2016)
Liste des illustrations
Une édition réalisée à partir du texte de Russel Aurore Bouchard, Russel Aurore Bouchard, OTIPEMISIWAK. «Ils ont inventé l’Amérique». Réflexion sur les Métis de la Boréalie québécoise. Chicoutimi, Québec: Russel Bouchard, 2016, 120 pp. [Autorisation formelle accordée par l’auteure le 16 janvier 2020 de diffuser ce livre, en accès libre à tous, dans Les Classiques des sciences sociales.]
Fig. p. 15. Sur ces deux clichés, on retrouve une partie de la population indienne et métisse installée au nord de Chicoutimi, vers 1910.
La photo à gauche concerne une partie de la population de la paroisse Sainte-Anne-de-Chicoutimi,
et celle à droite concerne une partie de la communauté autochtone du Lac-Clair,
à une quinzaine de kms au nord de Chicoutimi. Photos, collection de l’auteure
Fig. p. 21.
Le Métis Ghislain Corneau, tapi à l’indienne à l’entrée de sa tente plantée au coeur de son territoire de chasse ancestral, le long de la rivière au Petit-Bras, un affluent de la rivière Valin, au nord du Saguenay. Son nom domine la liste des 17 intimés que le gouvernement du Québec entend dépouiller de leurs droits ancestraux et de leur statut de Métis pourtant reconnu dans l’article 35 de la Constitution canadienne. Ghislain Corneau est lié par son père au clan Métis de François Lavaltrie dit Tshishara, époux de l’Indienne Marie-Rose Otchitchik. Photo, collection de l’auteure
Fig. p. 24.
Le Métis Peter McLeod Jr est une figure légendaire de l’histoire de Chicoutimi et des Postes du Roi. Il représente, pour les Métis du Saguenay, ce que représente Louis Riel pour les Métis du Nord-Ouest. Photo, collection de l’auteure
Fig. p. 25.
La petite communauté métisse vivant au Rocher-de-la-Vieille, en 1929.
Le lieu-dit Rocher-de-la-Vieille est situé au pied de l’évêché de Chicoutimi et du couvent des soeurs du Bon-Conseil. Jusqu’à l’ouverture de la rue Racine, après le feu de 1912, c’était un lieu sacré pour les Indiens des temps immémoriaux et une sorte de no man’s land où vivaient toujours, en 1934 quand Timothée Harvey a livré son témoignage, quelques familles métisses. En 1906, le fils du père McLeod (senior), Alexandre, le demi-frère du Métis Peter McLeod, y avait construit maison où il éleva famille. Et, en 1976, alors que j’étais à l’emploi du Musée du Saguenay, j’ai eu personnellement l’occasion d’aller saluer chez elles les deux soeurs McLeod, dernières à porter le nom de la lignée saguenéenne. Elles étaient alors sur leur départ pour le foyer des personnes âgées, et m’ont livré un très beau témoignage de l’endroit où elles avaient passé leur vie. Photo, collection de l’auteure
Fig. p. 27.
Simon Ross avait été successivivement en charge des postes de traite de Chicoutimi (1832-1836), Tadoussac (1836-1837) et Métabetchouan (1838-1842). De son mariage fait à la mode du pays avec une Montagnaise de Tadoussac (Marie), est né un Métis, Paul, ancêtre et patriarche du clan qui porte son nom.
Photo, collection de l’auteure
Fig. p. 31.
Le monument du Côteau du Portage, érigé en 1937 par la Société historique du Saguenay sur le site du poste de traite de Chicoutimi pour rendre hommage à ceux qui ont passé par là avant 1842. Parmi les noms, on note ceux de plusieurs fondateurs de clans Métis, dont : Nicolas Peltier, Jérôme St-Onge, James McKenzie et Peter McLeod Jr., respectivement époux de Françoise 8ebechinok8e, Marguerite-Anne Matshikuesh, Adélaïde Matshiragan et Josephte Atikuapi. Photo, collection de l’auteure
Fig. p. 36.
Voyageurs canadiens en route vers la baie d’Hudson, rendus au pied du portage de Nissotek, qui veut dire « Deux portages » en langue algonquine. Nous sommes alors au nord de Mattawa, un arrêt obligé où on en profitait pour monter le bivouac et réparer les canots d’écorce avant la difficile montée des portageurs.
Dessin tiré du livre de Jean-Baptiste Proulx, « En route pour la baie d’Hudson », 1891
Fig. p. 40a.
Cinq générations en droite ligne des clans métis St-Onge et McKenzie, de Chicoutimi. De gauche à droite en descendant : Marie Tremblay, fille de Christine St-Onge et épouse de Michel Tremblay dit Gros-Micho. L’esprit d’Amérique, c’est eux !... Photos, collection de l’auteure
Fig. p. 40b.
Cinq générations en droite ligne des clans métis St-Onge et McKenzie, de Chicoutimi. De gauche à droite en descendant : Kate Maltais, fille d’Alexandrienne McKenzie et épouse de Jimmy Tremblay Kessy. L’esprit d’Amérique, c’est eux !... Photos, collection de l’auteure
Fig. p. 40c.
Cinq générations en droite ligne des clans métis St-Onge et McKenzie, de Chicoutimi. De gauche à droite en descendant : Maggy Tremblay, fille d’Alexandrienne et épouse de François Morissette, fils de Solange. L’esprit d’Amérique, c’est eux !... Photos, collection de l’auteure
Fig. p. 40d.
Cinq générations en droite ligne des clans métis St-Onge et McKenzie, de Chicoutimi. De gauche à droite en descendant : Solange Morissette, fille de Maggy et épouse de Lucien Bouchard, et Gilles Bouchard, fils de Solange. L’esprit d’Amérique, c’est eux !... Photos, collection de l’auteure
Fig. p. 47.
Préparatifs de départ et levée du camp pour la remontée du Saguenay en canot d’écorce. Dessin, William Armstrong (1822-1914)
Fig. p. 56.
Sur ce cliché est réunie pour la circonstance une bonne partie de la population autochtone de la réserve de Pointe-Bleue, en 1889. Ces gens, Indiens et Métis, sont les héritiers des rares survivants de l’hécatombe virale qui a pratiquement décimé les Montagnais des contacts et leurs congénères de l’alliance algique, au cours du XVIIe siècle. La plupart d’entre eux descendent en droite ligne d’au moins une des trois unions métisses de Nicolas Peltier qui est un ancêtre commun à la plupart des « Ilnutsh» d’aujourd’hui. En haut, à gauche, un autochtone posant fièrement avec sa médaille (sans doute le chef de la réserve). Photo, Livernois, 1889
Fig. p. 61.
Campement d’auchtones sur les rives du lac Saint-Jean, en 1892. Au centre gauche, au-dessus du canot d’écorce, on distingue un Métis coiffé d’un bonnet écossais et, à sa droite, une vieille dame fumant la pipe. Ce cliché suggère que les femmes portant des jupes écossaises sont métisses et que les autres sont indiennes. À noter que les tentes de toile ont définitivement remplacé les tentes primitives recouvertes d’écorce de bouleau.
Photo, Notman, 1892
Fig. p. 67.
Un beau moment de tendresse au coeur de la forêt boréalienne québécoise, une grand-maman de la nation montagnaise-naskapie, enseignant à son petit-fils l’art de coudre les tissus venus du sud.
Photo, Jean Boily (coureur de bois), collection de l’auteure
Fig. p. 70.
La chapelle de la mission jésuite de Chicoutimi, construite par le père Laure en 1726 pour servir de point de ralliement et assurer la cohésion de la communauté autochtone gravitant autour du poste de traite. C’est dans ce lieu sacré que furent célébrées toutes les cérémonies qui ont marqué la vie religieuse de la frange occidentale des Postes du Roi. Elle a été démolie en 1856 par la maison Price Brothers & Co. dans le but manifeste d’éloigner Indiens et Métis de ce site convoité par l’industrie du bois de sciage.
Dessin, Lady Head, 1855, collection du Musée national des beaux-arts du Québec
Fig. p. 77a.
Trois cartes (77a, 77b et 77c) qui témoignent de la localisation de la Kakouchakie et de la disparition graduelle des Kakouchaks au cours de la seconde moitié du XVIIe siècle. De haut en bas, tirés à part des cartes de François Du Creux (1660) (p. 77a), de William Berry (1680) (p. 77b) et de Coronelli (1889) (pp. 77c).
Fig. p. 77b.
Trois cartes (77a, 77b et 77c) qui témoignent de la localisation de la Kakouchakie et de la disparition graduelle des Kakouchaks au cours de la seconde moitié du XVIIe siècle. De haut en bas, tirés à part des cartes de François Du Creux (1660) (p. 77a), de William Berry (1680) (p. 77b) et de Coronelli (1889) (pp. 77c).
Fig. p. 77c.
Trois cartes (77a, 77b et 77c) qui témoignent de la localisation de la Kakouchakie et de la disparition graduelle des Kakouchaks au cours de la seconde moitié du XVIIe siècle. De haut en bas, tirés à part des cartes de François Du Creux (1660) (p. 77a), de William Berry (1680) (p. 77b) et de Coronelli (1889) (pp. 77c).
Fig. p. 85.
Le 7 février 1848, dans une ultime tentative de faire reconnaître leurs droits sur les terres des anciens Postes du Roi envahis par la colonisation, les Indiens et les Métis déposent, auprès de Lord Elgin, une pétition conjointe dans laquelle ils exposent leur misère et suggèrent le moyen d’y remédier. Sur cette peinture de Théophile Hamel, on voit le Métis Peter McLeod dit Milaupanuish qui agit comme interprète, négociateur et procureur (à droite), et les trois chefs montagnais : Tumas (Thomas) Mesituapamuskan, Jusep (Joseph) Kakanukus et Pasil (Basile)m Thishenapen. Peinture, collection privée
Fig. p. 88.
Les grands canots de maître (ou rabaska) utilisés pour les courses à travers le continent étaient alors le mode de transport le plus adapté qui soit. Si son architecture s’inspire du canot d’écorce de type algonquin, qui pouvait accueillir quatre ou cinq passagers, l’adaptation qu’on en a faite au fil du temps, pour servir les besoins de la traite et pour les grands déplacements, était cependant typiquement euro-canadienne. De ces grands canots, les Canadiens qui les ont fabriqués et ceux qui les ont conduits au risque de leur vie avec une adresse infinie, en ont fait une véritable marque de commerce. Au XVIIIe siècle, les charpentiers qui les fabriquaient avaient établi le centre de leurs activités à Québec d’où l’on sortait, semble-t-il, les plus réputés de tous. Et puis, au début du XIXe siècle, alors que les activités de la Compagnie du Nord-Ouest battaient leur plein, l’industrie s’est déplacée à Trois-Rivières puis à Montréal où les Normesters avaient établi le centre de leurs activités.
Les plus petits, dits « canots du nord », mesuraient 25 pieds ; les plus grand, appelés « canots de Montréal », de 35 à 40 pieds. Puis venaient le «canot bâtard», le «demi-canot» et le «canot express», qui étaient en fait des canots de dimensions moyennes qu’on utilisait pour des missions spécifiques. Les plus grands pouvaient transporter jusqu’à 10,000 livres de fret et nécessitaient un équipage de huit à quatorze hommes.
* * *
« Dès que le canot arrivait à la tête d’un rapide, écrit un témoin, on l’arrêtait à vingt ou trente pas de la grève, de peur de le heurter sur des cailloux qui l’auraient percé et coulé à fond. Les rameurs, sans hésiter, se mettaient à l’eau ; deux d’entre eux saisissaient les pinces du canot pour le tenir immobile. S’il y avait dans l’embarcation un bourgeois ou un commis, il se faisait transporter à terre sur les épaules d’un vigoureux et solide voyageur [un Métis canadien-français] ; les autres se hâtaient de porter à la grève toutes les pièces. Aussitôt que le canot était vidé, quatre, six, ou huit hommes le portaient sur leurs épaules, à l’extrémité du portage. Là, ceux qui étaient désignés pour tenir l’embarcation en bon état, l’examinaient avant de la remettre à flot. Pour charger le canot, on usait des mêmes précautions que pour le décharger ; il était porté dans l’eau à quelques pas du rivage, deux hommes lui servaient d’ancre, et à mesure que les colis arrivaient, ils étaient replacés avec soin au fond de l’embarcation.
Au printemps, quand les glaçons flottent encore sur les rivières, quand la baie est froide, et que les rayons du soleil ne sont pas assez ardents pour attiédir l’atmosphère, un bain de cette nature, prolongé pendant quelques heures, et répété plusieurs fois le jour, doit faire éprouver de douloureuses sensations à celui qui le subit. Cependant c’était à cette cruelle nécessité qu’étaient soumis les canotiers pendant toute la durée du voyage. Quand l’opération du transbordement était finie, le rameur reprenait sa place dans l’embarcation, sans avoir un moment pour tordre ses habits ruisselants d’eau. Si les portages se succédaient rapidement, le pauvre malheureux était condamné à être trempé et grelottant jusqu’au soir. » L’abbé G. Dugas, Un voyageur des Pays dans Haut, Beauchemin, Montréal, 1912.
Fig. p. 94. Ishi, en 1911, quelques jours après son « entrée »
à l’Université de Californie.
Fig. p. 95. Ishi, en mai 1914, de retour en territoire yahi, lors de l’expédition organisée par ses amis de l’université de Californie. À peine trois années d’immersion au coeur de la grande cité blanche auront suffi à le faire passer de la préhistoire à la civilisation.
Fig. p. 100. Hutte d’hiver de voyageurs. Tout y est pour bien figurer cet art de vivre authentique de l’époque des fourrures au Canada.Gravure sur bois, dessin de Jean-Joseph Bellel (1816-1904)
Fig. p. 104. Quand Shanawdithit mourut en semi-captivité à Terre-Neuve, en 1829, disparaissait avec elle le dernier enfant des Béothuks (qui signifie « homme »). Les vrais « Peaux Rouges », c’étaient eux ! Ils avaient été nommés ainsi par les Européens aux premiers jours de leur découverte de l’Amérique parce qu’ils peignaient leur corps, leur visage, leurs ustensiles et leurs armes à l’ocre rouge. Par la suite, l’épithète leur est restée collée à la peau. Pour comprendre l’histoire de leur extinction brutale, il faut simplement rappeler que l’Île de Terre-Neuve était devenue possession britannique au terme du traité d’Utrecht (1713). Et contrairement aux Français, qui encourageaient les unions métisses dans leurs colonies, les Anglais y voyaient plutôt un geste antisocial et délictueux. Ces derniers percevaient les Indiens comme des êtres intellectuellement et moralement inférieurs, ce qui était suffisant à leurs yeux pour justifier la guerre d’extermination qu’ils leur ont livrée jusqu’à la toute fin. C’est cette différence d’appréciation, entre Français et anglo-saxons, qui explique, en partie, pourquoi les Métis d’Amérique du Nord se concentrent exclusivement dans l’espace canadien.Portrait de Philip Henry Gosse, 1841
Fig. p. 107.
Localisation de quelques établissements de Métis dans la partie septentrionale de l’Amérique du Nord de 1600 à 1867.
Ashuapmushuan (15), Baie-Ste-Marie (17), Batoche (34), Battelford (35), Bécancour (13), Betsiamites (5), Chicoutimi (8), Cumberland House (41), Duck Lake (36), Fort Abitibi (16), Fort Cahokia (23), Fort Chippewayan (42), Fort Ellice (43), Fort Grands Rapides (44), Fort Mandan (24), Fort Michilimackinack (25), Fort Pierre (26), Fort Providence (45), Fort Qu’Appele (46), Fort Rae (47), Fort Resolution (48), Fort Simpson (49), Fort Smith (50), Fort St-Joseph (27), Fort Union (28), Fort Wrigley (51), Gaspé (22), Godbout (4), Green Bay (29), Hay River (52), Île à la Crosse (53), La-Malbaie (10), Lac-du-Flambeau (30), Lac-Saint-Jean (9), Lachine (14), Mingan (2), Mistassini (6), Musquarro (1), Norway House (56), Pabos (18), Paspébiac (19), Percé (20), Prairie du Chien (31), Québec (11), Rivière-Rouge (55), Saginaw (32), Saint-Albert (33), Saint-Boniface (54), Saint-Joseph (56), Saint-Laurent (57), Saint-Laurent de Grandin (37), Saint-Paul (38), Sainte-Rose-du-Lac (58), Sault-Sainte-Marie (59), Sept-Îles (3), Tadoussac (7), Trois-Rivières (12), Turtle Mountain (39), Willow Bunch (40)
Fig. p. 108.
Antoine Clément, Métis né d’une mère crie et d’un père canadien-français. Il a été le compagnon de Joseph Cardinal lors de l’exploration des rivières la Biche et Saskatchewan. En 1804, il comptait parmi les engagés du fort des Prairies, une unité de la Compagbie du Nord-Ouest. La légende qui court sur lui le dit grand chasseur devant l’Éternel et bon tireur.
Peinture, Alfred Jacob Miller, c. 1840
Fig. p. 109.
« French Half-Breed »
Dessin, Frederick Remington
Fig. p. 114.
Le recensement effectué au SaguenayLac-Saint-Jean en 1839 par l’abbé Isidore Doucet, prouve noir sur blanc que le statut de « gens libres » était officiellement reconnu aux Métis autant dans l’Ouest que dans l’Est du Canada. Source, Évêché de Chicoutimi, série XVII, paroisse 12, vol. 1, pièce 3.
Fig. p. 117.
Campement métis sur la rivière Assiniboine, en 1883.
Dessin de Pascal-Horace Dumais, arpenteur, 1er juin 1883
Fig. p. 118.
Métis du poste de la Rivière-Godbout, sur la Côte-Nord du Saint-Laurent, en train de saler le saumon et la « morue d’automne » pour la conservation (cf., N.-A. Comeau). Entre ces pêcheurs-chasseurs de la Laurentie et les chasseurs de bisons de l’Ouest canadien qui font sécher la chair de bisons, nous retrouvons un même état d’esprit, une même communion avec la ressource alimentaire, un même fondement ethno-culturel, deux composantes faisant partie d’une seule et même civilisation. Opinion publique, 4 décembre 1879
Dernière mise à jour de cette page le lundi 2 mars 202010:47
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur associé, Université du Québec à Chicoutimi.
Saguenay - Lac-Saint-Jean, Québec
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Jean-Marie Tremblay, fondateur des Classiques des sciences sociales