Fig. page 2. Les armoiries de la municipalité de Chicoutimi-Nord.
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Fig. page 7. Le premier conseil de ville de Chicoutimi-Nord, en 1954. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 10. Ville de Chicoutimi-Nord selon les délimitations du 12 mai 1954. (Délimitations disposées sur le cadastre de 1893).
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Fig. page 11. La Ville de Chicoutimi-Nord, au moment de la fusion municipale de 1975. (Délimitations disposées sur le cadastre de 1893).
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Fig. page 13. Au fur et à mesure que se forme la paroisse Saint-Luc les services commer-ciaux ont tendance à se déplacer selon un même rythme. L'épicerie-boucherie de Freddy Jean, au pied de la côte Sainte-Anne, est une illustration de ce que pouvaient être les magasins d'alimentation au milieu du siècle. Il n'y a plus de quincaillerie car ce ne sont plus des magasins généraux. Seules survivent les relations à caractère artisanal entre le client et le commis-boucher. Aujourd'hui, ce site est totalement détruit, le pont Dubuc empruntant ce parcours.
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Fig. page 17. Le quartier Rosario Morin, le premier secteur de Chicoutimi-Nord à connaître une activité intense dans la construction domiciliaire. Photo: A.N.Q.C.. Fonds Ben Hamilton.
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Fig. page 18. Le coin Roussel et du Pont, vers 1960. Photo: Collection Mme Stella-Marie Tremblay.
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Fig. page 21. Savo, favoris de la ménagère.
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Fig. page 26. Une entreprise typique de Chicoutimi-Nord, «Morissette Isolation Enr.» dont les entrepôts étaient situés près du vieux quai de Sainte-Anne, site rendu complètement défiguré par la construction du pont Dubuc.
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Fig. page 29. Chicoutimi-Nord se modernise: «Une étape importante dans l'histoire de la municipalité de Chicoutimi-Nord a été franchie hier après-midi, par la bénédiction de la nouvelle pompe à incendie, achetée par la suite de l'adoption par les citoyens d'un règlement d'emprunt à cet effet, au coût de $22,000. Désormais, Chicoutimi-Nord ne sera plus en arrière dans la protection de ses maisons et établissements puisque la nouvelle machine est dotée des derniers développements de la techni-que moderne. Capable de développer pas moins de 800 gallons à la minute, à une pression de 150 livres, la pompe possède tout ce qu'il faut pour assurer aux citoyens une pleine protection contre le feu, en plus d'être de la plus grande élégance. Elle pèse au total 18,000 livres.» (Notes tirées textuellement du journal Le Soleil, 18 déc. 1953.) Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 32. Le début du boum de la construction domiciliaire. La rue St-Ambroise, à Saint-Luc, vers 1948, présente l'allure d'un village de pionniers. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 40. Une réunion politique très typique de l'époque de Lester B. Pearson, lors de l'élection de 1958. Scène se déroulant au restaurant Maurice Tremblay, à Saint-Luc.
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Fig. page 43. Le maire Roch Boivin, à l'époque de l'âge d'or. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 51. Au centre, Raoul Desbiens, fondateur des ateliers. Photo: A.N.Q.C., Fonds Ben Hamilton, No 610, 1962.
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Fig. page 57. Le corps policier de Chicoutimi-Nord, quelques années avant la fusion municipale. Photo: A.N.Q C. fonds Ben Hamilton.
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Fig. page 65. Agrandissement de l'hôtel de ville, en octobre 1954.
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Fig. page 68. Avec la construction du pont Dubuc, la transformation du panorama visuel est brutale. Nous voyons ici l'érection des approches qui détruisent tout sur leur passage. Il reste à espérer que les populations suivantes ne commettront pas les mêmes erreurs profanatrices envers notre héritage historique. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 70. La construction du pont Dubuc, en 1969. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 73. Une autre bêtise au nom du principe de l'urbanisation. Pour construire les approches du pont Dubuc il a fallu piétiner l'héritage de toute une génération de pionniers. Nous voyons ici l'élimination sauvage de la rue des Remparts, site qui recevra des millions de tonnes de sable. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 74. Plan projeté de la future ville de Chicoutimi-Nord.
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Fig. page 79. Rosario Néron, fondateur de la paroisse Saint-Luc et curé de 1950 à 1970. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 82. La « Confirmation » des jeunes chrétiens, à l'église Saint-Luc, vers 1958, est l'un des grands événements pour les écoliers de première année. Les filles sont heureuses de porter le voile et les gants blancs, symbole de pureté. Les garçons, de leur côté, arborent fièrement sur le bras gauche, le brassard aux armes papales. Après la célébration, il y a congé et chacun s'attend à recevoir en cadeaux, un missel, un chapelet et une image pieuse. Les plus chanceux recevront un calice miniature, peut-être même l'uniforme complet du prêtre célébrant qu'ils revêtiront pour «jouer» à la messe. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 84. La première église de Saint-Luc, jusqu'au 19 novembre 1950. Elle était située au coin des rues Roussel et St-Éphrem. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 85. Le centre paroissial Saint-Luc, inauguré en décembre 1950, devait tenir lieu d'église dans le sous-sol. Quelques années plus tard, le lieu du culte fut déménagé dans la partie de l'étage. Photo: peinture de Micheline Bouchard-Villeneuve.
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Fig. page 86. Albert Tremblay, curé de la paroisse Sainte-Anne, de 1950 à 1969.
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Fig. page 89. La troisième église de Saint-Luc, dont la bénédiction par Mgr Marius Paré remonte au 8 décembre 1964.
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Fig. page 90. La chorale du centenaire de Chicoutimi-Nord et Canton Tremblay, en 1955. Les membres qui la composent sont des paroissiennes de Saint-Luc et de Sainte-Anne. Photo: A.N.Q.C., Fonds Mgr Victor Tremblay, No 7338.
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Fig. page 92. Véritable œuvre d'art, la chaire de la deuxième église de Saint-Luc. Elle est le fruit du travail de Raoul Desbiens, entrepreneur de la paroisse.
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Fig. page 94. Les Chevaliers de Champlain à Chicoutimi-Nord. De gauche à droite : J.-G. Giasson, Adrien Boudreault, Jean-Marie Gravel, Fernand Brassard, Roland De-lorme, J.-H. Bolduc. Photo: A.N.Q.C., fonds Ben Hamilton.
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Fig. page 95. Les enfants de chœur de Saint-Luc, dans l'église du centre paroissial, vers 1960. Photo: A.N.Q.C., Fonds Ben Hamilton.
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Fig. page 96. Mgr Jean-Baptiste Martel et la chorale Sainte-Cécile de Sainte-Anne. Photo: A.N.Q.C., Fonds Mgr Victor Tremblay, No 3134.
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Fig. page 97. L'association des Filles d'Isabelle de Saint-Luc, en 1951. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 98. Une procession de la Fête-Dieu. Honte à celui qui n'y prenait pas place. Le défilé, précédé du chef de police et de la fanfare de la garde paroissiale, empruntait un itinéraire compliqué, à travers les rues de la paroisse. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 100. Les Croisés de l'École Sainte-Marie, en 1951, avec leur uniforme bleu et blanc, les mêmes couleurs que Marie. Photo: Paroisse de Saint-Luc, Histoire de la paroisse... par le curé R. Néron, vol. 1, p. 146.
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Fig. page 102. La garde paroissiale Saint-Luc, à ses débuts, en 1950. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 104. La garde paroissiale Sainte-Anne. Photo: A.N.Q.C., Fonds Ben Hamilton.
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Fig. page 105. Le Cercle Lacordaire Sainte-Jeanne-d'Arc de Saint-Luc qui avait comme mission de promouvoir l'abstinence totale des boissons alcoolisées. Photo: A.N.Q.C., Fonds Ben Hamilton.
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Fig. page 108. M. Louis-Philippe Fillion, commissaire sortant de charges à Chicoutimi-Nord et président de la Commission scolaire de cette ville, est un des hommes qui a su le mieux s'adapter et adapter l'administration scolaire aux nouvelles posées dans le domaine de l'éducation.
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Fig. page 109. Les Révérendes Sœurs Notre-Dame du Bon Conseil, première équipe du personnel enseignant de l'école Notre-Dame du Rosaire. De gauche à droite: Sœur St-Jules, née Lucette Côté, Sœur St-Camille de Lellis, née Juliette Potvin, Sœur Marie-Aimée, née Léonie Levesque, Sœur Marie Émily, née Paule Dallaire, Sœur Agnès de Rome, née Dolorès Lavoie. Photo: A.N.Q.C.. Fonds Ben Hamilton.
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Fig. page 110. Au centre, le frère Sigismond, un homme d'une forte trempe et d'un charisme puissant. Il a marqué profondément les élèves de Saint-Luc et les citoyens. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 112a. La petite école Sainte-Marie, la plus ancienne école de la paroisse Saint-Luc. Photo: A.N.Q.C., Fonds Ben Hamilton.
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Fig. page 112b. Le couvent Notre-Dame du Rosaire, à Saint-Luc. Bénite au printemps de 1953, cette école recevait uniquement les filles. Les révérendes sœurs y tenaient résidence permanente. Photo: A.N.Q.C.. Fonds Ben Hamilton.
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Fig. page 114. Le collège Saint-Luc, sur le cap Saint-François, ouvrait ses portes en septembre 1956. Sa mission était d'assurer l'enseignement aux garçons du primaire. Les frères Maristes y tenaient résidence permanente. Photo: A.N.Q.C., Fonds Ben Hamilton.
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Fig. page 115. Une classe du couvent Notre-Dame du Rosaire, vers 1954. Les garçons d'un côté, les filles de l'autre, restait le minimum à atteindre car le couvent ne devait admettre aucun élève masculin. Photo: collection de l'auteur.
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Fig. page 116. La Commission Scolaire de Chicoutimi-Nord, en 1954. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 120. Un nouveau principe, l'alimentation dans la cafétéria aux chantiers de Rosario Morin, à Ferland vers 1950. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 127. Photo qui illustre bien ce que pouvaient être les communications routières entre Chicoutimi-Nord et Tadoussac, à la fin des années quarante. Le «snowmobile» est le premier véhicule automobile qui donne le service entre les deux communautés. Pendant l'été cependant, aucune communication terrestre n'est disponible.
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Fig. page 146a. Rosario Morin, l'homme d'affaires. Vers 1950.
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Fig. page 146b. Rosario Morin, l'entrepreneur forestier. Vers 1945.
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Fig. page 148. Rosario Morin dans un costume typique qui l'apparente plus à un coureur de bois qu'à un homme d'affaires, une autre personnalité et peut-être la plus attachante de ce diable d'homme.
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Fig. page 152. Le planeur fraîchement rénové après le feu de Sainte-Anne en 1951. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. pages 154-155. UNE IMPORTANTE INDUSTRIE: CELLE DE BOIS DE SCIAGE DE M. ROSARIO MORIN. Un groupe d'élèves du Séminaire en font la visite la semaine dernière. La cour à bois, le moulin, le garage et l'atelier mécanique...
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Fig. page 158. Plan de ce qui reste des installations de Rosario Morin à Sainte-Anne, en 1964. Nous pouvons remarquer le parcours emprunté par la rivière Michaud.
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Fig. page 159. Rosario Morin arrivant d'un voyage de chasse au chevreuil, vers 1960. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 161. Le dépôt de Ferland vers 1950. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 166. La scierie de Falardeau vers 1964. Le planeur. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 168. Vue aérienne du camp de Rodolphe Lavoie, l'un des contracteurs au service de Rosario Morin, en 1955. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 172. Au début des années cinquante, J.-Armand Bombardier entreprend des expériences à Ferland, dans les chantiers de Rosario Morin. Le but est d'éprouver les capacités de la petite chenille J-5. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 174a. Le transport par camion est l'une des innovations apportées par Rosario Morin dans l'industrie forestière. Dans un premier temps, le camion est chargé d'un seul trait par une boîte détachable. Une fois hissé sur le châssis, grâce à un mécanisme ingénieux, le camion est maintenant prêt à partir avec sa lourde charge. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 174b. Le transport par camion est l'une des innovations apportées par Rosario Morin dans l'industrie forestière. Dans un premier temps, le camion est chargé d'un seul trait par une boîte détachable. Une fois hissé sur le châssis, grâce à un mécanisme ingénieux, le camion est maintenant prêt à partir avec sa lourde charge. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 176. UN INCENDIE RAVAGE LE MOULIN DE R. MORIN, À CHICOUTIMI-NORD.
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Fig. pages 182-183. Un embouteillage sur le pont de Sainte-Anne, en 1962. Avec l'arrivée de la décennie soixante, le pont ne suffit plus aux besoins de la localité. De plus en plus, les gens parlent de la nécessité d'un nouveau trait d'union avec Chicoutimi. Pendant les heures d'achalandage, il était plus rapide à un piéton qu'à un automobiliste de se rendre sur l'autre rive. À remarquer à droite le secteur de la rue de la Traverse, complètement désintégré cinq ans plus tard par les approches du nouveau pont Dubuc. Photo: Collection de l'auteur.
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Fig. page 188. «Pour la première fois, une Saguenéenne, Mme Charles-Édouard Desmeules, de Chicoutimi-Nord, a été choisie Mère canadienne de l'année. Mme Desmeules est bien connue à Chicoutimi-Nord et dans la région par les nombreuses activités auxquelles elle se consacre depuis de nombreuses années. Mme Desmeules est mère de 15 enfants, dont 10 garçons et cinq filles. Le choix de la Mère de l'année est destiné à honorer une femme qui a rendu de grands services à ses semblables sans pour cela avoir été comblée d'honneur. Choisie Mère canadienne de 1962, Mme Desmeules recevra en cadeau un voyage à Ottawa. Elle sera reçue à 24 Sussex Drive, résidence du premier ministre et de Mme John Diefenbaker». (Notes tirées textuellement du Progrès du Saguenay, 28 avril 1962.)
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Fig. page 191. Automne 1958. Une tradition populaire très répandue et encore extrêmement présente au Saguenay. Une photo souvenir, comme on pourrait en retrouver des milliers au Saguenay, nous fait voir un trio de chasseurs heureux. Une fois les têtes attachées au capot du véhicule automobile, le groupe se rend chez le photo-graphe Ben Hamilton, faire fixer sur la pellicule ce moment tant désiré. Le trophée restera ainsi exhibé pendant plusieurs jours, probablement jusqu'au concours de panaches, au début de novembre. Photo: A.N.Q.C., Fonds Ben Hamilton.
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Fig. page 200. Le photographe Ben Hamilton, à l'époque où il pratique son art au profit de ses concitoyens. Photo: A.N.Q.C., Fonds Ben Hamilton.
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Fig. pages 208-209. La ville de Chicoutimi-Nord vers 1963. Photo: Collection de l’auteur.
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