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Le Grand-Brûlé.
Récits de vie et histoire d’un village au Québec.
Laterrière, Saguenay 1900-1960.
Table des matières
Quatrième de couverture
REMERCIEMENTS [xiii]
1. Camil Girard, “Pour comprendre l’industrialisation et l’urbanisation en milieu rural et villageois.” [1]
- Tableau 1. Population de Laterrière aux cinq ans entre 1856-1961 [16]
- Graphique 1. Population de Laterrière aux cinq ans entre 1856-1961 [17]
2. Catherine Ferland, “Quand Dieu bénit l’union. Concevoir et donner naissance à Laterrière au début du XXe siècle.” [19]
3. Catherine Ferland et Camil Girard, “« J’me marie, j’me marie pas... » Stratégies de conjugalité à Laterrière (1900-1950) un monde rural en mutation.” [35]
4. Julie Néron et Camil Girard, “Vie quotidienne et rapport des genres. Mutation des espaces privé et public.” [55]
5. Normand Perron, “Un agriculteur du milieu du XXe siècle face à l’innovation.” [77]
8. Julie Néron et Gervais Tremblay, “La mort proche, la mort lointaine. Changements de perception et d’attitude des Laterrois devant la mort.” [85]
Regard sur les ancêtres (photos) [99]
PARTIE I
Père et mère, tu honoreras [103]
“Quand j’ai pris le moulin, j’avais 16 ans.”
- Jules Gauthier, 63 ans, « millwright » [105]
“Toute notre vie de couple, on l’a passée sur cette terre...”
- Blanche Gaudreault, 83 ans, servante [147]
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“La vie a bien changé !”
- Bertha Laberge, 81 ans, agricultrice [157]
“On travaillait sur la terre, on faisait de la terre.”
- Georges Munger, 92 ans, cultivateur et journalier [167]
“Je ne sais pas si ça va encore changer autant que dans ce temps-là.”
- Hilaire Maltais, 69 ans, cultivateur [171]
“Nous étions pauvres, mais nous n’avions pas besoin de beaucoup d’argent !”
- Marie-Blanche Lavoie, 67 ans, ménagère [185]
“S’il y a un petit moyen, je vais tous les faire instruire.”
- Roméo Lapointe, 80 ans, marchand de bois [193]
“Comme épouse, il faut se résigner.”
- Mathilda Simard, 77 ans, enseignante et ménagère 208
PARTIE II
Mémoire du quotidien [221]
“Papa ! Papa ! une voiture pas de cheval…”
- Cyrille Émond, 81 ans, boulanger [223]
“On a navigué pas mal ensemble.”
- Marie-Louise Tremblay, 78 ans, épouse de Cyrille Émond [238]
“Comme tout le monde est parent, on se connaît tous...”
- Emma Maltais, 78 ans, institutrice et ménagère [259]
“Je pense que nous étions un peu trop soumis...”
- Yvette Jean, 70 ans, femme de cultivateur (sœur d’Emma Maltais) [268]
“Que de choses on aurait à dire, que de choses j’ai encore à faire !”
- Zoé Boivin-Foumier, 76 ans, institutrice [289]
“On a tellement vécu un beau temps que je regrette aujourd’hui...”
- Thérèse Savard, 58 ans, enseignante et secrétaire juridique [313]
PARTIE III
Mémoire du travail [323]
“Quand on n’a pas de métier, il faut prendre ce qu’il y a...”
- Napoléon Saint-Gelais, 82 ans, bûcheron et journalier [325]
“Je me suis recommandé au bon Dieu et j’ai dit « Astheure aidez-moi ! »”
- Louis Girard, 80 ans, ouvrier [336]
“L’argent qu’on gagnait, on en donnait un peu à notre mère et on gardait le reste...”
- Roland Fournier, 85 ans, mesureur et commis [348]
“Il faut prendre son temps pour le faire comme il faut...”
- Gérard Côté, 78 ans, ouvrier [357]
“Ça leur prenait un gueulard, un grand parleur...”
- Pierre Gagnon, 67 ans, contremaître [368]
CONCLUSION
Camil Girard, “Identité et appartenances. Comprendre la dynamique culturelle au Québec dans la première moitié du XXe siècle à travers les témoins de la vie quotidienne” [383]
GLOSSAIRE GÉNÉRAL [395]
ANNEXE
Gervais Tremblay, Chronologie. Québec, Saguenay-Lac-Saint-Jean, Laterrière [401]
BIBLIOGRAPHIE [411]
INDEX [417]
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