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La construction de l’autonomie.
Parents et jeunes adultes face aux études.
Remerciements
Je voudrais exprimer toute ma gratitude à l'égard des personnes qui, à divers titres, m'ont témoigné au cours de ce travail leur soutien, leur estime, leur affection.
Je remercie François de Singly d'avoir bien voulu diriger le travail de thèse, soutenue auprès de la Faculté des sciences humaines et sociales Sorbonne (Paris V), dont est issu cet ouvrage. En suivant avec sollicitude ses développements, en m'accordant une autonomie qui naît d'une confiance sans faille, il m'a appris ce que je sais du métier du sociologue. Je remercie également Monique Hirschhorn, Catherine Rollet, François Dubet, Olivier Galland et Bernard Lahire, membres du jury, pour leurs conseils et suggestions, dont certains ont été décisifs lors de la rédaction de cet ouvrage.
Je voudrais aussi exprimer ma reconnaissance aux institutions qui m'ont accordé leur aide, en premier lieu à l'Institut de France et à la Fondation Gisèle et Gabriel Barthélémy qui, dans la personne du père de Polignac, m'ont octroyé deux subventions pour rédiger la thèse et soutenir sa publication. Ensuite, ma gratitude va à l'équipe pédagogique du module de méthodes quantitatives du DEUG de sciences humaines de l'Université Paris V (François de Singly, Pascale Bidet, Catherine Cicchelli-Pugeault, Olivier Martin) et à tous les étudiants de la promotion 1996-1997. Sans eux, je n'aurais jamais pu bénéficier de l'enquête par questionnaire et des entretiens de préenquête à la base de plusieurs pages de ce travail. Je pense aussi à l'Observatoire de la vie étudiante, qui a financé l'enquête monographique constituant le cœur empirique de ce travail.
Toute mon amitié va aux enseignants, collègues et amis, notamment de Paris V, trop nombreux pour être tous cités ici, qui m'ont accueilli avec chaleur et qui m'ont beaucoup donné depuis mon arrivée en France. Je voudrais néanmoins nommer ceux qui m'ont encouragé à écrire ce livre par leurs conseils et critiques constructives. Je pense à Dominique Desjeux, à sa confiance à publier un ouvrage d'un jeune sociologue. Je pense en outre aux relectures précieuses de Bruno Brévan, Vincent Caradec, Dominique Desjeux et Catherine [8] Cicchelli-Pugeault, qui ont regardé attentivement l'ensemble du manuscrit, et de Marc Breviglieri, Jean-Hugues Déchaux, Jean-Claude Kaufmann, François de Singly, qui en ont lu des larges extraits.
Comment pourrais-je oublier les familles interviewées qui m'ont consacré tant de leur temps, en se prêtant toujours avec une disponibilité sans faille à mes questionnements les plus indiscrets ?
Dans un travail sur le lien de filiation, je ne peux conclure qu'en exprimant mon affection à ma famille d'origine, dont la distance géographique est compensée par une autre proximité, et à la petite Alma. Qu'elle me pardonne de lui avoir soustrait des heures de jeu avec son papa.
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