Photo page 3. Peter Handke marchant le long du canal de l’Alm dont parlent le Chinois de la douleur et l’Après-midi d’un écrivain.
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Photo page 12. Le Stift (couvent) de Griffen, village natal de Peter Handke, et une partie du cimetière qui figurera dans Par les villages.
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Photo page 15. Peter Handke, en 1950,
à Griffen, avec sa sœur et un petit voisin.
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Photo page 21. Hermann Lenz et Peter Handke. C’est Peter Handke qui fit redécouvrir l’importance de cet écrivain.
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Photo page 27. Un de ces carnets dont il est question page 105 et sur lesquels Handke note les éléments essentiels de ses livres.
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Photo page 37. Mülheim an der Ruhr, 1986: le rôle de Kaspar est tenu par une femme, Maria Neumann.
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Photo page 43. Le pupille veut être tuteur (Maurice Desarnaud et Antoine Caubet, 1984).
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Photo page 44. Une photographie du film réalisé en 1970 pour la télévision allemande par Peter Handke d’après son livre Chronique des événements courants.
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Photo page 49. La Chevauchée sur le lac de Constance. Photographie de répétition avec Claude Régy, le metteur en scène (à gauche), Jeanne Moreau, Michael Lonsdale, Samy Frey et Gérard Depardieu (Paris, 1974).
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Photo page 53. La Chevauchée sur le lac de Constance: Jeanne Moreau et Michael Lonsdale.
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Photo page 59. Une image du film de Wim Wenders, d’après le roman de Peter Handke, l’Angoisse du gardien de but au moment du penalty.
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Photo page 65. Peter Handke et son traducteur français Georges-Arthur Goldschmidt, dont il est l’ami (et le traducteur), au bord du canal de l’Alm.
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Photo page 74. L’un de ces bateaux sur le Mississippi dont parle la Courte Lettre pour un long adieu.
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Photo page 87. Gérard Depardieu et Wojciech Pszoniak dirigés, en 1978, par Claude Régy, dans Les gens déraisonnables sont en voie de disparition.
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Photo page 93. Faux Mouvement, mis en images par Wim Wenders, avec Rüdiger Vogler et Hanna Schygulla.
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Photo page 97. Le boulevard de Montmorency à Paris. Peter Handke a vécu plusieurs années au n° 177, à gauche, au centre de la photo.
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Photo page 101. Une scène du film de Didier Goldschmidt, Ville étrangère, d’après l’Heure de la sensation vraie, avec Niels Arestrup.
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Photo page 107. La Femme gauchère, réalisé par Peter Handke d’après son livre. (Edith Clever dans le rôle-titre.)
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Photo page 115. Le Yukon et les sapins au bord du fleuve, que Peter Handke décrit dans Lent Retour.
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Photo page 121. E. Hopper, Cape Cod Afternoon (1936). (The Carnegie Museum of Art, Pittsburgh ; Patrons Art Fund, 1938.)
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Photo page 127. Cézanne, l’Homme aux bras croisés (1889). (Coll. Carlston Mitchell.)
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Photo page 133. Cézanne, la Montagne Sainte-Victoire, vue de la carrière Bibemus. (Baltimore Muséum of Art.)
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Photo page 139. Peter Handke avec sa fille au Jardin d’acclimatation, en 1974.
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Photo page 144. L’école destinée "au seul peuple à qui on pouvait donner ce nom », rue Pierre-Guérin à Paris, où Handke inscrivit sa fille en 1974 (voir Histoire d’enfant).
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Photo page 149. Peter Handke, son demi-frère et Domenika Kaesdorf à Mülln (Salzbourg), après la représentation de Par les villages au festival de Salzbourg de 1982.
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Photo page 153. Par les villages, mis en scène par Claude Regy en 1983.
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Photo page 163. En descendant du Mönchsberg, c’est là que commence le trajet à travers la ville dans l’Après-midi d’un écrivain.
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Photo page 170. La boucle du terminus qui joue un si grand rôle dans le Chinois de la douleur.
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Photo page 173. La table de Peter Handke dans la maison sur le Mönchsberg.
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Photo page 179. Le karst décrit dans le Recommencement.
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Photo page 186. Peter Handke au sommet de l’Untersberg, au-dessus de Salzbourg (été 1984).
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Photo page 192. Peter Handke triant les photographies destinées au présent ouvrage.
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Photo page 206. Une mise en scène du Malheur indifférent et d’Histoire d’enfant par Jeanne Champagne, avec Jean-Marc Bory.
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Photo page 210. Ce dessin de l’un des carnets illustrera l’édition en langue allemande de l’Absence.
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