Table des matières
Dédicace
Remerciements
SIGLES ET ACRONYMES
AVANT-PROPOS
INTRODUCTION GÉNÉRALE
0.1. Contexte de l’étude
0.2. Justification du choix du sujet
0.3. Revue critique de littérature
- 0.3.1. Le processus d’anthropisation de l’environnement en cote d’ivoire
- 0.3.1.1. Une exploitation poussée de la zone forestière du pays
- 0.3.1.2. Les baoulés dans l’anthropisation de la zone forestière
- 0.3.2. L’alternative de l’intelligence territoriale
- 0.3.2.1. Patrimonialisation de la nature tropicale
- 0.3.2.2. Réactivation des sites sacrés
- 0.3.3. Communication environnementale
- 0.3.3.1. Primat organisationnel
- 0.3.3.2. Travaux décentrés
0.4. Problématique de l’étude
- 0.4.1. Constats de recherche
- 0.4.2. Problème de l’étude
0.5. Hypothèses de recherche
- 0.5.1. Hypothèse générale
- 0.5.2. Hypothèses spécifiques
0.6. Objectifs de l’étude
- 0.6.1. Objectif général
- 0.6.2. Objectifs spécifiques
MATÉRIELS ET MÉTHODES
0.6 Échantillonnage
- 0.6.1. Les critères de sélection et choix des enquêtés
- 0.6.2. Le groupe cible secondaire
0.7. Nature du matériel et techniques de collecte
- 0.7.1. Les techniques de recueil de données
- 0.7.1.1. Les entretiens
- 0.7.1.2. L’observation directe
- 0.7.2. Les données bibliographiques et documentaires
- 0.7.2.1. Les données bibliographiques
- 0.7.2.2. Les sources documentaires
- 0.7.2.3. les notes de terrains
0.8. Déroulement des enquêtes
- 0.8.1. Les lieux de collecte
0.9. Traitement des données
0.10. Méthodes et théories
- 0.10.1. L’analyse de contenu simplifiée
- 0.10.2. L’ethnographie
- 0.10.3. La trandisciplinarité
- 0.10.4. L’éthique animiste
- 0.10.5. Théories de la communication
0.11. Limites des choix méthodologiques
0.12. Plan de restitution
RÉSULTATS
PREMIÈRE PARTIE.
DE LA PLURIACTIVITÉ ANTHROPIQUE
DANS LA ZONE DE BÉOUMI
Chapitre 1. L’exploitation irationnelle de la terre
- 1.1. Présentation de la zone d’étude
- 1.1.1. Cartographie des cultures pratiquées dans la zone d’étude
- 1.1.1.1. La dominantion de l’anacarde
- 1.1.1.2. Une présence notable du binôme café/cacao
- 1.1.2. L’émergence de nouveaux acteurs agricoles
- 1.1.2.1. Des villageois réticents au départ
- 1.1.2.2. Des villageois revenus de basse-côte
- 1.1.2.3. Des cadres et autres citadins motivés par l’essor de l’anacarde
- 1.2. Autres activités à impact environnemental
- 1.2.1. Un élevage itinérant dérangeant
- 1.2.1.1. Une zone favorable à l’élevage
- 1.2.1.2. Une activité dominée par les bovins
- 1.2.1.3. Nourrir les bêtes à tout prix
- 1.2.2. Une pêche commerciale abusive
- 1.2.2.1. Une pêche de subsistance avant les bozos
- 1.2.2.2. Les bozo et la professionnalisation de la pêche
- 1.2.2.3. La saturation du secteur de la pêche
- 1.2.3. La poussée de l’exploitation forestière et de l’habitat
- 1.2.3.1. Une exploitation forestière accentuée
- 1.2.3.2. Une balance commerciale défavorable aux populations
- 1.2.3.3 Des localités sans cesse en extension
Chapitre 2. Les effets negatifs de l’anthropisation
- 2.1. Une déforestation rapide
- 2.1.1. Une abondance d’acteurs
- 2.1.2. La destruction de la forêt comme une fatalité
- 2.1.3. Risque de désertification et d’insécurité énergétique
- 2.2. Des perturbations constatées au niveau de l’ècosystème
- 2.2.1. Le changement climatique et l’appauvrissement des sols
- 2.2.2. La baisse du niveau du fleuve et la rareté de certaines espèces halieutiques
- 2.2.3. La production vivrière en chute : risque d’insécurité alimentaire
- 2.3. Les conflits intra/inter-ethniques autour d’un environnement “sous pression”
- 2.3.1. Une récurrence de conflits fonciers entre les baoulés
- 2.3.2. Des oppositions sur la pêche entre les baoulés et les bozos
- 2.3.3. Des conflits entre agriculteurs baoulés et éléveurs peulhs
DEUXIÈME PARTIE.
LES MÉCANISMES CULTURELS DE RÉSILIENCE
FACE À LA DÉGRADATION DE L’ENVIRONNEMENT
Chapitre 3. Répresentations sociales de l’environnement
- 3.1. Une perception essentiellement religieuse de l’environnement chez les baoulés
- 3.1.1. La religion traditionnelle africaine et la sacralité de l’environnement
- 3.1.2. De l’idée de force vitale et ses conséquences environnementales
- 3.1.3. Le sacrifice et le respect des formes de vie
- 3.2. La hiérarchisation des forces
- 3.2.1. La représentation du Dieu suprême chez les baoulés
- 3.2.2. Les génies, les fétiches et les masques comme prolongement du Dieu suprême
- 3.2.3. Le pouvoir des mânes, des hommes et des femmes
- 3.3. Le processus de sacralisation des espaces et espéces
- 3.3.1. La sacralisation des espaces
- 3.3.2. La sacralisation des espèces
- 3.4. Les fonctions sociales des espaces et espèces sacrés chez les baoulés et leur incidence environementale
- 3.4.1. Les forêts sacrées, véritables sanctuaires religieux
- 3.4.2. Les eaux sacrées, cadre de vie de certains esprits
- 3.4.3. Les espèces sacrées, prolongement de la divination de la biodiversité
Chapitre 4. La perception culturelle environnementale entre soutien, tolérance et contestation
- 4.1. Focalisation sur certaines occurrences dans le pacte religieux homme-nature à béoumi
- 4.1.1. les totems ou la relation Dieu-Homme au concret
- 4.1.2. La zoonomie et la phytonomie, fondement onomasiologique du respect de la nature chez les baoulés
- 4.1.3 Les interdits à portée environnementale dans la zne de Béoumi
- 4.2. L’arrière-plan écologique du Goly
- 4.2.1. Brève présentation
- 4.2.2. Les funérailles d’un membre du Goly
- 4.2.3. Le Goly, un protecteur de l’environnement
- 4.3. Des rapports mitigés avec le christianisme
- 4.3.1. Une relative cohabitation pacifique avec le catholicisme
- 4.3.2. Une relation tendue avec le protestantisme en général
- 4.2.3. Une incompatibilité avec le protestantisme CMA
- 4.3. L’islam et le syncretisme face au sacré traditionnel
- 4.3.1. Une relation avec l’Islam difficile à décrire
- 4.3.2. Une relation presque fusionnelle avec le syncrétisme
- 4.3.3. Une perception environnementale identique dans la secte Dehima
- 4.4. Les perceptions spirituelles des bouleversements environnementaux par les populations
- 4.4.1. L’impact environnementale de la violation des interdits
- 4.4.2. L’abandon de certains cultes favorables à l’environnement
- 4.4.3. La contestation de l’ordre traditionnel religieux
TROISIÈME PARTIE.
UNE FAIBLE SENSIBILISATION À LA PROTECTION
DE L’ENVIRONNEMENT DANS LA SOUS-PRÉFECTURE
DE BÉOUMI
Chapitre 5. Manque de coordination entre les parties prenantes
- 5.1. Des acteurs institutionnels peu influents
- 5.1.1. Les structures étatiques
- 5.1.2. Les agents des eaux et forêts
- 5.1.3. Les structures non étatiques
- 5.2. Des populations aux connaissances peu valorisées
- 5.2.1. Les autochtones baoulés
- 5.2.2. Les communautés allogènes nationales
- 5-2.3. Les communautés étrangères
- 5.3. Le rapport de l’administration et des différentes communautés allotchtones au sacré traditionnel
- 5.3.1 Une administration jugée absente de la protection des forêts sacrées
- 5.3.2. La posture des malinkés reste difficile à décrire
- 5.3.3. Les communautés étrangères et le conflictuel respect du sacré
- 5.4. De poussives actions de sensibilisation
- 5.4.1. Une préférence pour l’information
- 5.4.1.1. Une diffusion d’informations techniques Les acteurs institutionnels
- 5.4.1.2. Une approche sélective des informations techniques administratives
- 5.4.1.3. Les informations environnementales religieuses
- 5.4.2. Les canaux de transmission des informations environnementales
- 5.4.2.1. Les media et les hors media utilisés
- 5.4.2.2. Le recours aux rencontres d’informations
- 5.4.2.3. Les canaux de transmission des informations environnementales religieuses
Chapitre 6. Les effets des informations environnenmentales sur les pratiques des différents acteurs
- 6.1. Parallélisme de construction entre les deux ordres d’émission
- 6.1.1. L’environnement : un même référent diversement apprécié
- 6.1.2. Des compétences environnementales revendiquées par chaque ordre
- 6.1.3. Le primat de l’information sur la communication dans les émissions techniques
- 6.2. Les caractères classiques de la source d’un message persuasif
- 6.2.1. La crédibilité
- 6.2.1.2. L’attrait
- 6.2.1.3. L’autorité
- 6.3. Impact des informations environnementales administratives sur les pratiques des populations
- 6.3.1. Du point de vue de leur crédibilité
- 6.3.2. Du point de vue de leur attrait
- 6.3.3. Du point de vue de l’autorité
- 6.4. Impact des informations environnementales religieuses sur les pratiques des populations
- 6.4.1. À l’aune de la crédibilité
- 6.4.2. À l’aune de l’attrait
- 6.4.3. À l’aune de l’autorité
DISCUSSION
1. La démographie et le productivisme comme constantes de l’anthropisation
- 1.1. La pression démographique comme principal facteur de l’anthropisation
- 1.2. Le productivisme dans les travaux sur l’anthropisation
2. Des connaissances endogènes sur la protection de l’environnement
- 2.1. La réactivation du sacré, au cœur des réflexions environnementales en milieu traditionnel africain
- 2.2. L’autochtonie comme cadre global d’approche de la relation homme-nature, chez les communautés locales
3. Une diffusion d’informations au lieu d’une communication entre les parties prenantes
- 3.1. La participation des communautés rurales, préalable à toute communication environnementale
- 3.2. La participation communautaire, gage de changement social dans les communautés rurales
PROJET CCSC SAUVONS L’ENVIRONNEMENT KODÈ (SEKO)
CONCLUSION GÉNÉRALE
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
- 1. Agence Nationale d’Appui au Développement Rural
- 2. G1. Guide de base d’entretien approfondi adressé aux agents des structures étatiques
- 3, G2 : guide de base d’entretien approfondi adressé aux pêcheurs, éleveurs et agriculteurs
- 4. G3 : guide de base d’entretien approfondi adressé aux religieux (traditionnels, catholique, protestant, dehima)
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