Fernand Daoust.
1. Le jeune militant syndical, nationaliste et socialiste, 1926-1964

Remerciements

Ce livre n’aurait jamais vu le jour...

• sans la FTQ qui m’a initialement donné un congé rémunéré pour l’entreprendre ;
• sans Fernand Daoust, qui a longuement, patiemment et passionnément revécu devant moi son parcours unique, étrangement semblable à celui du Québec qu’il chérit ;
• sans les parents de Fernand qui m’ont accordé des entrevues : son frère André, sa conjointe Ghyslaine, ses filles Josée et Isabelle, son ami de jeunesse Jacques Thibaudeau, ses camarades syndicalistes, Robert Dean, Jean Gérin-Lajoie, René Rondou, Edmond Galland et les regrettées Émile Boudreau, Jacques-Victor Morin, Huguette Plamondon, Julien Major et Ivan A. Legault ;
• sans Mona-Josée Gagnon, qui m’a motivé à transformer cet éternel brouillon en récit structuré et en a encadré l’achèvement ;
• sans mes patients et généreux lecteurs-débroussailleurs Dominique Savoie, Louis Fournier, Robert Demers, Élyse Tremblay, Jean-Guy Frenette, André Messier et Pierre Richard ;
• sans Isabelle Reny, efficace documentaliste de la FTQ ;
• sans les historiennes Suzanne Clavette et Marc Comby qui ont épaulé ma recherche ;
• sans ma douce compagne, Ginette Boursier, dont le soutien moral permanent s’est prolongé dans des centaines d’heures de méticuleuses corrections. À toutes, je dis qu’il y a beaucoup de vous dans l’aboutissement de ce livre et beaucoup de moi dans ses imperfections.