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Collection « Les sciences sociales contemporaines »
André LECLERC, Fernand Daoust. 2. Bâtisseur de la FTQ: 1964-1993. (2016)
Table des planches hors-texte
Une édition électronique réalisée à partir du livre de André LECLERC, Fernand Daoust. 2. Bâtisseur de la FTQ: 1964-1993. Montréal: André Leclerc et M. Éditeur, 2016, 392 pp. Collection “Militantismes.” Une édition numérique en voie de réalisation par Réjeanne Toussaint, bénévole, Chomedey, Ville Laval, Québec. [L’auteur nous a accordé, le 4 juillet 2023 l’autorisation de diffuser en libre accès à tous ce livre dans Les Classiques des sciences sociales.]
Planche 1a. En 1965, Fernand Daoust est élu vice-président de la FTQ, après avoir été défait de justesse au poste de secrétaire général par Gérard Rancourt (à sa gauche). Au microphone, le président de la FTQ Louis Laberge et, assis, le président du Congrès du travail du Canada, Claude Jodoin. (Fédéral photo)
Planche 1b. Noël 1967. Fernand Daoust est à nouveau papa d’une fille, Isabelle. Dans l’appartement du boulevard Pie-IX avec Josée à ses côtés.
Planche 1c. Grand rassemblement syndical et populaire contre le chômage au Forum de Montréal, le 28 février 1972. Y prennent la parole, entre autres, le président du NPD-Québec Raymond Laliberté, le secrétaire général de la FTQ, Fernand Daoust, le président du PQ, René Lévesque, le président de la CEQ, Yvon Charbonneau, et le président de la CSN, Marcel Pépin. (Photo Québec-Presse)
Planche 2a. Après les révélations de la Commission Cliché en 1974, Fernand Daoust est nommé tuteur du Conseil provincial du Québec des métiers de la construction. À l’issue de son mandat, un vote d’allégeance syndicale est tenu à scrutin secret. La FTQ en ressort avec une majorité renforcée. (Photothèque de la FTQ)
Planche 2b. Le 29 octobre 1974, 40 000 personnes descendent dans les rues de Montréal pour protester contre « La justice des boss ». Elles dénoncent la répression brutale que subissent les grévistes de la United Aircraft et l’orientation antisyndicale de la Commission Cliché. À la gauche de Fernand Daoust, Louis Laberge, Jean-Marie Gonthier, l’un des dirigeants des grévistes, et Robert Dean, le directeur québécois des TUA. (Photothèque de la FTQ)
Planche 2c. Au début des années 1970, les représentants du PQ participaient fréquemment aux manifestations et rassemblements du mouvement syndical. Ici, aux côtés de Fernand Daoust, le député et whip en chef du PQ Marcel Léger, lors d’une manifestation contre les mesures fédérales de contrôle des salaires en 1975. (Photothèque de la FTQ)
Planche 3a. Fernand Daoust avait une grande admiration pour Camille Laurin, « le père de la Charte de la langue française ». Nous les voyons ici en 1976, lors d’une manifestation de la FTQ. (Photothèque de la FTQ)
Planche 3b. En 1977, le ministre d’État au Développement social, Pierre Marois, participe à un colloque de la FTQ sur la santé et la sécurité du travail. Il incite les syndicalistes à talonner le gouvernement et à exiger qu’il tienne ses promesses. La Loi sur la santé et la sécurité du travail sera adoptée en 1979. (Photo Michel Elliot)
Planche 3c. Le 19 avril 1980, lors d’un congrès extraordinaire, la FTQ décide d’appuyer le camp du OUI lors du référendum québécois sur l’avenir du Québec. (Photo Serge Jongué)
Planche 4a. Victoire du Syndicat des employées de la Fédération des caisses populaires Desjardins de Montréal et de l’ouest du Québec (SEPB). À la gauche de Fernand Daoust, Léo Drolet, président de l’unité des employées techniques et professionnelles et Monique Larocque, trésorière de l’unité des employées de bureau. À sa droite, Jacques Letendre, négociateur du SEPB et Réal Saint-Pierre, président de l’unité des employées de bureau. (Photo Christiane Pearson, novembre 1980)
Planche 4b. Fernand Daoust, qui a manifesté plusieurs fois devant les installations de Pratt & Whitney pendant la grève de la United Aircraft en 1974, y revient pour faire signer une pétition en faveur de la paix, en 1984. À l’arrière plan, Claude Vincent, le président du syndicat, et Robert Demers, conseiller de la FTQ. (Photo Michel Cloutier)
Planche 5a. Manifestation sur les conditions
des retraitées canadiennes devant le parlement d’Ottawa
le 14 mai 1986. (Photo Features LTD)
Planche 5b. Le 8 mars 1987, le CTM lançait Cent ans de solidarité : histoire du CTM, 1886-1986. Fernand Daoust, secrétaire du CTM au milieu des années 1950, assistait à l’événement en compagnie de Lauraine Vaillancourt, Fernand Boudreau, Shirley Carr et Michèle Brouillette. Devant L. Vaillancourt, la fille d’André Messier, Hélène. (Photo Serge Jongué)
Planche 5c. Fernand Daoust a été le premier secrétaire Fonds de Solidarité- FTQ jusqu’en 1993, et le président jusqu’en 1995. On le voit ici avec le président fondateur, Louis Laberge, en 1987. En arrière-plan, le premier PDG du Fonds, Claude Blanchet. (Photo Serge Jongué)
Planche 6a. Pendant la campagne de syndicalisation de l’industrie du taxi menée par les Métallos, le chauffeur Roland Robidoux (à la gauche de Fernand Daoust) entreprend une marche de Montréal jusqu’au parlement de Québec. Une manifestation d’appui salue son départ. À sa droite, le directeur adjoint des Métallos, Lawrence McBrearty et à gauche du marcheur, Clément Godbout, directeur québécois du syndicat. (Photo Paul Letherland, 1990)
Planche 6b. Fernand Daoust présente le mémoire de la FTQ sur les services de garde en commission parlementaire, en mars 1989. Il est accompagné de membres du comité de la condition féminine : la présidente Lauraine Vaillancourt à sa gauche, Claude Grenier à sa droite, et Carole Gingras, la responsable du service. (Photo Serge Jongué)
Planche 7a. En 1989, lors du congrès de la FTQ, on souligne les vingt ans de Fernand au secrétariat général et les vingt-cinq ans de Louis Laberge à la présidence. Sur la photo, l’ancien directeur des Métallos et vice-président de la FTQ, Jean Gérin-Lajoie. (Photo Serge Jongué)
Planche 7b. Dans son combat pour le français, Fernand Daoust a souvent côtoyé François-Albert Angers, notamment au MQF. En 1991, ils se retrouvent en compagnie de Mona-Josée Gagnon, alors directrice de la recherche à la FTQ. (Photo, Serge Jongué)
Planche 7c. En 1991, l’organe officiel de la FTQ, Le Monde ouvrier, fête ses soixante-quinze ans. Pour 1’occasion, quatre rédacteurs sont réunis en présence de Fernand Daoust et de Louis Laberge : Pierre Richard (1973-1979 et 1981-1985), André Laplante (1980-1981), André Messier (1985-2002) et Noël Pérusse (1958-1969). (Photo Serge Jongué)
Planche 8a. À la campagne, Fernand Daoust a beaucoup fréquenté le journaliste Louis Martin (à sa droite) et le beau-frère de ce dernier, Pierre-Étienne Laporte, ici accompagné de sa conjointe Liliane Fillion. (Photo anonyme, janvier 1992)
Planche 8b. 1er mai 1992. Le candidat à la présidence du CTC, Bob White (à la droite de Fernand Daoust), manifeste à Montréal avec ses camarades de la FTQ. Il accorde son appui à Guy Cousineau (à sa droite), candidat de la FTQ à la vice-présidence du CTC. À l’extrême gauche, Clément Godbout, secrétaire général de la FTQ. (Photo Serge Jongué)
Planche 8c. Quelques amies que Fernand a beaucoup fréquentées dans les années 1960 et 1970. Ils se retrouvaient avec plaisir en 2009. De gauche à droite, Carmen Guérin, Fernand, Ghyslaine, Claire Pronovost, André Vadeboncoeur, Claire Bruneau-Robitaille, Mario Loschiavo et Nicole Aubry. (Photo Michèle Guérin)
Planche 9a. En décembre 1993, Fernand Daoust vit son dernier congrès à titre de dirigeant de la FTQ. Il est entouré de sa conjointe Ghyslaine, de ses filles Isabelle et Josée. À droite, le conseiller politique de la FTQ, Jean- Guy Frenette. (Photo Serge Jongué)
Planche 9b. La « souveraineté-association syndicale ». C’est ainsi que Fernand Daoust qualifie l’entente intervenue avec le CTC en 1993. L’entente est signée lors du dernier congrès de Fernand Daoust à la direction de la centrale. De gauche à droite, Clément Godbout, nouveau président de la FTQ, Bob White, président du CTC, Fernand Daoust et Dick Martin, trésorier du CTC. (Photo Serge Jongué)
Planche 10a. L’un des nombreux repas champêtres partagés par Fernand Daoust avec Ghyslaine et ses deux filles, Josée et Isabelle, à la maison de campagne de Frelishburg. (Photo anonyme)
Planche 10b. Fernand avec son ami Claude Ducharme, ancien collègue du SITIPCA et du SCFP, directeur québécois des TCA de 1981 jusqu’à son décès en 1995. (Photo Serge Jongué, 1993)
Planche 10c. Le 28 novembre 1995, Fernand est victime d’un grave accident de voiture. Il passera plusieurs semaines en rééducation à l’hôpital Marie-Clarac. (Photo anonyme)
Planche 11a. Fernand Daoust a ardemment souhaité que le référendum de 1995 donne au peuple québécois accès à sa souveraineté. Il n’hésita pas à s’impliquer activement dans la campagne. On le voit ici aux côtés du chef du PQ, Jacques Parizeau, et du futur premier ministre, Lucien Bouchard. (Photo anonyme)
Planche 11b. Jeune retraité de la FTQ, Fernand Daoust se voit honoré par le Centre Saint-Pierre qui baptise de son nom l’une des salles de réunion fréquemment utilisées par les syndicats et les groupes populaires. Le président de la FTQ, Clément Godbout, lui présente la plaque, qui sera affichée à l’entrée de la salle. (Photo Alain Chagnon 1996)
Planche 11c. En juin 2001, le premier ministre du Québec, Bernard Landry, remet à Fernand l’insigne de Chevalier de l’Ordre du Québec. Parlant de son engagement pour le français, langue de travail, le chef de l’État affirme : « Il n’est pas excessif de parler de votre action dans ce domaine comme d’un véritable apostolat. » (Photo, Daniel Lessard)
Planche 12a. Chaque été, pendant plusieurs années, Fernand Daoust passait quelques semaines en famille au bord de la mer, à Océan City, dans l’État du Maryland. Ils y étaient à nouveau réunis en 2003. De gauche à droite, Josée, Ghyslaine, Fernand et Isabelle. (Photo anonyme)
Planche 12b. Le 28 janvier 2014, Fernand Daoust assiste à la remise du certificat de francisation décerné à l’avionneur québécois Bombardier. De gauche à droite, Jean-François Lisée, alors ministre des Relations internationales et de la Francophonie, Diane de Courcy, ministre responsable de l’Application de la Charte de la langue française et Hélène V. Gagnon, qui était alors vice-présidente affaires publiques chez Bombardier Aéronautique (Photo reproduite avec la permission de Bombardier inc.)
Planche 12c. L’auteur et Fernand Daoust lors du lancement
du premier tome de sa biographie, en décembre 2013.
(Photo Normand Blouin)
Dernière mise à jour de cette page le mardi 19 mars 202411:08
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur associé, Université du Québec à Chicoutimi.
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Jean-Marie Tremblay, fondateur des Classiques des sciences sociales