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Les évolutions de la famille aux États-Unis,
au Canada et au Québec de 1969 à 2005.
Remerciements
Je tiens tout d'abord à dire ma profonde reconnaissance à Jean-Michel Lacroix, qui suit mon travail depuis la maîtrise et qui m'a encouragée à poursuivre un doctorat. Tout au long de ces années, j'ai toujours pu compter sur sa présence, ses conseils, son soutien et sa confiance, qui ont rendu possible l'écriture de cette thèse.
Je tiens également à remercier le gouvernement du Canada pour la bourse de recherche doctorale qu'il m'a offerte, ainsi que l'école doctorale 514 et l'équipe d'accueil 4399 (CREW) qui ont soutenu mes projets de recherche au Canada.
C'est accueillie par les membres du département de sexologie de l'UQAM que j'ai commencé la rédaction de ces pages, et je leur adresse mes remerciements sincères. En particulier, je souhaite dire ma gratitude à Joseph Josy Lévy, professeur de sexologie à l'UQAM, qui a partagé avec moi beaucoup de son temps et de ses idées.
Cette thèse a bénéficié de l'éclairage précieux de spécialistes de la famille canadienne dans différents domaines. Céline Le Bourdais de l'Université McGill et Marie-Blanche Tahon de l'Université d'Ottawa ont bien voulu me faire partager leur expertise sur la sociologie de la famille. À l'UQAM, Magda Fahrni m'a donné des conseils essentiels sur l'histoire familiale canadienne et québécoise, tandis que Martin Biais m'a été d'une aide indispensable dans le traitement des données du World Values Survey. Enfin, Benoît Moore de l'Université de Montréal, et Allison Harell de l'UQAM, m'ont guidée à travers le droit et la politique canadienne et québécoise. Je leur en suis très reconnaissante. Ma gratitude va également aux bibliothécaires et documentalistes des Archives nationales du Québec, qui m'ont donné accès aux archives de la presse québécoise.
Parce que le principal ennemi du doctorant peut être son isolement, je veux remercier Alice Béja, Sophie Chapuis, Cécile Chartier, Agathe Dumont, Soraya Guénifi, Anne-Laure Poulet et Pauline Drapeau, qui ont transformé le travail solitaire de la thèse en une aventure amicale. Merci également à toute l'équipe du BDP3, ainsi qu'aux « occupants » de la salle 5 et à celles et ceux qui rendent son existence possible.
Cette thèse sur la famille n'aurait pas pu voir le jour sans le soutien sans faille de mes parents, Jacques et Constance, de mon frère et de ma sœur, David et Noémie. Et je n'aurais pas pu la conclure sans la bienveillance d'Agathe, qui m'a aidé bien au-delà des chapitres qu'elle a relus avec la plus grande attention. Merci également à Aurélie, Julie L., Julie P., Rébecca, et Misao, qui ont compté les pages avec moi. Merci à Sandre, pour son soutien informatique. Merci enfin à Richard pour ses encouragements quotidiens, qui ont accompagné chaque étape de cette thèse.
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