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Collection « Les sciences sociales contemporaines »

LE BILINGUISME ARABE-FRANÇAIS AU LIBAN. Essai d’anthropologie culturelle (1962)
Avant-propos


Une édition électronique réalisée à partir du texte du livre du Père Sélim ABOU, s.j., LE BILINGUISME ARABE-FRANÇAIS AU LIBAN. Essai d’anthropologie culturelle. Paris: Les Presses universitaires de France, 1962, 502 pp. Ouvrage publié avec le concours du Centre National de la Recherche Scientifique. Une édition numérique réalisée par Réjeanne Toussaint, bénévole, Chomedey, Ville Laval, Québec. [Autorisation accordée par l'auteur de diffuser le texte de cet article dans Les Classiques des science sociales le 12 avril 2011.]

[vii]

LE BILINGUISME ARABE-FRANÇAIS AU LIBAN.
Essai d’anthropologie culturelle.

Avant-propos

De par sa nature, le présent ouvrage impose à son auteur une immense dette de reconnaissance.

Notre premier et plus agréable devoir est de remercier M. le Professeur André Leroi-Gourhan qui, après avoir accepté, il y a cinq ans, de patronner, au titre du Doctorat ès-lettres, ce qui n'était encore qu'un projet de travail complexe et informe, n'a cessé, par la suite, de nous prodiguer une direction attentive, suggérant la démarche, orientant la recherche, rectifiant l'interprétation.

À M. le Professeur André Martinet nous devons une direction et une aide non moins anciennes, la connaissance de la littérature linguistique la plus récente sur les contacts de langues, ainsi que l'appui d'une autorité et d'une expérience personnelles considérables en matière de bilinguisme.

Il nous plaît de remercier ici M. le Professeur Roger Bastide d'avoir bien voulu assumer le patronage des Enquêtes sur les langues en usage au Liban, qui constituent le nécessaire complément du présent volume. Nous exprimons notre regret de n'avoir pas su profiter plus tôt, pour une perception plus complète de certains problèmes traités dans ce même volume, de la riche expérience des contacts de cultures qu'il a acquise dans un pays voisin de celui où nous écrivons ces lignes.

Le texte qui suit, dans presque toutes ses parties, montre assez ce que nous devons aux ouvrages de M. Pierre Rondot. Qu'il nous permette de le remercier ici de l'accueil bienveillant qu'il nous a toujours réservé personnellement et des précieux conseils qu'il nous a chaque fois prodigués.

Nous remercions enfin le R.P. Henri Fleisch s.j., Professeur de philologie à l'Institut des Lettres Orientales de Beyrouth, qui, tout au long de la rédaction, nous a apporté lumière et sécurité sur les problèmes épineux que pose actuellement la langue arabe.

Au Liban, les collaborateurs sont innombrables. Il nous coûte de ne pas pouvoir les citer nominalement.

Il nous serait cependant difficile de ne pas exprimer notre spéciale gratitude au R. P. Alban de Jerphanion s.j., Recteur de l'Université Saint-Joseph, dont la collaboration, à tous les niveaux de la recherche, lut telle que, sans lui, l'élaboration même du travail eût été probablement impossible. Sans son autorité el ses relations, bien des portes nous seraient restées fermées ; sans ses conseils, des aspects essentiels nous eussent échappé ; sans son dévouement continu, cette étude d'actualité eût pour le moins pâti d'un retard dommageable.

[viii]

Notre reconnaissance s'adresse également à M. Constantin Zureik, ancien Vice-Président de l'Université Américaine de Beyrouth, pour l'accueil favorable que, dès l'abord, nous avons trouvé auprès de lui, et l'aide efficace qu'il nous a apportée en nous introduisant dans les milieux enseignants de l'Université.

M. Fouad Ephrem Boustany, comme Recteur de l'Université Libanaise et comme Maître de la langue arabe, a suivi notre entreprise avec une sympathie et une bienveillance actives dont nous lui savons gré.

Aux Professeurs de ces trois Universités, comme aux Directeurs et Directrices des établissements secondaires officiels et des collèges libres, musulmans et chrétiens, qui ont collaboré aux enquêtes dont nous recueillons ici le fruit ;

Aux vingt et un étudiants et étudiantes el à leurs collaborateurs qui ont mis à exécution, dans leurs villages, la majeure partie des enquêtes et qui sont, à ce litre, les vrais auteurs de l'étude sociologique complémentaire ;

À tous les responsables de l'enseignement, - fonctionnaires de l'Éducation nationale, directeurs d'établissements scolaires, professeurs et instituteurs -, aux directeurs de revues ou de cénacles littéraires, aux nombreux écrivains, journalistes, critiques, qui ont bien voulu nous taire part de leurs opinions ou de leurs jugements sur les problèmes culturels ici traités, et dont les propos forment en grande partie la matière de ce livre ;

Enfin à tous les collègues qui ont assumé la partie la plus ingrate de ce travail, qu'il s'agisse de la vérification des références ou de la correction des épreuves ; à ceux qui, au cours de la rédaction ou de la révision, ont eu l'occasion de nous corriger ou de nous éclairer ;

Nous exprimons ici notre entière gratitude.

Par l'amplitude du dialogue dont il nous a offert l'occasion avec nos compatriotes, ce travail nous aura été personnellement d'un profit incommensurable. Puisse-t-il constituer en lui-même, un élément positif dans le Dialogue qui se poursuit entre Libanais des diverses familles spirituelles, et qui est la réalité même du Liban.

Buenos Aires, le 15 août 1961.



Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le vendredi 8 novembre 2013 14:40
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur de sociologie retraité du Cégep de Chicoutimi.
 



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