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AFRIQUE COMPARABLE ?
SANTÉ PUBLIQUE ET SÉCURITÉ GLOBALE AU BÉNIN.
Remerciements
Au terme de cette étude, je voudrais tout particulièrement remercier mon cher directeur le professeur Michel Bergès qui, après m’avoir accepté à ses côtés, après m’avoir fait une place au sein de son équipe de recherche le GRSG, n’a de surcroît ménagé aucun effort tout au long de cette étude pour m’accompagner, me guider, m’encourager et me prodiguer ses meilleurs et utiles conseils sans lesquels ce travail aura tout simplement manqué de lumière heuristique et de hardiesse discursive. Je voudrais remercier le professeur Michel-Louis Martin qui m’a accueilli dans cette équipe de recherche le GRSG qu’il dirige. Je remercie les éminents membres de mon jury de soutenance pour l’intérêt scientifique qu’ils ont manifesté à cette thèse en acceptant de la juger.
Mes remerciements vont naturellement à l’endroit de Saliou Akobi, Alexandre Fatchéhoun, Yves Tiné, Hadidja Dhoiffir, Elena Choumanska, Mohamed Ali, Idriss Houssein, Casimir Adjitchè, Jean-Paul Adikonou, Pierre, Thierry et Hilaire Ayéna pour leur soutien moral puis leurs chaleureux et incessants encouragements.
Merci à vous aussi chers enquêtés, vous qui aviez prêté une oreille toujours attentive à toutes mes requêtes, certes, exigeantes mais que tous, spontanément, les uns que les autres, vous fîtes passionnantes. Ce travail vous est donc amplement redevable. J’ai une pensée particulièrement émue pour David Akobi qui a prématurément quitté ce monde au moment où s’achève cette étude dont il fut l’un des enquêtés mobilisés et le parent attentionné. Malgré la maladie, il s’était prêté, toujours sans parcimonie, à toutes mes investigations pour comprendre les logiques tant culturelles que calculatrices qui déterminent les parcours de soins médicaux au Bénin.
Enfin, que ce travail de recherche sur la santé publique au Bénin soit dédié à sa mémoire tout comme à celle de ma tendre et très affectueuse mère Iwinfoumi Léocadie Akoti dont la maladie un jour puis la mort subitement ont eu raison de tant de dévouements maternels et d’attentions hypocoristiques. Chère maman, ce travail salue ta mémoire, pour cette mère que tu fus, et pour ce dont tu as souffert dans le silence de la douleur et l’impéritie des hôpitaux.
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