Au départ, cet essai fut un mémoire de maîtrise présenté à l'Université de Montréal. Directeur de mes recherches, c'est le professeur René Durocher qui m'a proposé de travailler sur la crise d'Octobre et le milieu universitaire. Pour cette créativité dont j'ai tiré profit, de même que pour ses conseils avisés et ses encouragements répétés, je tiens à le remercier chaleureusement.

Je remercie également les nombreux artisans de la discipline historique dont l'intelligence et le dévouement furent si précieux à l'apprenti-chercheur que je suis. Je pense ici aux archivistes des quatre universités montréalaises où j'ai effectué mes recherches : Denis Plante, de l'Université de Montréal, Gilles Janson, de l'UQÀM, Phebe Chartrand, de l'Université McGill et Caroline Sigouin, de l'Université Concordia. Je pense également à ces missionnaires de la Fondation Octobre qui luttent sans relâche contre l'oubli. Je remercie Me Pierre Cloutier et monsieur René Bataille de m'avoir donné accès à une série de documents importants qu'ils ont accumulés avec patience au fil des années. Merci aussi à ceux qui ont accepté de répondre à mes questions : Jacques Geoffroy, Gilles Duceppe, Robert Comeau, Jean-Marc Piotte, Léo Dorais et Louis Fournier.

[12] Je tiens également à témoigner ma grande reconnaissance à la Fondation du prêt d'honneur. Sans l'obtention d'une bourse-projet, je n'aurais pu me consacrer à temps plein à la rédaction de ce mémoire. Je remercie mes proches pour leur soutien. Merci à Dominique et à Steven pour leurs conseils, leur soutien et leur grande amitié. Merci à ma compagne Nadja pour les nombreuses relectures et pour sa joie partagée de voir ce mémoire publié. Merci à l'éditeur Gaston Deschênes pour le soin qu'il a porté à mon manuscrit. Merci surtout à mes parents qui, depuis le début, m'ont fait confiance lorsque j'ai choisi d'étudier en histoire.