À bâtons rompus sur la justice…
et le droit du travail

Remerciements

Cet ouvrage n'aurait pas pu voir le jour sans la précieuse collaboration de ma secrétaire, madame Liette Dumouchel.

Je remercie aussi vivement ceux qui ont bien voulu s'astreindre à la lecture critique du manuscrit, M, Thérèse Giroux, vice-présidente de la Commission d'accès à l'information et présidente de la Conférence des membres de tribunaux administratifs du Québec, ainsi que M, Jean Laquerre et M, Yvan Lemoyne, dont le dévouement et les talents de recherchiste et d'arrêtiste sont justement appréciés.

L'auteur de la préface m'a grandement honoré de son éminente participation à cette périlleuse entreprise. Je lui sais infiniment gré de son témoignage d'estime. Mes occasionnels excès en seront d'autant diminués par ce bénéfique compagnonnage. Je reconnais, en effet, exagérer parfois certains contrastes entre les justices administrative et judiciaire, afin de mettre ainsi plus en évidence l'autonomie de celle-là. Les propos plus nuancés du préfacier contribueront sans doute à une meilleure harmonisation de l'ensemble.

Je me permets d'ajouter un mot d'explication : ce n'est pas pour critiquer une jurisprudence maintenant bien établie sur la cause juste et suffisante en matière de congédiement que j'ai abordé cette question, mais plutôt pour confesser mes errements antérieurs.

Ave César...

Marc Brière