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Collection « Les sciences sociales contemporaines »

Les jeunes, le socialisme et la guerre. Histoire des mouvements de jeunesse en France (1989)
Remerciements


Une édition électronique réalisée à partir du livre de Yolande Cohen, Les jeunes, le socialisme et la guerre. Histoire des mouvements de jeunesse en France. Avant-propos de Madeleine Rebérioux. Paris: Les Éditions l'Harmattan, 1989, 253 pp. Collection : Chemins de la mémoire. Une édition numérique réalisée par Marcelle Bergeron, bénévole, professeure à la retraite de la l'École polyvalente Dominique-Racine de Chicoutimi. [Autorisation accordée par l'auteure le 26 mars 2007 de diffuser tous ses livres dans Les Classiques des sciences sociales.]

Remerciements

Enfantée par mai 68, cette recherche a vu le jour à la faveur de l'ébullition qui a suivi les événements ; elle a mûri, alors qu'il s'agissait de les comprendre et elle se termine quand une autre génération conteste les soixante huitards, au pouvoir. La boucle de la contestation semble close : contre-pouvoir/pouvoir. Les préoccupations d'ordre strictement politique – quelle place la jeunesse doit-elle occuper dans la société ? – se doublaient d'une quête des origines à laquelle seule l'histoire pouvait satisfaire. Les multiples ressources de l'école historique française offraient à l'étudiante curieuse des perspectives inespérées de recherche. Ce fut d'abord à Paris auprès du riche noyau d'historiens de la France contemporaine, et particulièrement grâce à Madeleine Rebérioux et à son généreux enthousiasme, qu'une première version de ce travail vit le jour. Ma dette à son égard est immense. Je dois également au regretté Georges Haupt, à Jacques Ozouf, Christian Gras, Marc Ferro, Annie Kriegel et Maurice Aghulon, leur lecture attentive du texte et leurs commentaires particuliers, fort appréciables. Joseph Goy n'a guère épargné ses efforts pour rendre productif mon séjour au CRH tandis que Serge Moscovici questionnait patiemment mon entreprise, tâchant sans doute de lui conférer le relief qui lui manquait. À Claudie Weill qui tout au long de ces années n'a cessé de prodiguer support, aide et encouragement, je suis redevable de ses patientes corrections. 

À Princeton, les réflexions stimulantes de Arno Mayer, les remarques passionnées de John Gillis, l'intérêt attentif de Ezra Suleiman et les interrogations toujours pertinentes de Marta Petrusewicz m'ont permis de mettre au point le manuscrit. 

Mais c'est bien sûr à Montréal, à l’UQAM que s'est déroulé le long écheveau de cet ouvrage. Aux collègues et amis qui m'ont soutenue, aux étudiants et assistants qui m'ont écoutée et aidée, à tout le personnel du département d'histoire, je ne saurais assez exprimer ma gratitude, en particulier à Viviane Sirois, Pauline Léveillé et Denise Brunelle qui ont eu chacune à dactylographier différentes versions du manuscrit. Enfin aux commentaires fort pertinents des deux évaluateurs anonymes, je dois une relecture plus perspicace du texte. 

Parce que Marcel Fournier ployait déjà sous le poids de ses propres travaux, il n'a pas eu à trop subir la charge du mien. Pourtant sa perspicacité et sa douce vigilance comme l'appui constant de ma famille et de mes proches m'ont permis de ne pas trop m'égarer, en chemin.

Montréal, octobre 1987.


Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le mercredi 3 octobre 2007 14:43
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi.
 



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