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Transmission de la prêtrise vodou.
Devenir ougan ou mambo en Haïti
Remerciements
Au terme de ces quatre années de travail assidu lecture, réflexion, enquêtes, analyse, rédaction le moment est venu maintenant d’exprimer mes remerciements à toutes les personnes et aux organismes qui ont rendu possible cette œuvre scientifique.
Je pense d’abord à mes professeurs au niveau de la Maîtrise qui ont cru en mes potentialités et m’ont encouragé à poursuivre mes études doctorales. Il s’agit, entre autres, de Michèle Oriol, Guy Maximilien et Marie-Lucie Vendryes. Je veux remercier tout particulièrement le professeur Laurier Turgeon qui a accepté de diriger ma thèse, qui a reconnu la pertinence de mon sujet et qui m’a toujours encouragé. Je tiens à remercier aussi la professeure Martine Roberge pour ses conseils formulés lors de l’examen de doctorat qui sanctionne la fin de la scolarité de thèse.
Après la réussite de cet examen, il me restait une étape importante, celle de recueillir et d’analyser les données ethnographiques. Comment aurais-je pu la réaliser sans la générosité de mes interlocuteurs ? Outre leur confiance et le temps qu’ils m’ont accordés, ils m’ont aussi parfois accueilli avec un café ou un rafraîchissement. Qu'ils en soient donc très sincèrement remerciés.
Mes remerciements s’adressent au professeur Laënnec Hurbon qui a effectué le travail de prélecture de ma thèse et qui m’a fait de précieuses remarques. Son avis a été pour moi très rassurant et bénéfique compte tenu de son expertise reconnue internationalement dans le domaine des études du vodou en Haïti. Je remercie également Madame Anne-Hélène Kerbiriou qui m’a aidé à améliorer la facture du texte par une généreuse révision linguistique. Je remercie enfin les autres évaluateurs - Monsieur Maximilien Laroche et Madame Karen E. Richman - d'avoir accepté de siéger sur mon jury. Ma reconnaissance est exprimée aussi à Monsieur Jean-Joseph Moisset qui a assuré la présidence de la soutenance.
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Ma gratitude est grande envers les institutions qui m’ont offert un cadre intellectuel et un soutien financier. J’aimerais remercier d’une manière particulière le Département d’histoire, la Chaire de recherche du Canada en patrimoine ethnologique de l’Université Laval et le Centre de Recherche interuniversitaire d'études sur les lettres, les arts et les traditions (CÉLAT) pour leur appui financier et logistique me permettant de me consacrer pleinement à la réalisation de cette thèse. Je suis également très reconnaissant envers le Rectorat de l’Université d’État d’Haïti pour son appui financier. Je remercie le Bureau Caraïbe de l’AUF qui est intervenu au moment de la planification de la soutenance par une contribution substantielle.
Enfin, un grand merci va à mes proches parents et amis qui m’ont donné leur support affectif, leur soutien et leur patience. À toutes personnes de près ou de loin qui ont apporté une petite pierre à cet édifice, j’exprime ici ma gratitude envers elles.
Il y a une personne particulière qui, avec patience et compréhension, a souffert de mon absence pendant la réalisation de cette thèse à l’étranger. Elle s’appelle Mirlande Polyte, ma conjointe. Je lui transmets une pensée toute spéciale.
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