Une édition électronique réalisée à partir de l'article de Jacques ROUILLARD, “Pourquoi fêter le premier mai ?” Un article publié sous le titre: “Pourquoi célébrer ?” in La Presse, Montréal, le 1er mai 2008; et aussi sous le titre “Y a-t-il de quoi fêter ?” in Le Devoir, Montréal, le 1er mai 2008, page A7. [Texte intégral de l’article proposé au journal.] [Autorisation accordée par l'auteur le 4 octobre 2008 de publier cet article dans Les Classiques des sciences sociales.]
Jacques Rouillard, “La fête du Travail a perdu sa valeur symbolique. C'en est fini des traditionnels rassemblements d'autrefois, constate Jacques Rouillard.”. Montréal, iForum, Université de Montréal, 30 août 1999.
Dernière mise à jour de cette page le mardi 19 mai 200915:05 Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi.
Saguenay - Lac-Saint-Jean, Québec
La vie des Classiques des sciences sociales
dans Facebook.
×
À tous les utilisateurs et les utilisatrices des Classiques des sciences sociales,
Depuis nos débuts, en 1993, c'est grâce aux dons des particuliers et à quelques subventions publiques que nous avons pu mener à bien notre mission qui est de donner accès gratuitement à des documents scientifiques en sciences humaines et sociales de langue française.
Nous sollicitons votre aide durant tout le mois de décembre 2020 pour nous aider à poursuivre notre mission de démocratisation de l'accès aux savoirs. Nous remettons des reçus officiels de dons aux fins d'impôt pour tous les dons canadiens de 50 $ et plus.
Aidez-nous à assurer la pérennité de cette bibliothèque en libre accès!
Merci de nous soutenir en faisant un don aujourd'hui.
Jean-Marie Tremblay, fondateur des Classiques des sciences sociales