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Collection « Les sciences sociales contemporaines »

CARCAJOU ET LE SENS DU MONDE. RÉCITS MONTAGNAIS-NASKAPI. (1971)
Transcription des termes amérindiens


Une édition électronique réalisée à partir de l'article de Rémi Savard, CARCAJOU ET LE SENS DU MONDE. RÉCITS MONTAGNAIS-NASKAPI. Montréal: Bibliothèque nationale du Québec, 1971, 141 pp. Collection: Civilisation du Québec, no 3. Série: cultures amérindiennes. Une édition numérique réalisé par par Diane Brunet, bénévole, guide, Musée La Pulperie, Chicoutimi. [Autorisation accordée par l'auteur le 15 novembre 2005 de diffuser la totalité de ses publications dans Les Classiques des sciences sociales.]


[137]

Transcription des termes amérindiens



L'auteur n’étant pas linguiste et encore moins phonéticien, il effectue des transcriptions phonétiques approximatives des termes indigènes inclus dans le texte. Il est conscient du fait que ses transcriptions peuvent comporter des erreurs, surtout en ce qui a trait à la longueur des voyelles. La majorité des termes amérindiens qui ont été transcrits sont montagnais-naskapi. Cependant certains termes cris ont été extraits des textes provenant de Schefferville.

Pour ce qui est des termes amérindiens inclus dans des citations on a conservé la graphie des auteurs dont sont tirées ces citations. Pour connaître la valeur exacte des symboles utilisés par un auteur cité, le lecteur devra se référer à l'ouvrage original.

Les symboles utilisés dans les transcriptions sont les suivants :

p, t, k, b, d, g, s, m, n,

se prononcent à peu près comme en français.

sh

se prononce comme dans « cheval »

tsh

se prononce comme dans « child » en anglais

dj

se prononce comme dans « jump » en anglais

kw

correspond à un k labialisé ou arrondi qui n'a pas d'équivalent ni en français ni en anglais

w

comme dans « oie » y comme dans « hier »

u, o, a, e, i,

désignent les voyelles. On n'a pas tenu compte du fait que chacune d'elles peut présenter un grand nombre de variations phonétiques. Par exemple, a peut désigner, selon le cas, à la fois le a de « patte » et celui de « pâte ».

- au dessus d'une voyelle

symbolise l'allongement de cette voyelle

e

correspond au e muet français comme dans « petit »

précède la syllabe sur laquelle porte l'accent tonique




Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le mardi 13 septembre 2011 15:14
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur de sociologie retraité du Cégep de Chicoutimi.
 



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