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Collection « Les sciences sociales contemporaines »

LES FACETTES DE L’IDENTITÉ AMÉRINDIENNE.
THE PATTERNS OF “AMERINDIAN” IDENTITY
. (1976)
Remerciements/Acknowledgements


Une édition électronique réalisée à partir de l'oeuvre sous la direction de Marc-Adélard Tremblay, LES FACETTES DE L’IDENTITÉ AMÉRINDIENNE. THE PATTERNS OF “AMERINDIAN” IDENTITY. Symposium, sur les Amérindiens. Montmorency, Octobre 1974. Sainte-Foy, Québec: Les Presses de l’Université Laval, 1976, 316 pp. Une édition numérique réalisée par ma grande amie de longue date, Gemma Paquet, professeure de soins infirmiers retraitée de l'enseignement au Cégep de Chicoutimi. [M. Marc-Adélard Tremblay, anthropologue, retraité de l’enseignement de l’Université Laval, nous a accordé le 4 janvier 2004 son autorisation de diffuser électroniquement toutes ses oeuvres.]

Les facettes de l’identité amérindienne.

Remerciements

Marc-Adélard TREMBLAY

L'idée d'organiser un colloque sur les Amérindiens et de le mettre sous le patronage de la Société royale du Canada revient à Louis-Edmond Hamelin, professeur à l'université Laval. Il eut l'idée de m'associer très tôt à son projet de telle sorte que lorsqu'il obtint un congé sabbatique en 1973-1974 pour rédiger un ouvrage sur le Nord, je devins, par la force des choses, seul responsable. Il m'avait, toutefois, assuré avant son départ de la collaboration de quelques-uns de ses collègues nordistes, qui ont tenu parole.

Mes remerciements vont donc d'abord à lui et, ensuite, à la Société royale du Canada qui n'a pas craint d'associer son nom et son prestige à une discussion franche et honnête, sur la place publique, de la question amérindienne. Le défi ne manquait pas d'audace.

Le colloque visait avant tout à favoriser des échanges entre universitaires appartenant à diverses disciplines, fonctionnaires des agences gouvernementales et privées, et membres des communautés indigènes. De par leur formation, de par leur engagement dans diverses sphères d'activités (éducation, santé, études juridiques, langue, marché du travail), de par leur vision de l'intérieur des problèmes sentis et vécus, les conférenciers, les panelistes et les autres participants ont apporté des éclairages nouveaux devant servir à l'élaboration d'une problématique d'ensemble sur l'identité amérindienne. Le colloque n'a pas suscité de recommandations (ce n'était pas son but), mais les divers éléments mis en place peuvent servir à des prises de décision et à des engagements décisifs. Comment alors ne pas signaler la contribution particulièrement riche des conférenciers, des participants à la table ronde et des présidents de séance.

Un colloque de cette envergure nécessite une imposante organisation matérielle et l'appui de dévoués collaborateurs : le major E. H. P. Garneau a assumé tant de responsabilités qu'il serait difficile de les énumérer toutes ; Mme Lorraine Hayward ainsi que Mlle Francine Boucher se sont acquittées des principales tâches du secrétariat avant et pendant le colloque ; mon assistant d'enseignement, l'anthropologue Bernard Lemelin, a rédigé, avec beaucoup de minutie, un résumé pour la plupart des communications et préparé l'esquisse de la conclusion devant être rédigée sur les lieux mêmes pour mieux refléter le climat des discussions ; finalement, le Service de l'audio-visuel de l'université Laval a effectué l'enregistrement des conférences et des débats. Je remercie aussi ma fille Colette, étudiante à Laval, qui a conçu la maquette de la couverture.

Tout colloque suppose une assistance financière : le nôtre ne fait pas exception. La Société royale du Canada, par sa contribution financière dès le printemps 1973, permit un bon départ. Le Conseil des arts du Canada, dans le cadre de son Programme « Conférences », nous a aussi épaulé financièrement. Le Secrétariat d'État nous a octroyé une subvention devant permettre la traduction simultanée du français à l'anglais et de l'anglais au français. Nous exprimons aussi nos remerciements à l'École des gradués de l'université Laval.

Il ne me reste plus qu'un très agréable devoir à remplir. Il s'agit de remercier l'Association des Indiens du Québec et, tout particulièrement, son vice-président, M. Aurélien Gill, d'avoir organisé la table ronde, ce moment historique d'une rare intensité. Comment ne pas les remercier de la confiance manifestée en venant discuter avec nous sur un terrain que nous avons voulu  neutre mais chaleureux.

Marc-Adélard Tremblay




Les facettes de l’identité amérindienne.

Acknowledgements

Marc-Adélard TREMBLAY


It was Louis-Edmond Hamelin, Professor at Laval University, who first expressed the idea to organize a symposium on "Amerindians" under the sponsorship of the Royal Society of Canada. From the beginning he was thoughtful enough to involve me in the planning phase so that when the University granted him a leave of absence for 1973-1974 to write a book on the North, I became the sole organizer, almost by default! He had assured me, however, before his departure, that some of his northern studies colleagues would be willing to contribute a paper. They did.

So I would first like to thank him and also the Royal Society of Canada which did not hesitate to associate its reputation and prestige to a public and frank but honest discussion on the "Amerindian" situation. It was quite a challenge to meet.

This symposium had as an objective the encouragement of exchanges between university colleagues belonging to various disciplines, civil servants Of governmental agencies, employees of private corporations and members of the. indigenous communities. Thus, the speakers, the members of the round table and other participants are trained in various disciplines, and engaged in fields such as education, health, law, language, labour relations. With an inside view of every-day problems, they bring new perspectives to the building of an overall theoretical framework on "Amerindian" identity. The symposium has not led itself to the formulation of concrete recommendations-this was not its objective-but the various elements which have been set forth will undoubtedly serve as background materials in decision-making and in decisive involvements. The significant contribution of each of the speakers, panelists and session chairmen cannot go unnoticed.

Such a symposium cannot be held without important material resources and the full support of close collaborators : Major E.H.P. Garneau has undertaken so many different tasks that it would be fastidious to enumerate them ; Mrs. Lorraine Hayward and Miss Francine Boucher have undertaken the main secretarial tasks prior to and during the symposium ; my teaching assistant, anthropologist Bernard Lemelin, has written, with great care, an abstract for most of the papers and has prepared the highlights of the conclusion that had to be finalized during the symposium to reflect better the tone of the discussions ; finally the Audio-visual Service at Laval has been responsible for recording conferences and discussions. I also express my indebtedness to my daughter Colette, a student at Laval, who designed the cover.

Each symposium requires financial support : ours is no exception to that general rule. The Royal Society of Canada early financial contribution gave us a sense of direction. Through its programme on "Conferences, " the Canada Council has provided us with a most useful financial grant. The Secretariat of State through a regular grant has provided us with the facilities for simultaneous translation from French to English and English to French. I express also my debt of gratitude to Laval's Graduate School.

I now have a very pleasant duty to perform, that is to thank the Quebec Indian Association, in particular, its vice-president, Mr. Aurélien Gill, who has organized the round table, a historic moment of a unique intensity. Let us thank, too, our cocitizens the Amerindians, who had confidence in us and came to discuss with us on neutral, but hopefully warm grounds.

Marc-Adélard Tremblay



Retour au texte de l'auteur: Marc-Adélard Tremblay, anthropologue, retraité de l'Université Laval Dernière mise à jour de cette page le samedi 12 septembre 2009 8:40
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur au Cegep de Chicoutimi.
 



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