[317]

Simon (Siméon) FRANK, La connaissance et l’Être. [1915] [1937]

Table des matières

Avant-Propos [I]

Avertissement de l’auteur [XI]

Première partie
La Connaissance et l’Être [1]

Chapitre I^er. — Objet et contenu de la connaissance [3]

1. Objet et contenu en tant que sujet et prédicat psychologiques [3]

2. Objet et contenu en tant que sujet et prédicat logiques [6]

3. Jugements thétiques et synthétiques. Expression définitive de l’objet et du contenu : x est A [12]

4. L’objet en tant que x est doublement énigmatique [16]

5. La transcendance de toute connaissance. Comment elle se retrouve dans les différentes régions du savoir [22]

Chapitre II. — Le problème de l’objet transcendant et les principales théories qui essaient de le résoudre [38]

1. Le dualisme naïf et son réalisme [38]

2. Phénoménisme, idéalisme subjectif et transcendental [43]

3. L’« objectivisme immanent » [53]

4. L’objectivisme transcendant (réalisme immanent) [70]

5. Dualité irréductible de l’objet et de la connaissance de l’objet, et authenticité de cette connaissance [74]

6. L’objet en tant qu’inconnu et l’objet en tant que connu ne font qu’un [77]

7. Conclusion [79]

[318]

Chapitre III. — La distinction, dans l’évidence immédiate, de ce qui est « donné » et de ce qui est « présent » [80]

1. Distinction de « l’immédiatement donné » et du « pensé » ; que ce dernier a besoin d’un fondement immédiat [80]

2. Distinction de ce qui est « donné » et de ce qui est « présent ». Immédiateté de l’infini spatial [88]

3. Immédiateté de l’infini temporel [93]

4. Plénitude immédiate du « présent » ; « quelque chose » et le néant ; signification de la négation [95]

5. Réduction épistémologique de l’au-delà spatial au temporel [104]

6. La conscience en tant qu’intemporelle [106]

7. Explication préliminaire de la transcendance de l’objet [108]

Chapitre IV. — La conscience et l’être. La conscience de l’Être absolu [111]

1. Deux conceptions de la conscience : la « petite conscience » ou la conscience en tant que courant de l’actuellement vécu ; la « grande conscience » ou la conscience en tant que possession de l’au-delà [111]

2. Insuffisance de chacune de ces conceptions. La conscience en tant qu’unité du vécu et de l’intentionnalité [113]

3. En tant que la conscience est terme d’un rapport, elle requiert le terme opposé [116]

4. L’Être absolu et son immanence [118]

5. Le sens de la preuve ontologique [123]

Deuxième partie
L’intuition de l’Un et la connaissance notionnelle [129]

Chapitre V. — De la nature du lien logique [131]

1. Formule générale de la déduction [132]

2. Les difficultés de la conception habituelle [133]

3. La déduction en tant que jugement [140]

4. La conséquence logique et la liaison des déterminations toutes faites [146]

5. La liaison des déterminations et l’unité primordiale [150]

[319]

Chapitre VI. — L’Un et la loi de détermination [157]

1. Les lois logiques d’après leur énoncé habituel [157]

2. Les lois logiques en tant que lois de la détermination [161]

3. Le tout et ses parties [166]

4. L’Unité métalogique [172]

5. L’Un et la connaissance notionnelle [177]

Chapitre VII. — La première détermination et la nature de l’intuition [180]

1. Les deux aspects de la détermination [180]

2. La détermination en tant qu’unité intemporelle [182]

3. La détermination en tant qu’originalité [184]

4. De la nature de l’intuition [193]

Chapitre VIII. — La connaissance en tant que système de l’Un [198]

1. La connaissance en tant que définition [198]

2. Le concept et la définition du concept [201]

3. La nature de la connaissance partielle et inachevée [205]

4. La connaissance exacte d’un objet particulier est-elle possible ? [209]

5. De la nature de l’unité générique [211]

6. Conditions de possibilité de la connaissance particulière [217]

Chapitre IX. — L’intuition et la connaissance notionnelle [222]

1. Inadéquation de la connaissance notionnelle [222]

2. De la pensée symbolique [223]

3. La pensée réalisée est inadéquate à l’objet [226]

4. L’intuition de l’Un et le vrai sens de l’inadéquation de la connaissance notionnelle [230]

5. Rapport ontologique entre le contenu de la connaissance notionnelle et le contenu de l’intuition [238]

Troisième partie
L’Un concret et la connaissance vivante [243]

Chapitre X. — Le temps et le nombre [245]

1. Importance primordiale du nombre : il n’est ni empirique ni psychologique [246]

[320]

2. Réflexions préliminaires sur la nature du nombre [249]

3. Le nombre en tant que l’Un sous la forme de l’unité abstraite ou de la détermination [253]

4. La philosophie du temps chez Bergson. — Corrélation du temps et du nombre [258]

Chapitre XI. — L’être idéel et l’être réel [267]

1. La détermination et le devenir [267]

2. L’Un en tant qu’unité de l’extra-temporel et du devenir [269]

3. L’empirisme et l’idéalisme ontologique ; leur analyse générale [273]

4. Critique de l’empirisme et de l’idéalisme ontologique [277]

5. L’Un en tant qu’unité de l’idéel et du réel [281]

6. Réalité empirique du présent et réalité de l’éternel [284]

Chapitre XII. — L’Être concret et la connaissance vivante [289]

1. Dualité des faits singuliers et de la loi générale [289]

2. Le problème de la causalité [293]

3. L’essence de l’individuel [299]

4. Liaison du général avec l’individuel [303]

5. La connaissance pensée et la connaissance vivante [306]

6. Le domaine de la connaissance vivante [311]

7. La connaissance vivante et le vécu [313]