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Collection « Les auteur(e)s classiques »

Albert TSCHEPE, s.j., Histoire du royaume de Tsin, (1106-452.) (1910).
Table des matières


Une édition électronique réalisée à partir du texte du Père Albert TSCHEPE, s.j., Histoire du royaume de Tsin, (1106-452). Variétés sinologiques n° 30. Imprimerie de la Mission catholique de l’orphelinat de T’ou-sé-wé, Chang-hai, 1910, xxii+438 pages +une table généalogique de la famille régnante et des grands seigneurs de Tsin (en 2 parties). Une édition réalisée par Pierre Palpant, bénévole, Paris.

Géographie des Tsin

Les défilés les plus importants. — les autres montagnes. — les défilés spécialement dangereux. — les fleuves de Tsin. — les salines.

Premiers temps du royaume de Tsin

T’ang-chou le fondateur de la dynastie feudataire en 1106. — son 6e successeur Tsing-heou 858-841.— le 9e successeur Mou-heou 811-785 prince remarquable. — le 12e prince Tchao 745-739 a la faiblesse de confier à son puissant oncle le fief de K’iu-wo. — d’où naissent des troubles dans lesquels Tchao-heou est tué. Les chefs des grandes maisons Han et Loan commencent à jouer un grand rôle pendant ces troubles. — l’empereur « le fils du ciel » est sans autorité à cette époque.

 

Temps vraiment historiques

Le 19e prince Hien-kong 676-652

Il visite l’empereur et l’engage à se marier, contrairement aux rites, pendant le deuil officiel. — en 672 il fait la guerre au Ts’in qui est l’un de ses rivaux. — il a aussi des difficultés avec les Tartares et les grands seigneurs. — comment le sage lettré Che-wei affaiblit les grandes familles. — comment il conseille son prince, qui n’était pas un modèle de vertu. — Hien-kong prend pour femmes deux princesses tartares, dont l’une, Li-ki, sera cause de grands troubles. — il établit un second corps d’armée, contrairement aux Rites. — il donne des fiefs aux chefs des familles Tchao et Wei qui seront cause de grands troubles — intrigues de cour. — le grand devin Yen. — doctrine d’un sage lettré. — l’office du prince héritier d’après un sage lettré. — Chen-cheng le fils modèle. — intrigues de cour. — sagesse lettrée. — pourquoi Confucius mentionne le Tsin si tard c.-à-d. en 658. — diplomatie lettrée. — prophétie du devin Yen. — l’intrigante Li-ki est déclarée 1e épouse. — ses intrigues.— le prince Tchong-eul s’enfuit prudemment, au lieu de se pendre comme son frère aîné ; sagesse lettrée. — l’eunuque P’i attaque Tchong-eul qui s’enfuit chez les Tartares. — diplomatie fourbe de Hien-kong. — sagesse lettrée. — prophétie du devin Yen. — bassesse de Hien-kong. — son 3e fils I-ou s’enfuit au Ts’in — guerre avec les Tartares. — grande réunion des princes féodaux : Hoan-kong 684-643, le fameux marquis de Ts’i, est reconnu chef suprême. — le seigneur Siun contribue aux intrigues de la cour. — l’intrigante Li-ki est fouettée à mort. — sur le conseil d’un sage lettré, Tchong-eul n’accepte pas encore le trône. — sur le conseil d’un vertueux lettré Ts’ing-mou-kong 659-621 établit I-ou sur le trône de Tsin.

Le 22e prince Hoei-kong 650-637

Il condamne à mort son trop fidèle coopérateur l’intrigant Li-ko. — il se montre déloyal envers le Ts’in — diplomatie lettrée. — Chen-cheng apparaît à son fidèle ami. — prophétie lettrée. — l’empereur fait remettre à Hoei-kong la tablette de jade et le reconnaît ainsi officiellement. — pro phétie lettrée. — troubles à la cour impériale. — l’humble lettré et fin politique Koan-tchong. — famine au Tsin. — le sage lettré Pé-li Hi. — le devin Yen explique une chute de montagne. — Hoei-kong se montre ingrat et pervers. — Ts’in Mou-kong, avant de lui déclarer la guerre, consulte l’oracle. — Hoei-kong méconnaissant les avis de sages let trés, est battu. — et fait prisonnier. — ruse diplo matique d’une femme. — Ts’in Mou-kong se contente du prince héritier donné en otage et relâche Hoei-kong. — les Tartares attaquent le faible Hoei-kong en 644 et en 638. — prophétie lettrée. — Hoei-kong meurt. — le prince héritier en ôtage au Ts’in, s’enfuit et monte sur le trône ; un sage et vertueux lettré lui fait une remontrance et est mis à mort. — prophétie du devin Yen.

Vie et pérégrinations de Tchong-eul, le futur Wen-kong 635-628.

Les futurs grands seigneurs qui l’accompagnent chez les Tartares,. — où il se marie avec une princesse et y reste ans. En il se rend au Ts’i où le grand Hoan-kong le reçoit honorablement. — sa caractéristique. — Tchong-eul se rend au Song. — En il se rend à la cour de Tch’ou où il se montre homme supérieur. — il se rend à la cour de Ts’in. — où Mou-kong lui donne jusqu’à 70 femmes. — toast et cérémonies lettrés à un dîner de gala.

Le 23e prince Hoai-kong 636, fils de Hoei-kong.

Ts’in Mou-kong met Tchong-eul sur le trône de Tsin. — lettré vertueux. — Tchong-eul se présente au temple des ancêtres comme leur successeur légitime. — complot contre Tchong-eul que l’eunuque Pi dévoile. — remontrance d’un sage et vertueux lettré.

Le 24e prince Wen-kong 635-628, apogée de Tsin.

Le galant roi va chercher lui-même ses femmes et ses concu bines. — sa prudence et sa générosité. — les grands sei gneurs, ses amis. — en son humilité il demande à l’empereur l’investiture officielle. — les Tartares cherchent son amitié. — la fille de Wen-kong, femme modèle. — serviteur fidèle géné reusement récompensé par Wen-kong. — autre trait de générosité envers un sage lettré. — Wen-kong rétablit l’or dre à la cour impériale et devient chef des princes féodaux. — malgré son humilité au dîner impérial, Wen-kong demande à l’empereur une galerie couverte pour les tombeaux de ses ancê tres. — lequel privilège impérial lui est pourtant refusé. — Wen-kong, l’homme loyal. — le chef de la famille Tchao est en grande faveur auprès de Wen-kong. — le prince de Song se met sous la tutelle de Wen-kong et son pays reste intimement attaché au Tsin. — Ki-hou est choisi comme généralissime, parce que poète et musicien. — humilité parmi les grands seigneurs de cette époque. — Wen-kong instruit et forme le peuple. — le rend capable de grandes entreprises. — en 632, il commence ses campagnes contre le Ts’ao et le Wei. — gagne l’amitié de Ts’i. — son manifeste vertueux. — diplomatie lettrée. — conseil de guerre de sages let trés. — bataille et victoire à Tcheng-p’ou. — mauvais rêve finement expliqué. — ultimatum lettré de l’époque. — détails de la bataille. — Wen-kong visite l’empereur. — et lui fait de splendides cadeaux. Il est décoré des plus hauts insi gnes. — il observe humblement tous les Rites. Assemblée des vassaux. — Wen-kong rétablit la paix au Wei. — convention avec le peuple, triste malentendu à la rentrée du prince. — Wen-kong est strict quant à la discipline militaire. — prisonniers de guerre offerts aux ancêtres. — assemblée de vassaux. — à laquelle l’empereur assiste sur l’invitation de Wen-kong. Ce que les lettrés et Confucius pensent d’une telle invitation qui semble contraire aux Rites. — les cadeaux illumi nent les yeux du devin de Wen-kong. — Wen-kong établit  corps d’armée, ce qui était contraire aux Rites. — autre oubli des Rites. — le marquis de Lou obtient par des cadeaux l’élargissement du prince de Wei ; crimes que ce dernier com met. — tour diplomatique joué par un sage lettré. — le marquis de Lou ami et favori de Wen-kong. — grandes manœu vres. — le roi de Tch’ou fait un traité de paix avec Wen-kong. — mort de Wen-kong ; merveille lettrée expliquée par le devin Yen. — parallèle entre Wen-kong et Ts’i-hoang-kong.

Le 25e prince Siang-kong 627-621

Tours de fine diplomatie malgré les Rites. — la victoire la plus célèbre de Tsin. — diplomatie féminine. — autre tour de lettré finement joué. — Tartares tantôt amis tantôt enne mis des Chinois. — dévouement du premier ministre. — trait de générosité exercée par Wen-kong et sagesse lettrée. — Siang-kong l’imite. — diplomatie lettrée. — Siang-kong visite l’empereur. — attaque Wei ; tour de diplomatie. — qui fut conforme aux Rites. Philosophie chinoise. — grande victoire sur le Ts’in — prédiction d’un sage lettré. — le marquis de Lou n’ayant pas offert les ca deaux usuels est mal vu. — démonstration militaire contre le Ts’in. — Ts’in Mou-kong répond par une autre démonstration ; mais il n’y a pas de bataille. — antagonisme de Tch’ou.— Le marquis de Lou est célébré par un toast à la cour de Siang-kong ; on y observe strictement les Rites. — Les princes féodaux se plaignent des contributions trop fortes que le Tsin exige. — prophétie lettrée. — Grandes manœu vres de Tsin et promotion de grands seigneurs. — le grand seigneur Tchao-siuen-tse 621-589, célébrité de Tsin — Siang-kong meurt. — rivalités entre les grands seigneurs, indices de la ruine future de Tsin. — le poignard éloigne les adversaires. — sagesse lettrée.

Le 26e prince Ling-kong 620-607

Malgré toutes les prévisions, le jeune fils de Siang-kong est mis sur le trône. — complications politiques. — victoire sur l’armée de Ts’in. — rivalités parmi les grands seigneurs. — sagesse lettrée. — Tchao-siuen-tse se montre prudent ministre. — le marquis de Lou est rappelé à l’ordre. — rivalités parmi les grands seigneurs. — le ministre résiste à Tchou, le grand antagoniste. — il tient une assemblée de princes. — guerre avec le Ts’in. — péripéties ridicules de la campagne. — prévoyance du ministre prudent. — chinoiserie curieuse. — le prudent ministre gagne les feudataires. — le marquis de Lou demande du secours contre le Ts’i. — assemblée des feudataires. — les ca deaux sauvent et le prince malhonnête de Ts’i et l’usurpateur de Song — nouvelle assemblée des princes. — célèbre lettre diplomatique. — échange d’otages avec le Tcheng. — grand seigneur de Tsin est exilé. — assemblée de princes. — Ling-kong n’est pas à la hauteur de son office. — diffi cultés avec le Ts’in et le Tch’ou. — extravagances de Ling-kong. — remontrance lettrée. — tyrannie de Ling-kong. — vertu lettrée. — Ling-kong est assassiné. — Tchao Siuen-tse est accusé par l’historiographe comme coupable de cet assassinat. — on choisit un fils de Wen-kong pour suc cesseur ; pourquoi il se trouvait en exil.

Le 27e prince Tch’eng-kong 606-600

Le Tch’ou reste l’antagoniste de Tsin. — Tch’eng-kong fait la paix avec l’État de Tcheng. — il tient une assemblée de princes. — Confucius cache les hontes de sa patrie. — Les Tartares deviennent les alliés de Tsin. — rivalités entre les grands seigneurs. — Après une nouvelle assemblée de princes, Tch’eng- kong meurt.

Le 28e prince King-kong 599-581

Félonie de Tcheng. — guerres avec le Tch’ou. — qui reste l’antagoniste le plus puissant. Les Tartares se déclarent les alliés de Tsin. — nouvelle guerre avec Tch’ou. — sagesse lettrée. — discorde entre les grands seigneurs de Tsin. — stratégie lettrée. — ultimatum lettré du roi de Tch’ou. — réponse lettrée. — bravades de guerriers de Tch’ou. — confusion parmi les grands seigneurs de Tsin. — bravades de guerriers de Tsin. — détails de la débâcle de Tsin. — à ceux qui veulent élever un tro phée des cadavres de Tsin, le roi de Tch’ou répond en savant lettré. — sacrifice au Fleuve Jaune. — autres détails de la bataille. — échange des prisonniers. — le généralissime n’est pas puni. — pourquoi ? par suite de ce désastre, les princes amis de Tsin sont harcelés par leurs voisins. — le seigneur Sien-hou est exterminé avec sa parenté à la fin de 596. — le ministre de Wei se pend pour sauver son prince. — la sagesse lettrée empêche King-kong de secourir son allié de Song contre le Tch’ou. — un seigneur loyal et courageux. — King-kong bat les Tartares. — Ts’in Hoan-kong est ja loux de ces succès. — philosophie chinoise. — démonstration militaire de Tsin. — sagesse lettrée. — King-kong flatte l’empereur. — et récompense les généraux victorieux. sagesse lettrée. — les saints Rites sont expliqués. — K’i K’o, le grand seigneur boiteux, excite l’hilarité des dames de la cour de Ts’i. — il jure de se venger. — Assemblée de princes. — on essaye d’intimider le fier prince de Ts’i. — les prin ces feudataires se tournent plutôt vers le Tch’ou. — un sage ministre à son fils. — K’i K’o se venge de Ts’i. — l’empereur est attaqué par les Tartares et secouru par King-kong. — K’i K’o fait la guerre au roi de Ts’i. — cu rieuse bravade. — détails de cette bataille. — fin tour joué au seigneur Han-kiué. — fuite du roi de Ts’i. — il demande la paix. K’i K’o demande réparation écla tante. — le prince de Lou récompense les généraux vainqueurs. — Comment on pleure un prince défunt. — exemple d’humilité lettrée. — King-kong flatte l’empereur. — discours vertueux de ce dernier. — assemblée des princes. — échange d’ôtages avec le Tch’ou. — expédition contre les Tartares. — King-kong établit corps d’armée. — le roi de Ts’i visite King-kong. — Han-kiué reçoit une grande face. — à la visite du mar quis de Lou, King-kong n’observe pas bien les Rites ; prophétie lettrée. — antagonisme avec le Tch’ou. — scandale dans la grande famille Tchao qui causera des malheurs. — écroulement de montagne met tout le pays en émoi. — assemblée de princes. — négligence des saints Rites. — prophétie lettrée ; armée de Tsin qui va punir le Song, est sur le point de piller une ville de Wei, qui n’avait pas de garnison. — translation de la capitale de Tsin. — antagonisme avec le Tch’ou. — assemblée de princes. — le royaume de Ou entre en scène et fera une grande guerre au Tch’ou. — King-kong n’a pas honte de recevoir un traître. — il malmène le Lou. — la sagesse lettrée réussit toujours à merveille. — trait de brigand. — intrigues féminines mettent la famille Tchao en danger ; Han-kiué la sauve. — King-kong est jaloux de la puissance de Ou. — assemblée de princes. — à laquelle le roi de Ou ne peut pas assister. King-kong découvre un sage caché. — assemblée de princes. — qui met la paix au Tcheng. King-kong tombe malade : ce qu’en disent le devin et le médecin. — autre songe merveilleux. — King-kong meurt. — une famille anéantie.

Le 29e prince Li-kong 580-573

Il fait amitié avec le Lou. Le grand seigneur K’i de Tsin est en litige avec l’empereur lui-même. — l’arrogant seigneur ne cède qu’avec peine à la justice. — Les princes de Tsin et de Ts’in ont une entrevue à distance. — traité de paix entre le Tsin et le Tch’ou. — mauvais présage. — le sei gneur K’i, ambassadeur au Lou, n’est pas humble : prophétie lettrée. — mémorandum diplomatique, chef-d’œuvre littéraire. — l’armée de Tsin ouvre de suite la guerre contre le Ts’in. — résultat nul ; autre prophétie lettrée à propos de la famille K’i. — assemblée de princes. — rivalités entre les grandes familles. — ambassade solennelle au roi de Ou — guerre avec le Tch’ou. — détails de la campagne. — et de la bataille. — victoire sans mérite. — assemblée de princes. — Le pauvre marquis de Lou est mis en réclusion. — le seigneur K’i, ambassadeur auprès de l’empereur, se montre vantard ; prophétie à ce sujet. — antagonisme avec le Tch’ou. — prophéties sur les malheurs qui menacent le Tsin. intrigues à la cour de Li-kong. — rivalités des grandes familles. — la famille K’i est anéantie. — détails de ce drame. — Li-kong lui aussi est tué par les grands seigneurs.

Le 30e prince Tao-kong 572-558

Les nouveaux ministres et les chefs des familles seigneuriales. — le précepteur du prince héritier. — et autres hauts dignitaires de la cour. — Tao-kong relève le pres tige de la couronne. — antagonisme avec le Tch’ou. — assemblée de princes et diverses expéditions militaires. — La mort de l’empereur passe inaperçue. — Tao-kong ne respecte pas le deuil national de Tcheng. — assemblée de prin ces. — le nouveau marquis de Lou, enfant de 6 ans, gagne le cœur de Tao-kong. — Tao-kong invite le prince de Ts’i à l’assemblée des princes. — grand seigneur loyal. — Le grand ministre de l’empereur préside l’assemblée des prin ces. — parade militaire en leur honneur. — Tao-kong est capable de reconnaître sa faute et de la réparer. — anta gonisme avec le Tch’ou. — Le Lou se montre en possession de la fine fleur lettrée. — Tao-kong consent à faire un traité d’alliance avec les Tartares après que le grand seigneur Wei-kiang lui a exposé l’histoire des Tartares. — l’ambassadeur de Ou réjouit Tao-kong. — grande assemblée de princes. — antagonisme avec le Tch’ou. — Le fils de Han-kiué, un sage lettré, refuse la dignité de ministre et pourquoi. — assem blée de princes. — Les grands seigneurs de Tsin sont trop avides de cadeaux : le marquis de Lou veut régler le question des obligations des princes vassaux. — le fameux lettré Tse-tch’an entre en scène. — assemblée de princes. — toast de l’am bassadeur de Tsin à la cour de Lou. — le prestige de Tsin est remonté. — assemblée de princes. — bienveillance de Tao-kong envers le jeune marquis de Lou. — bonté de Tao-kong envers son peuple. — assemblée de princes. — attaque traîtresse de Pi-yang, malgré le premier ministre. — ce dernier se fâche lorsque les deux généraux se découragent. — la ville prise est donnée au Song. — ce prince célèbre Tao-kong en faisant de la musique Ing. — l’esprit de cette musique apparaît à Tao-kong. — curieuse comédie religieuse. — antagonisme avec le Tch’ou. — l’armée de Tsin recule devant l’armée de Tch’ou. — diplomatie bien chinoise. — antagonisme avec le Tch’ou. — assemblée de princes. — le prince de Tcheng donne à Tao-kong de magnifiques cadeaux en témoignage de son inaltérable fidélité. — grand seigneur humble. —le Tch’ou et le Ts’in se liguent centre le Tsin. — le marquis de Lou demande à Tao-kong aide contre ses grands seigneurs. — les grands seigneurs de Tsin donnent l’exemple de l’humilité lettrée. — longue tirade sur les saints Rites, qui recommandent l’humilité. — le roi de Ou est lancé contre le Tch’ou. — guerre contre le Ts’in ; l’armée de Tsin refuse finalement d’avancer ; enfin les soldats de Lou avancent courageu sement. — querelles parmi les grands seigneurs de Tsin. — qui deviennent la cause de mortelles inimitiés. — prophétie lettrée. — Tao-kong licencie les nouveaux corps d’armée : pour quoi ? — il reçoit une fameuse leçon du maître de musique. — les grands seigneurs de Wei chassent leur prince, sans que Tao-kong s’en préoccupe. — les ambassadeurs des princes feudataires reconnaissent aussi le fait accompli. — tour joué au roi de Ts’i. — mort de Tao-kong.

Le 31e prince P’ing-kong 557-532

Enterrement hâtif. — le sage lettré Chou-hiang est mis en lumière. — assemblée de princes. — le toast de Ts’i trahit de mauvaises intentions. — P’ing-kong patiente. — guerre contre le Tch’ou. — malgré les prières les plus pres santes de Lou, P’ing-kong n’attaque pas le Ts’i. — enfin la guerre est décidée ; songe mystérieux du généralissime ; son sa crifice à l’esprit du Fleuve Jaune. — le roi de Ts’i se laisse effrayer. — eunuque courageux et intelligent. — détails de l’expédition. — le prince héritier empêche le roi de Ts’i de s’enfuir. — assemblée de princes. — plein de reconnaissance, le marquis de Lou récompense royalement les grands seigneurs de Tsin. — merveille lettrée. — toast à l’ambassadeur de Lou, grands Rites. — nouvelle armée contre le Ts’i ; elle rentre dès qu’elle apprend la mort du roi de Ts’i. — cette observation stricte des Rites gagne le nouveau roi. — assemblée de princes. — anéantissement de la grande famille Loan. — le sage Chou-hiang en prison ; vertu lettrée. — assemblée de princes. — fameuse note diplomatique de Tse-Tch’an.— naissance de Confucius. — vilain tour du roi de Ts’i. — dernier acte de la tragédie Loan. — belle chinoiserie. — combat acharné. — invasion d’une armée de Ts’i au Tsin. — un sage lettré explique le terme « survivre ». — fameuse leçon de la part de Tse-tch’an. — antagonisme avec le Tch’ou. — mœurs de grands seigneurs. — prophétie lettrée. — assem blée de princes. — esclaves et musiciennes envoyés en cadeaux. — assemblée de princes. — Note diplomatique du fameux Tse-tch’an. — le sage Chou-hiang traite de la paix avec le Ts’in. — P’ing-kong reçoit un gouverneur félon de Wei — assemblée de princes. — toast de P’ing-kong. — entretien des fameux lettrés Yen-tse et Chou-hiang. — déférence envers l’empereur. — gentil tour diplo matique. — utopie d’un désarmement général, d’une paix univer selle. — négociations ad hoc. — déloyauté de Tch’ou. — remarques du sage Chou-hiang. — l’ambassadeur de Tch’ou le premier se frotte les lèvres avec le sang des victimes. — l’étiquette envers un hôte. — le dualisme dans l’empire est reconnu. — le sage Chou-hiang remporte de nouveaux triomphes. — toast des seigneurs de Tcheng parmi lesquels le sage Tse-tch’an. — prophétie lettrée. — l’am bassadeur de Tch’ou à la cour de Tsin est reçu avec beaucoup de distinction. — piété filiale de P’ing-kong. — pro phétie lettrée. — honneurs rendus à un vertueux vieillard. — éloge des ministres si vertueux de Tsin. — assemblée inutile d’ambassadeurs à propos des malheurs de Song — prophétie lettrée. — tour diplomatique du fameux Tse- tch’an. — remarques du sage Chou-hiang. — assemblée de princes. — un sage lettré fait un discours diplomatique au premier ministre de Tsin, toast du premier ministre de Tch’ou. — prophétie du sage lettré Chou-hiang. — toast chanté par le pre mier ministre de Tsin à l’assemblée des princes. — humilité de ce ministre. — elle est célébrée par tous les ambassadeurs, même par l’empereur. — le frère du roi de Ts’in cherche un refuge au Tsin. — prophétie lettrée. — guerre contre les Tartares. — entrevue des fameux lettrés Tse-tch’an et Chou-hiang. — morale lettrée. — leçon d’un fa meux médecin à l’adresse du concubinaire P’ing-kong. — morale lettrée. — entretien du premier ministre et du sage Chou-hiang. — sacrifices aux ancêtres. — mort du premier ministre. — Han-k’i devient premier ministre ; il visite les princes feudataires. — nouvelle concubine de P’ing-kong. — réception solennelle de l’ambassadeur de Lou qui édifie par la stricte observation des Rites. — la mort de la concubine rend P’ing kong malade de douleur. — détails de son enterrement. — une nouvelle concubine arrive accompagnée du sage lettré Yen-tse. — entretien de ce dernier avec le sage Chou-hiang. — visite princière pour féliciter P’ing-kong de sa nouvelle acqui sition. — jeu diplomatique de Han-k’i. — qui va lui -même chercher la nouvelle concubine. — elle est échangée. — Le roi de Tch’ou veut supplanter P’ing-kong comme roi suprê me. — il demande une princesse de Tsin pour épouse. Les feudataires offrent à P’ing-kong leurs félicitations ; le marquis de Lou brille par l’exacte observance des saints Rites. — Han-k’i et Chou-hiang conduisent la fille de P’ing-kong chez le roi de Tch’ou. — ce dernier pose des questions épineuses au sage Chou-hiang et est émerveillé de ses réponses. — un gouverneur félon est reçu très gracieusement à la cour de Lou. — humilité lettrée. — Chou-hiang se montre conciliant sur les lois de l’étiquette. — Le sage Tse-tch’an rédige un code pénal, qui est réprouvé par les lettrés. — les sages lettrés ex pliquent une éclipse de soleil. — les esprits des montagnes ne savent pas guérir la maladie de P’ing-kong; Tse-tch’an indique un bon moyen. — les diplomates font leur jeu. — les facteurs nécessaires pour qu’une prophétie lettrée s’accomplisse. — un sage lettré explique comment une pierre peut parler. — le maître de musique donne une leçon à P’ing-kong, à la grande joie de Chou-hiang. — de grands seigneurs lancent les Tartares sur la capitale de l’empereur. — Son message à P’ing-kong. — remarques du sage Chou-hiang au premier ministre. — P’ing-kong n’observe pas les saints Rites. — leçon du maître cuisinier. — A la vue d’une étoile étrange, un sage lettré fait une prophétie. — P’ing-kong meurt. — il est enterré solennellement. — Tse-tch’an le sage diplomate.

Le 32e prince Tchao-kong 531-526.

Han-k’i préside une réunion de princes. — Chou-hiang fait une prophétie lettrée. — jeux à la cour de Tsin. — traîtrises. — Chou-hiang recommande à Tchao-kong de montrer aux princes ses forces militaires. — assemblée de princes. — Tchao-kong exige trop de cadeaux. — plaintes des feudataires. — le sage Chou-hiang fait un savant discours au roi de Ts’i. — mais la peur d’une invasion produit plus d’effets sur lui. — grandes manœuvres. — Chou-hiang prend la dé fense de Tchao-kong. — Tse-tch’an fait diminuer les taxes exorbitantes. — dernière assemblée des princes présidée par le roi de Tsin. — humiliation de Lou. — bon tour diplomatique. — autre tour. — Chou-hiang, l’homme droit, ne regarde pas la dignité des coupables. — Un lettré scrupuleux, disciple de Chou-hiang. — Le marquis de Lou visite la cour de Tsin. — un diplomate mis dans le sac. — Chou-hiang, s’en console en lettré vertueux. — le fameux Tse-tch’an donne à Han-k’i une verte leçon. — grands toasts chantés à Han-k’i. ce dernier remercie encore Tse-tch’an. — prophétie néfaste sur le Tsin. — mort de Tchao-kong.

Le 33e prince K’ing-kong 525-512.

Ruse pieuse bien devinée. — l’armée de l’empereur prend part au pillage. — le sage lettré Tse-tch’an toujours victorieux. — mort de Tse-tch’an ; Confucius le pleure. — le marquis de Lou offre à l’ambassadeur de Tsin 7+4 bœufs, 7+4 brebis. — « le saint général ». — troubles à la cour impériale. — victoire d’un sage lettré. — il devine toutes les ruses. — il joue de jolis tours. — il sort de pri son chargé de cadeaux. — troubles à la cour impériale. — assemblée de ambassadeurs de princes. — les feudataires refusent de secourir l’empereur. — l’ordre est rétabli à la cour impériale. — le fameux Ou Ki-tse à la cour de Tsin. — Le marquis de Lou chassé de son pays, est abandonné de tous. — les grands seigneurs de Tsin causent des troubles dans l’État. — prophétie et fameux discours de la mère de Chou-hiang. — les grands seigneurs de Tsin sont très riches et très puissants. — ils visent encore plus haut. — historiettes pratiques. — Confucius exalte le nouveau ministre de Tsin. — apologue pratique. — un dragon apparaît ; dissertation lettrée sur les dragons. — code pénal réprouvé par Confucius. — prophétie lettrée. — mort et enterrement hâtif de K’ing-kong. — un ambassadeur à la bonne langue.

Le 34e prince Ting-kong 511-475.

Il voudrait aider le malheureux marquis de Lou, mais il est trompé par son ministre. — hypocrisie du grand ministre de Lou. — manière peu diplomatique du prince de Lou. — l’empereur ne peut pas vivre en paix à sa capitale ; sa supplique aux feudataires. — à l’assemblée des ambassadeurs, le ministre de Tsin manque aux saints Rites. — il meurt. — querelles entre les feudataires. — prophétie solennelle d’un sage lettré. — faute diplomatique de Tsin. — grandissime assemblée de princes. — les grands seigneurs de Tsin sont la ruine de l’État. — le roi de Tch’ou devient l’arbitre de la Chine. — l’empereur se sert d’un assassin pour se délivrer de son frère : mais les troubles continuent. — révolte dans l’État de Lou sans que le chef suprême s’en occupe. — avarice des grands seigneurs de Tsin. — l’empereur remercie ses ancêtres d’avoir rétabli la paix. — traîtrise envers le duc de Song. — le Tsin aide le Lou contre le Ts’i. — traîtrise envers le marquis de Wei. — sacrifice solennel. — difficultés avec le Tcheng. — le marquis de Wei rompt avec le Tsin ; il corrompt le grand seigneur Tchao en lui promettant 500 familles. — détails de l’expédition. Chinoiseries de Ting-kong. — traîtrises des grands officiers de Ts’i. — complications à propos de ces familles. — il en résulte des complications politiques. — drame redoutable. — une loi jurée par tous les grands seigneurs et déposée dans le Fleuve Jaune devenait sacro-sainte. — les deux seigneurs Siun et Che succombent. — il en résulte une grande guerre. diverses péripéties de cette guerre. — les sorts disent ce que l’on veut. — proclamation des récompenses pour encourager les guerriers. — détails de la bataille. — prière païenne d’un poltron. — officiers glorieux et vantards. — singulière conduite de l’empereur. — plus le Tsin baisse, plus le Tch’ou monte. — vertus lettrées. — curieux horoscope. — le Tsin attaque le Ts’i. — la fameuse assemblée des princes à Hoang-tché, le fier roi de Ou réclame et obtient la préséance. — En 479 mort de Confucius. — la guerre avec le Ts’i continue. — mort de Ting-kong et du fameux Tchao Kien-tse 517-475, chef de la maison Tchao. — Ce dernier avait fait un traité d’amitié avec le roi de Ou.

Le 35e prince Tch’ou-kong 474-457.

Guerre avec le Ts’i. — sans résultat. Querelles entre les grands seigneurs du Tsin. — ils anéantissent les maisons Tche  et Siun. — ils chassent le prince.

Le 36e prince Ngai-kong 456-452.

Querelles des grands seigneurs. — triumvirat des seigneurs Tchao, Han et Wei. — En 452, ils se partagent le royaume de Tsin, sans cependant anéantir la famille régnante. — Celle-ci continue à végéter jusqu’en 358, où elle disparaît de l’histoire.

 

Table généalogique de la famille régnante et des grands seigneurs de Tsin.



Retour au texte de l'auteur: Yves Martin, sociologue, Université Laval Dernière mise à jour de cette page le samedi 2 juin 2007 11:02
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur au Cegep de Chicoutimi.
 



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