Que mon encadreur, le Pr Bernard Miège, professeur émérite en sciences de l’information et de la communication à l'Université Stendhal-Grenoble III, trouve en ce travail un acte de gratitude pour son inconditionnelle disponibilité, sa réactivité et ses conseils sans lesquels la réalisation du présent travail serait chimérique.

Ma recherche ne serait pas ce qu’elle est sans la coopération quasi fusionnelle avec Mme Viviana Quinones, qui n’a cessé de m’accompagner depuis mon stage jusqu’à ma soutenance. Ses conseils sont toujours suggestions et occasions d’ouvrir de nouvelles perspectives. Je lui suis profondément redevable de m’avoir accompagné durant ce mémoire. D’elle, je dois beaucoup, cette page est enfin pour moi l’occasion de le dire publiquement.

Un mémoire c’est aussi une petite parenthèse dans une vie, l’espace-temps consacré à notre recherche a été ensoleillé par de nombreuses rencontres faites au sein de l’Université Senghor dont nous remercions le personnel ainsi que les quatre départements. Plus précisément, nous remercions le Directeur du Département Culture, Dr. Jean François Faü, pour nous avoir fait confiance et accompagné depuis le lancement du concours de recrutement jusqu’à la matérialisation de nos travaux.

Pendant notre mise en situation professionnelle, notre structure de stage, la BnF, nous a apporté expérience et convivialité. Que l’équipe de La Joie Par Les Livres du Centre national de littérature pour la jeunesse, notamment Jonathan Paul, Hasmig Chahinian, Morgane Vasta et Jacques Vidal-Naquet, reçoivent le fruit d’un travail qui porte l’empreinte de leur coopération !

Je ne dirais jamais assez ma gratitude au Pr. Pangop Alain Cyr, Dr Kidi Bebey et à Christophe Tadja, leur accompagnement dans l’insertion à l’univers de la littérature jeunesse ainsi que leur soutien a permis que nous allions au-delà du présent projet, pour envisager des études plus poussées sur cette filière.

Un mémoire c’est un long voyage sur une mer intérieure, on y rencontre des capitaines mais aussi de simples marins qui tentent de naviguer à vue. Que Gaetan Guetchuechi et Marius Binyou Bi-Homb trouvent donc en ce travail l’expression d’une passion commune pour le livre et l’autonomisation de la jeunesse africaine. Aussi, qu’il me soit permis de savoir gré à maman Ngassam Hermine, Mme Ntami Gisèle épse Nkoa ainsi que la Famille Pene pour leur soutien moral et spirituel tout au long de mon périple. À mes amis Aminata Samby, Birénam Kodo, Charles Godwé, Doba Emmanuel, Laté Lawson, Mappè Johnson, Martine Ndo, Monique Manikwe, Paul Katassoli, à tous les étudiants du département Culture, de même qu’à tous ceux qui, de près ou de loin, ont participé à la réalisation de ce travail, j’exprime un sentiment de totale satisfaction.

Je ne saurais laisser dans les oubliettes ma famille Apéciste (APC), celle du Club Bilingue de l’Université de Dschang, de la Société d’Art Oratoire de Senghor (SAOS), du Réseau International pour la Promotion de l’Art Oratoire (RIPAO), de la Cameroon Debate Association, de Young Social Development Actors (YSDA) tous ces ami(e)s dont les encouragements et l’assistance multiformes n’ont jamais souffert d’aucune défaillance. Qu’ils trouvent ici l’expression de ma sincère reconnaissance.