Une édition électronique réalisée à partir de l'article de M. Jean-Paul Brodeur, “La pensée postmoderne et la criminologie”. Un article publié dans la revue Criminologie, vol. 26, no 1, 1993, pp 73-121. Numéro intitulé “Michel Foucault et la (post)modernité”. Centre international de criminologie comparée Montréal: Les Presses de l'Université de Montréal. [Autorisation de l’auteur accordée le 12 mai 2005]

Table des matières

Résumé 

Introduction 

1. Postmodernisme, postmodernité et postmoderne 

1.1. Le postmodernisme en tant qu'esthétique

1.2. La postmodernité comme réalité historique

1.3. Le postmoderne comme résultat conceptuel d'un travail théorique de mise en forme 

2. De quelques constantes de la pensée postmoderne 

2.1. L'origine du terme « postmoderne »

2.2. Charles Wright Mills : une vision contemporaine du postmoderne

2.3. Le postmoderne : esquisse d'une thématique 

2.3.1. La crise de légitimation

2.3.2. Réflexivité interne et réversibilité

2.3.3. L'ordre du discours

2.3.4. La différenciation

2.3.5. Le désenchantement 

3. Jalons pour une autre criminologie 

3.1. Procédures 

3.1.1. Une épistémologie à géométrie variable

3.1.2. Un volontarisme de la différence

3.1.3. Quantités numériques et quantités intensives 

3.2. Objets 

3.2.1. Discours, nombres, codes

3.2.2. Représentations

3.2.3. Centres et périphéries 

3.3. Problématiques 

3.3.1. L'obligation de rendre des comptes

3.3.2. Légitimation

3.3.3. Justice et masse 

3.4. Hypothèses de travail 

3.4.1. Une nouvelle pénologie : entre surveiller et punir

3.4.2. Le privé et le public : un double envahissement

3.4.3. La dilution de la notion d'infraction 

4. En guise de conclusion 

Annexe 1. Tableau comparatif : Modernisme - Postmodernisme 

Bibliographie