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Collection « Les auteur(e)s classiques »

L'ivresse de puissance. Treize ans de national-socialisme. (1945)
Table des matières


Une édition électronique réalisée à partir du livre de Heinrich Orb (Henri Pfeifer ou Heinrich Stein), L'ivresse de puissance. Treize ans de national-socialisme. Traduit de l'Allemand par Paul Ladame et louis Loze. Les Éditions du Cheval Ailé, Constant Bourquin, Éditeur, Genève, 1945, 221 pp. Une édition numérique réalisée par Michel Bergès, bénévole, directeur de la collection “Civilisations et politique”.

[217]

L’IVRESSE DE PUISSANCE.
Treize ans de national-socialisme

Table des matières

Préface de l’édition allemande [11]

Note des traducteurs [17]

Introduction [19]

– La Wehrmacht et le Parti [21].

Militarisme ou défense nationale ? p. 21. – Deux tournants, p. 25. – Vertus de la vieille Prusse, p. 29. – Les « Fondés de pouvoir » de la guerre : État-major général et Écoles de guerre, p. 32.

Première Partie [39]

Le système
Les facteurs de puissance


S1. Le Sd : Service de sécurité du Reichsführer Ss [41]

– Idéologie, p. 41.

Les Hommes-soleil, p. 41. – Organisation et cadres du Sd, p. 43. – Le Sd et les commandants territoriaux, p. 46. — Le Dr Best, organisateur, p. 48. – Le Sd au travail, p. 51. – Les tentacules de la pieuvre : espions et mouchards, p. 52. – Le secteur principal Est de Berlin et son importance, p. 55. – Résumé, p. 59.

[218]

S2. Police secrète d’État [61]

I. Sa fondation [61]

La police dans l’Allemagne de Weimar, p. 61. – Les commissaires spéciaux de l’État, p. 65. – Naissance de la Gestapa, p. 69. – Une épreuve de force : l’incendie du Reichstag, p. 70. – Changements dans le commandement, p. 73.

II. L’organisation [76]

Les dirigeants, p. 76. – La centrale, p. 80.

III. Résumé [83]

S3. Les camps de concentration [85]

– Introduction [85]

I. L’origine des camps de concentration [87]

Le premier camp officiel, p. 87. – Le commandant des Ss « têtes de mort », p. 88. – L’inspectorat des camps, p. 89.

II. Le traitement des prisonniers [92]

L’équipe de garde, p. 92. – Pénalités officielles, p. 94. – Brimades, p. 96. – Travail, p. 98.

III. Questions et réponses [99]

Où était l’opposition allemande ? p. 99. – Que savait le peuple allemand ? p. 101.

S4. Les écoles nationales-socialistes [105]

I. Problèmes d’éducation [105]

Le christianisme n’est pas en cause, les chrétiens seuls ont failli, p. 105. – La jeunesse allemande est-elle vraiment incurable ? p. 105.

II. Le parti national-socialiste et les organisations de jeunesse [107]

Les écoles de Junkers, p. 109.

[219]

Deuxième Partie [113]

Premier développement
de la puissance national-socialiste

I. Introduction [115]

II. Vers le 30 juin 1934 [117]

La Reichswehr, p. 117. – Ludendorff et Hoffmann à Berlin, p. 118. – Le « clan munichois » contre le ministère de la Reichswehr, p. 120. – La soldatesque du Parti : SA et SS, p. 122. – 1932 : année d’élections, p. 123. – Hitler au pouvoir, p. 124. – L’« Île des délicats », p. 126. – Intrigues, p. 127. –  Le bureau spécial Stein, p. 128. – Le putsch contre la Reichswehr, p. 129. – Röhm, ministre de la Reichswehr, p. 132. – La trahison, p. 131. – Von Papen prend le vent, p. 132. – On arrête l’auteur du discours de Marburg, p. 133. – Le rôle du « Casque d’acier », p. 134. – Le Sd espionne Goering, p. 135. – Au soir du 28 juin 1934, p. 136.

III. L’Heure du destin [137]

La journée du 30 juin 1934, p. 137. – La situation à Berlin, p. 139. – Le commissariat spécial chargé de l’affaire Röhm, p. 141. – Conséquences, p. 141.

Troisième Partie [143]

Caléidoscope politique

I. Espionnage et contre-espionnage [145]

Généralités, p. 145.
Les organisations étrangères, p. 146.

Le service anglais ou « Intelligence Service », p. 146. – Le « Deuxième bureau » français, p. 148. – L’espionnage soviétique, p. 149. – Les espionnages des autres pays, p. 151. – L’espionnage en Italie fasciste, p. 151.

[220]

II. L’espionnage allemand [154]

L’espionnage militaire au temps de Guillaume II, p. 154. – Une parenthèse nécessaire, p. 156. – L’espionnage sous la République de Weimar, p. 157. – Le socialiste Noske et ses successeurs, p. 158. – Le service de sûreté dans l’industrie des armements, p. 160. – L’industrie des armements et ses représentants à l’étranger, p. 162. – L’espionnage allemand après l’avènement d’Hitler, p. 164. – Les associations « interétatiques », p. 166. – Journalistes allemands à l’étranger, p. 168. – Deux exemples. Une répétition générale : la conquête de la Sarre, p. 170.

III. Le premier bluff de grand style : un cas de « désinformation » [175]

Le major polonais Jurek von Sosnowski, officier de renseignements, « vole » le plan allemand établi pour l’invasion de la Pologne, p. 175.

IV. Avant la guerre [179]

Le bureau Ribbentrop, p. 179. – Schalwa Karumidze et le Pacte antikommintern, p. 181. – La guerre d’Espagne et la Légion Condor, p. 185.

V. La guerre [188]

Prélude, p. 188. – La voix dans le désert, p. 192. – La guerre contre la Russie, p. 195. – La légende du « coup de poignard dans le dos » renaît, p. 197.

Conclusion [205]

La loi du dynamisme [207]


Retour au texte de l'auteur: Jean-Marc Fontan, sociologue, UQAM Dernière mise à jour de cette page le mercredi 25 janvier 2023 22:24
Par Jean-Marie Tremblay, sociologue
professeur associé, Université du Québec à Chicoutimi.
 



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